Que la défaite commence
Lorsqu’il sort ce nouvel opus, Andersson compte sur la connaissance de son œuvre par les spectateurs : le carton initial annonce ainsi qu’il s’agit du dernier volet de sa trilogie, et le titre...
le 27 nov. 2020
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Pendant la première demi-heure, j'étais séduit. L'image est magnifique, chaque plan joue sur les perspectives, les lumières et les positions des personnages pour retranscrire l'impression d'un tableau. Les acteurs qui tirent la tronche en progressant très lentement dans ce monde étrange renforçaient cette impression.
Mais bon, une heure et demie à regarder des tableaux, ça peut finir par être long. Pour réussir à tenir, j'ai dû accélérer le film à 1,5 fois sa vitesse.... Et c'était toujours lent.
Deux des tableaux finaux (le singe et la fournaise) ravivent un peu l'intérêt de la fin de l'histoire, et certains regards des acteurs vers le spectateur ou vers le ciel en fin de tableau mènent à des réflexions intéressantes.
Mais globalement c'est chiant.
Mais beau.
Mais chiant quand même.
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Créée
le 23 août 2018
Critique lue 130 fois
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