Chapeau bas

Pourtant grand fan de la saga Dishonored , cet épisode de m'attirait pas tant que ça : peur que la saga soit clôt sur un mauvaise note ? toujours la tête dans les étoiles à cause de Prey ?
Je ne sais pas vraiment, mais j'ai eu l'opportunité de le faire donc j'allais pas le snober non plus .

Et même si le jeu est très mal introduit avec cette mission batarde dans le bar clandestin à cause du manque des pouvoirs qui nous désoriente et surtout nous complique la vie , force et de constater qu'après cette étape le joueur et immédiatement balancer en terrain connu : zone ouverte , approches multiples , pouvoir imaginatif tout ça sublimé par un combo D.A./Level-Desing qui brille toujours autant .

Alors que cette recette ultra efficace mais connu des fans de la série pouvait peut-être redondante sur un nouvelle opus , Arkane arrive à integrer des pistes de gameplay très intéressante pour varier les plaisirs et ne jamais lasser .

Si les contrâts sont là pour motiver l'exploration et propose une vraie vision hardcore du jeu pour les plus mordus de la formule ; là vrai nouveauté qui s'élève au dessus des autres c'est ce super pouvoir de " semblance " qui permet de se transformer en un pnj après l'avoir assomé .

Un concept qui n'est pas sans rappeler Hitman et ces costumes , et qui remplace ici le pouvoir de possession bien trop situationelle des épisodes présent . Désormais vous pourrez dupé moult système de sécurité, ou encore participer à des pans du jeux inédits qu'on pensait pas compatible dans cette saga . Besoin de participer à une enchère pour un objet de quete ? Pourquoi le dérober quand on peut l'acheter en ursupant l'identité de quelqu'un. Pourquoi ce cacher des gardes quand on peut se faire passer pour leur chefs... Voici 2 exemple d'une mécanique qui ne cessera de vous surprendre si vous l'expérimenter quelque peu .

La mort de l'outsider se démarque aussi de ses aîné sur 2-3 points , ici plus de Mana ni de Rune . Le jeu étant plus dirigiste dans l'aspect RPG ( pas de pouvoir à choisir ) les runes deviennent inutile , me Mana lui fait place à l'énergie du vide : un grand mot pour dire que le mana se recharge tout seul permettant un gameplay plus dynamique et ne plus sans cesse attendre entre 2 téléportation pour gâcher du mana , ouf .

Et ultime surprise de ce tableau décidément bien réalisé, le scénario qui est le plus intéressant de la saga grâce à son triangle Billie-Daud-Outsider non manichéisme et où tout le monde se questionnera sur les conséquences de leur actes et leurs crauté , tout ća sublimé par ce Carnaca toujours aussi bluffant de vie .

Mais qu'est-ce qui peut donc empêcher ce Dishonored d'être aussi culte de ses aînés ? Selon moi un certain manque d'ambition et de finition . Pour la finition vous connaissez la chanson si vous avez déjà jouez à la saga : l'IA est capable de tout et surtout de réagir n'importe comment , la réalisation laisse parfois à désirer ( frame rate , loading ) ... En se qui concerne l'ambition c'est purement subjectif, alors que le premier episode posait les règles de la saga de facon ambitieuse avec ses nombreux emprunts , le deuxième épisode avait si magnifié cette formule grace à l'introduction d'un deuxième personnage qui changè le jeu et surtout des niveaux cultes comme le manoir mécanique ou ce château que l'on pouvait traverser dans 2 époques distinctes.

Ici pas de niveau de cette ambition et certaines mécanique on meme était enlevè comme le chaos qui rajouté énormément à la re jouabilité. Finalement ici on a plus l'impression qu'on nous a vendu un DLC proposant des pistes très intéressante pour l'avenir de la série , mais bon vu que la formule marche toujours autant que c'est sûperbement finiolé et surtout déjà disponible pour une bouché de pain , foncez .

Les plus :

+Le pouvoir Semblance
+ Direction Artistique toujours impressionnante
+ Level desing digne de la saga
+ Variété d'approche renforcé
+ Quel souplesse dans le maniement
+ Scénario et personnages de Bonne facture

Les moins :

• L'IA toujours aussi frustrante par moment


• Loading et frame-Rate qui galèrent


• Manque d'un niveau " culte "


• On en veut plus forcément