🎮 Un concept fort, un gameplay faible
Sur le papier, Dispatch avait tout : tension, immersion, narration nerveuse.
En pratique ?
Le jeu s’écroule vite, victime d’un rythme cassé, d’interactions limitées et d’un système de jeu qui donne l’impression d’être coincé dans une démo non finalisée.
L’ambiance est bonne, mais elle ne suffit pas.
On attend la montée en tension… elle n’arrive jamais.
On attend un twist… il tombe à plat.
On attend du gameplay… on obtient trois clics et un menu.
🧠Narration : bonne idée, mauvaise exécution
L’histoire démarre bien, puis s’éparpille.
Les choix sont artificiels, les dialogues rigides et l’impact émotionnel quasi inexistant.
Le jeu tente de manipuler le joueur, mais sans finesse, sans nuance, sans vraie direction.
Le résultat ?
Une intrigue qui promet du frisson, mais qui finit par provoquer un simple haussement d’épaule.
🎧 Technique : immersion ratée
Graphismes minimalistes, OK.
Mais minimaliste ne veut pas dire vide.
Ici, tout sonne creux :
sound design répétitif,
interface lourde,
ambiance qui ne décolle jamais.
Le jeu semble vouloir jouer la carte du réalisme, mais accumule les approximations, brisant l'immersion au lieu de la renforcer.
⚠️ Verdict : une expérience qui s’évapore
Dispatch aurait pu ĂŞtre un mini-thriller interactif intense.
On se retrouve avec une expérience timide, inoffensive, trop courte pour engager et trop creuse pour marquer.
👉 Un jeu à l’idée forte, mais à l’exécution faible.
Frustrant, superficiel, oubliable.