Devil Will Cry
Histoire/Scénario : L’histoire est tout juste assez intéressante pour se mettre à jouer. Clairement, on a juste le droit à quelques bribes d’informations, quelques cinématiques, quelques dialogues,...
le 13 déc. 2018
1 j'aime
Jeu de Capcom, Capcom Production Studio 1, Sourcenext, Ubisoft et ND Games (2006 • Nintendo Switch)
J'ai toujours été attiré par cette licence, d'abord pour son appartenance à l'écurie Capcom, un studio majeur dans ma vie de joueur, ensuite pour son personnage poseur à la gouaille légendaire et surtout pour cette philosophie résolument PS2, conservée avec courage jusqu'au cinquième épisode sorti il y a quelques années sur PS4. Je n'ai pas été déçu par cet épisode qui m'a grandement motivé à essayer les jeux suivants de la saga, et même le reboot.
Le système de jeu basé sur le style nous pousse à apprendre les mécaniques de combat et les divers combos, à toujours essayer de nouvelles choses pour trouver chaussure à son pied. Certaines armes sont affreuses quand d'autres offrent des sensations géniales. En soi, on pourrait se contenter de marteler les touches mais ce ne serait pas faire honneur à la frime de Dante, le personnage principal de la licence. Quel plaisir de voir le S de stylish apparaître dans le coin de l'écran, ne serait-ce qu'une seconde ou deux dans un combat en arène ou peut-être même contre un boss ! DMC 3 nous offre bon nombre d'adversaires intéressants à combattre tout au long de l'aventure. Les combats de boss sont souvent les meilleurs moments où il faut comprendre les patterns de leurs attaques pour ensuite les contrer de la plus belle des manières. On peut certes regretter les problèmes de confort du jeu avec une caméra absolument infâme comme souvent dans le genre, peu aidée par un système de ciblage très rigide, des phases de plateforme injustement difficiles ou des ennemis particulièrement agaçants. Pourtant, il y a des faits qui ne trompent pas : après avoir fini le jeu, en pensant être satisfait de mon parcours, ravi de voir ces cinématiques aussi kitsch que jouissives et de battre des boss impressionnants de bien des manières, j'ai relancé le jeu immédiatement, incapable de m'arrêter en enchaînant les missions. J'écris ces lignes en étant sur le boss final du jeu, en mode difficile. Je ne suis pas sûr de le battre mais le concentré de mon expérience DMC est là : J'ai parcouru le jeu avec beaucoup d'enthousiasme, plus que je ne l'aurais pensé et j'en redemande ! J'ai hâte de commencer les épisodes 4 et surtout 5 qui m'attendent bien sagement sur ma PlayStation 5.
Créée
le 21 juin 2024
Critique lue 11 fois
Histoire/Scénario : L’histoire est tout juste assez intéressante pour se mettre à jouer. Clairement, on a juste le droit à quelques bribes d’informations, quelques cinématiques, quelques dialogues,...
le 13 déc. 2018
1 j'aime
Je ne sais pas ce qui m'effraie le plus dans ce jeu ? Si c'est son scénario horriblement mauvais, ses combats avec deux touches, le héros qui se la joue "tr0 c00l tu vo4" ou la bande-son qui rend...
Par
le 16 janv. 2013
1 j'aime
Oui, on a vu plus beau comme rendu, sûrtout dans les vidéos en fait. Sinon dans le jeu (avec un 8800) ce n'est pas mal quand même, similaire à la PS2 je dirais même. Et puis ça fait plaisir de...
Par
il y a 7 jours
Établis dans un grenier, perdus au fin fond de la France, voilà comment nous avons installé le climat de la peur, propice à découvrir Signalis, ma partenaire et moi. Une fois cela fait, quel plaisir...
le 8 oct. 2024
C'est mon jeu de l'année. Vraiment. Avec ce AAA, les développeurs de Kojima Productions prouvent qu'on peut inventer des systèmes de jeu innovants dans des productions d'une telle ampleur. Dans ce...
le 21 juin 2024
Jeu au long cours donc difficile à noter. Avec cet épisode, Kojima Prod s'est pleinement engouffré dans le systémique et on comprend très bien la continuité entre Metal Gear Solid et Death Stranding...
le 21 juin 2024