Un film qui se regarde avec un Doliprane. La musique casse la tête, tout comme le scénario qui est en fait une suite d'éléments qu'on nous met sous les yeux sans jamais nous les expliquer et nous sommes censés l'accepter.
Jared Leto ajoute une nouvelle bouse à sa filmographie. Il a maintenant plus de navets que Kev Adams et Franck Dubosc réunis, félicitations à lui. Pourtant, je nourrissais quand même un petit espoir.
Tron sort dans un contexte intéressant où la technologie est en pleine effervescence. Mais ce n'est pas pour autant que le film porte un propos intéressant sur notre époque.
Les décors sont parfois jolis, mais on se sent davantage au Laser Game que dans l'univers de Tron. Les costumes et les effets spéciaux sont horribles.
Rip les Daft Punk. La musique c'est juste la même touche sur un synthé en boucle pendant 2 heures. Chaque réplique ou action comme une balade anodine en moto-neige a le droit à sa musique épique... On n'en peut plus wsh.
Quand le réalisateur ne sait pas quoi raconter, il montre des lignes de codes et ajoute de la musique techno. Autant dire que ça arrive très souvent.
Quitte à pondre une bouse, j’en veux à Disney d’avoir sali la saga Tron, j’aurais préféré un live action de Vaiana ou un truc nul comme ça, mais heureusement c’est pour bientôt je crois.
Je vais prendre un Doliprane.