Judy Hoops, une jeune et enthousiaste lapine qui refuse les préjugés et l’injustice, quitte sa famille et sa campagne natale pour Zootopie, une gigantesque ville où tout type d’animaux tentent de cohabiter convenablement les uns avec les autres.
Le rêve de Judy Hoops, devenir le premier mammifère de petite taille et d’apparence chétive à entrer dans la police, est sur le point de se concrétiser…
Néanmoins, pour prouver qu’elle a sa place dans cette société où la discrimination est bien réelle, Judy va devoir faire ses preuves.
Zootopie est un long-métrage d’animation dans l’air du temps. Il mêle avec habilité humour, actualités, réflexion, regard sur le monde, et nouvelles technologies [Iphone avec une carotte sur le châssis… ^^].
Un chef-d’œuvre pour les plus grands !
Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur.
Créée
le 23 févr. 2016
Critique lue 466 fois
1 j'aime
Zootopie, dernier né du célèbre studio Disney, était annoncé comme le Disney le plus drôle depuis Kuzco (faut vraiment que je le vois celui là!). La première bande annonce du paresseux était juste...
Par
le 11 févr. 2016
80 j'aime
19
Il n'y a pas plus adorable que Judy Hopps, une petite lapine pleine d'ambition. Son espoir le plus cher est d'entrer dans la police. Toutefois, face aux policiers "molosses" qui l'entourent, il...
le 10 avr. 2018
66 j'aime
26
C'est quand même difficile d'être objectif quand on se demande si on a aimé un film. On a forcément des petits trucs qui font qu'on est sensible à ce qu'on cherche à nous raconter quand on nous...
Par
le 14 févr. 2016
64 j'aime
12
Après avoir évoqué les origines de Alien, le huitième passager [1979] dans Prometheus [2012], dont la qualité de l’œuvre demeure hélas discutable, Ridley Scott nous embarque à nouveau dans un...
le 1 nov. 2015
1 j'aime
Dans un quartier apparemment banal, résident des voisins (pas) comme les autres… Cette comédie australienne relate les fantasmes sexuels de cinq couples. Masochisme : plaisir sexuel à être humilié ou...
le 5 août 2015
1 j'aime
Le manque d’alchimie à l’écran entre E. Stone et C. Firth laisse un goût d’imparfait. La magie n’opère pas dans ce nouveau Woody Allen.
le 25 oct. 2014
1 j'aime
