C'est à mes pensées le Pixar avec une idée de départ la plus hardiesse que le studio projette. Et la finalité est une réussite d'émotion. La joie et son côté fée clochette, personnage avec un apport d'affect conséquent pour le spectateur. Comme Dory (Nemo). En ce qui concerne la tristesse, c'est aussi un facteur important car elle accompagne la joie et toutes deux sont au fond main dans la main. La colère quant à elle est hilarante fallait bien s'y attendre car elle est impulsive. Les colères ont des nuances, dans un point cérébral elle peut être dure, brute, faire mal, mais pas ici. Ou bien encore vous avez celle comme Louis de Funès. Celle qui fait rire, c'est le cas ici. Et enfin les deux émotions quelque peu en retrait sont la peur puis le dégout. Après tout, il faut bien que certaines soit moins activent que d'autres. Voilà, j'ai adoré. Vice-versa chatouille notre sensoriel d'une manière remarquable.