Une conclusion brillante
Kieslowski conclut brillamment la pièce maîtresse de sa filmographie, la Trilogie des 3 couleurs, avec ce "Rouge" qui semble ajouter un cœur qui bat au sein d'une construction brillante mais...
Par
le 24 févr. 2015
21 j'aime
Kieslowski conclut brillamment la pièce maîtresse de sa filmographie, la Trilogie des 3 couleurs, avec ce "Rouge" qui semble ajouter un cœur qui bat au sein d'une construction brillante mais peut-être trop intellectuelle : "Rouge", qui ne parlera bien sûr de "Fraternité" que d'une manière des plus obliques, est le plus bel hymne qui soit au hasard, un film certainement manipulateur (on le reproche assez à Kieslowski, démiurge souvent cruel), mais fascinant. Ce sont sans doute les deux acteurs, Irène Jacob et Jean-Louis Trintignant, tous deux frémissants et exquis, qui apportent au film ce supplément d'âme transcendant la beauté fluide du film, mais il faut aussi souligner la générosité finale de Kieslowski, qui, contre toute attente, offre dans l'émouvante conclusion du film une seconde chance à tous les héros de la trilogie. [Critique écrite en 1994]
Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur et l'a ajouté à sa liste Les meilleurs films de 1994
Créée
le 24 févr. 2015
Critique lue 1.9K fois
21 j'aime
Kieslowski conclut brillamment la pièce maîtresse de sa filmographie, la Trilogie des 3 couleurs, avec ce "Rouge" qui semble ajouter un cœur qui bat au sein d'une construction brillante mais...
Par
le 24 févr. 2015
21 j'aime
Krzysztof Kieslowski réalisa son dernier film en 1994 peu avant sa mort. Mais rien ne laisse paraître de l’état de santé du réalisateur dans son ultime chef d’œuvre, synthèse de son oeuvre, hymne à...
Par
le 6 déc. 2014
18 j'aime
1
Valentine (Irène Jacob), jeune mannequin, ramène une chienne qu'elle a blessé à son propriétaire Joseph Kern (Jean-Louis Trintignant). Une relation étrange s'installe entre eux...Après le très beau...
Par
le 24 mai 2024
13 j'aime
12
Ce commentaire n'a pas pour ambition de juger des qualités cinématographiques du film de Ladj Ly, qui sont loin d'être négligeables : même si l'on peut tiquer devant un certain goût pour le...
Par
le 29 nov. 2019
207 j'aime
152
Cette chronique est basée sur ma propre interprétation du film de Charlie Kaufman, il est recommandé de ne pas la lire avant d'avoir vu le film, pour laisser à votre imagination et votre logique la...
Par
le 15 sept. 2020
196 j'aime
25
Il y a longtemps que les questions morales liées à la pratique de l'Art Cinématographique, chères à Bazin ou à Rivette, ont été passées par pertes et profits par l'industrie du divertissement qui...
Par
le 15 janv. 2020
196 j'aime
118