Critiques de Vers la lumière

Sergent_Pepper
4

Blind date

Le sujet n’était pas dénué d’intérêt : Misako pratique l’audiodescription, qui permet aux non-voyants d’avoir accès au cinéma. Elle fait ses débuts, et bute sur un dénouement, pour lequel les mots...

le 11 janv. 2018

22 j'aime

11

Velvetman
5

Blind

Continuant son introspection sur la perte et la disparition, Naomi Kawase nous délecte toujours de son style si vaporeux avec Vers la lumière mais s’enlise dans un récit didactique et empreint de...

le 16 janv. 2018

16 j'aime

1

Westmat
7

La parole de l'infime

Une salle de travail. Tout autour de la table, un groupe de malvoyant côtoie des audio descripteurs. Dans les haut-parleurs, des mots se posent délicatement sur les contours du film qui défile sur le...

le 15 janv. 2018

14 j'aime

6

AnneSchneider
7

À la poursuite du soleil couchant...

Les films de Naomi Kawase sont empreints d’une nostalgie certaine, comme si la réalisatrice n’aimait à tourner sa caméra que vers ce qui sombre et menace de disparaître : la modeste boutique de...

le 28 janv. 2018

8 j'aime

2

Fritz_Langueur
5

Faussaire de déjà vu...

En sortant de la projection, je me suis interrogé à savoir pourquoi, alors que je suis assez sensible au cinéma asiatique, celui de Naomi Kawase me laissait souvent en repli. « Vers la lumière » ne...

le 18 janv. 2018

8 j'aime

5

Filmosaure
9

Subarashii

Naomi Kawase érige le septième art au rang d’antidote à l’impermanence. Vers la lumière saisit les splendeurs du monde avant qu’elles ne s’éteignent. Et si nous tenions enfin une deuxième Palme d’Or...

le 23 mai 2017

7 j'aime

dagrey
7

Un photographe est un chasseur dont le temps est la proie.

Misako est une jeune audiodescriptrice pour non voyants qui travaille sur la description du monde qui l'entoure. Parmi ses patients, Masaya Nakamori est un photographe d'une cinquantaine d'années qui...

le 9 janv. 2018

6 j'aime

3

Christoblog
4

Glisse malheureusement petit à petit vers la mièvrerie

J'éprouve toujours des scrupules à dire du mal d'un film de Naomi Kawase, tellement la personne m'est sympathique et ses intentions louables. Le début de Vers la lumière est par exemple parfaitement...

le 12 janv. 2018

4 j'aime

Fassbender
3

Très peu inspiré

Après le sublime Les Délices de Tokyo, c'est la douche froide. Personnages qui n'existent absolument pas, relation étrange auquel je n'y ai pas cru personnellement. Filmé uniquement en gros plans,...

le 17 juil. 2017

3 j'aime

2