Dans We are your friends, Emily Ratajkowski danse. Au ralenti. Dans une robe très décolletée. Sur laquelle la caméra zoome. Voilà.


Sinon, le film raconte l'histoire d'un beau gosse de la banlieue de Los Angeles qui veut devenir DJ pour échapper au marasme dans lequel lui et ses potes zonent. On y apprend comment composer du sous David Guetta et que dans la vie, pour s'en sortir, faut faire des trucs comme éviter la drogue, aller à l'école, avoir de la volonté, ne pas ménager ses efforts, être à l'écoute du monde, tout ça. Et à la fin le beau gosse, qui a mis le temps pour tout bien comprendre, sort un tube dancefloor vomitif dans lequel il mixe des samples de sons qu'il a enregistrés mais aussi qu'il a seulement entendus pour certains. On appelle ça une licence cinématographique. Rien que ça.


Mais bon, y a Emily Ratajkowski qui danse court vêtue. Au ralenti. Alors voilà.

AlexandreAgnes
3
Écrit par

Créée

le 7 janv. 2016

Critique lue 269 fois

2 j'aime

2 commentaires

Alex

Écrit par

Critique lue 269 fois

2
2

D'autres avis sur We Are Your Friends

We Are Your Friends
DavidRumeaux
7

Organique et métallique.

Si ce film a fait parler de lui, c’est d’abord par la présence de Zac Efron. Heureusement, il vaut plus que ça. Bien plus même en fait… Cole est DJ et souhaite avant tout que son nom soit reconnu. En...

le 27 août 2015

14 j'aime

We Are Your Friends
RemsGoonix
7

Classique mais sympathique

We Are Your Friends commence superbement avec la musique de Justice du même nom. Le film commence déjà fort pour moi tant j'aime cette musique. Néanmoins, je me suis un peu inquiété au début à la vue...

le 28 août 2015

12 j'aime

1

We Are Your Friends
maitregazonga
3

Etouffant de classicisme.

Très mauvais film, dans l'ensemble prévisible à 25 minutes d'avance. Ce n'est pas un bel hommage à la musique électronique. Seule une scène est efficace, c'est celle que l'on voit dans la...

le 8 sept. 2015

11 j'aime

Du même critique

Au revoir là-haut
AlexandreAgnes
9

On dit décidément MONSIEUR Dupontel !

La Rochelle, 26 juin. Jour de mon anniversaire et de l'avant-première de Au revoir là-haut en présence d'Albert Dupontel. Lorsqu'il entre dans la salle à la fin de la projection, le public...

Par

le 27 juin 2017

53 j'aime

4

Mektoub, My Love : Canto uno
AlexandreAgnes
4

Si "le travelling est affaire de morale", ici le panoramique vertical est affaire de vice

Je n'accorde habituellement que très peu de crédit au vieux débat clivant qui oppose bêtement cinéma populaire et cinéma d'auteur (comme si les deux étaient deux genres définitivement distincts et...

Par

le 27 mars 2018

48 j'aime

19

Arès
AlexandreAgnes
6

Ne pas jeter bébé avec l'eau du bain

Voilà un long métrage qui, en apparence, accumule les défauts : une erreur monumentale dans le choix de la date dès le carton d'ouverture (l'action se situe dans un Paris post-apocalyptique...

Par

le 24 nov. 2016

43 j'aime