Un jeu de simulation sur téléphone. Ce n'est pas super profond, pas super drôle (les jeux de mots sur les noms des consoles, jeux vidéo et employés sont assez faiblards) et il n'y a pas des masses de possibilités. Pourtant, on y revient. On y rejoue. On refait un jeu. Puis un autre. On écrit sur la lune pour augmenter sa popularité et on assigne un boulot à Françoise Bloom. À l'évidence, il y a toujours un marché pour les jeux de simulation. La place laissée vacante par Maxis après ses calamiteux derniers jeux peut être prise par des développeurs talentueux. Est-ce que ce sera Kairosoft avec Game Dev Story 2? Peut être... en tous les cas, je vais rejouer au premier et faire un jeu de cartes sur le poncho, en espérant atteindre l'élusif 40/40.