le 26 août 2025
The Bland Ages
Bien que Doom 2016 et Eternal figurent parmi mes jeux préférés de la dernière décennie, mes premières impressions sur Doom: The Dark Ages étaient assez moyennes. Le Doom Slayer semble bien plus lourd...
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Pourquoi jouer à Doom ?
Pour se défouler, pour tirer sur tout ce qui bouge, pour le fun que cela procure.
Et The Dark Ages remplit sa fonction à 100 % : le jeu est le fun incarné. Ultra dynamique et hyper jouissif, ce que l’on ressent manette en main est tellement addictif qu’on ne peut s’empêcher d’y retourner.
Les armes sont également un point important du titre. Toutes variées et originales, elles poussent sans cesse le joueur à changer de type d’arme afin de presque toutes les utiliser selon le type d’ennemis rencontrés. Bien que le bestiaire ne soit pas très diversifié, c’est un réel plaisir de coller un coup de shotgun dans la tronche d’un gros monstre, puis de changer d’arme à la volée pour envoyer une rafale de missiles sur une méduse volante, avant de retomber et d’envoyer valser les petits mobs avec le bouclier. Bouclier qui est, d’ailleurs, lui aussi très fun à prendre en main.
Changement assez majeur par rapport aux précédents opus : les niveaux sont désormais plutôt ouverts, avec quelques petits secrets et améliorations à dénicher en fouillant leurs moindres recoins. L’aspect exploration, bien que basique, reste tout de même plutôt plaisant.
Là où le jeu m’a cependant laissé sur ma faim, c’est concernant le level design, qui peine malheureusement à se renouveler. La majorité des niveaux se ressemblent, que ce soit dans leur environnement ou leur construction, et j’aurais peut-être aimé un peu plus de folie.
Le jeu propose aussi quelques niveaux à bord d’un titan géant, et d’autres sur le dos d’un dragon.
Les phases en titan, bien que classiques, restent assez efficaces et plaisantes. En revanche, les phases en dragon sont d’un ennui mortel… heureusement, cela ne représente finalement que très peu de niveaux dans l’intégralité du jeu.
Finalement, bien que classique, Doom remplit le cahier des charges de la licence : fun, jouissif et défoulant — et c’est tout ce qu’on lui demande
Bastoche.
Créée
le 1 nov. 2025
Critique lue 5 fois
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