Wonder Woman 1984 : 66 ans après la fin de la première guerre mondiale, Diana Prince n'a pas oublié son amour éternel, Steve Trevor. Alors qu'elle travaille dans un musée, une nouvelle pièce arrive. Sans valeur à première vue, celle-ci semble pourtant capable de réaliser les souhaits. Maxwell Lord, un présentateur télé aux grandes ambitions parvient à s'en emparer...
Punaise, 2h30.... Pour pas grand chose.
Le premier truc qui saute aux yeux-qui-saignent, ce sont les effets numériques ABSOLUMENT dégueulasses. Concrètement, 1984, c'est l'année de création des effets spéciaux du film. Lorsqu'ils ne piquent pas les yeux, on profite de magnifaïks incrustations des personnages sur des fonds posés en post-prod. Et les incrustations sont parfaitement hideuses et grossières. Au point qu'on sort directement d'une éventuelle immersion dans l'histoire.
Soit il y a eu un problème de timing, soit il y a eu un problème de budget... Soit les cochons qui ont bossé sur le film n'en ont rien eu à carrer et ont salopé le taf.
Bref, une fois qu'on ne voit plus rien, il est toujours temps de s'attarder sur l'histoire... Qui a été écrite en 10 minutes visiblement, parce qu'on pige en 3 secondes ce qu'on va se taper pendant 8 heures... Là non plus, pas beaucoup de grâce à trouver.
C'est d'ailleurs bien dommage, parce que l'introduction du film est plutôt bonne, mais ne sert pratiquement à rien pour la suite, et est, du coup, totalement inutile ! Elle semble lancer le film dans une direction qui n'est pas exploité par la suite. Tout est dans la même veine par la suite. Entre incohérence et rien-à-foutrisme, on est dans de l'amateurisme bas de gamme de A à ZzzzzzzZzzZzzzz.
Même la BO de Hans Zimmer est peu inspirée. Le casting est aux fraises aussi. On se demande bien ce que Pedro "Mando" Pascal vient foutre dans cette bouillie dégueu. Il devait s'emmerder entre 2 épisodes de Disney.
Une suite vraiment pas nécessaire avec laquelle DC continue sa descente aux enfers.