le 16 avr. 2016
Comme une odeur de brûlé
Firewatch se divise en deux parties. La première est une promenade, un émerveillement tranquille, presque tendre, face à la souveraineté d'une nature magnifique. Il y a dans ce jeu un vrai parfum...
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J’étais au dépars très sceptique face à se jeu remplie de toutes petites erreurs partout et qui minimisé énormément la notion de jeu, mais forcer de constater qu’après deux semaines je me rend compte avoir une grande sympathie pour l’expérience qu'il met offert.
Durant les premières heures de jeu, je ne lui aurait donné que 5 voir moins, d’ailleurs je ne sais pas pourquoi j'ai inversé les noms mais j'étais persuader que j’allais jouer a the witness, alors la première heure je ne comprenais pas pourquoi je ne trouvais pas les fameuses énigmes... C'est un peu ridicule... Et aussi c'est le deuxième jeu de l'histoire de ma vie qui me donne du Motion Sickness, aucune idée de pourquoi.
Bref sa commençais mal avec moi.
Des murs invisibles partout qui nous bloque pour aller à des endroits qui nous semble être totalement à porter et utile, des musiques qui se lancent de façon totalement random en promenade (meme si elles sont belles), des mouvements super rapide alors qu'à d'autre moments le jeu prend trop sont temps, le jeu est assez court, la foret est petite, etc... Pleins de petits défauts parsemé ici et là mais que l'ont sens n’être que des inattentions, des choses bénignes du à un manque d’expérience de se tout nouveau studio qu'est Campo Santo, et pour un premier jeu ils posent leurs première barre assez haute.
Car même si les défauts cité si dessus vous sauterons à la figure ils seront remplacé avec le temps par une sincère bienveillance à l’égare du jeu et de sont histoire, de sont écriture notamment. Sans m'avoir offert de grande scène qui décroche la mâchoire, Firewatch m'a fait vivre une très belle histoire humaine, touchante par sa simplicité et sa bonté.
Un certain nombre de personne reproche au jeu de ne pas avoir suivit les indices qu'il nous semer pour nous intriguer vers une histoire de science fiction, plus ambitieuse. Bien que je l'ai aussi souhaiter sur le moment, je suis bien content qu'il ne l'ai pas fait et pour moi il est l'un des rare jeu qui a sue rester simple dans cette industrie du divertissement titanesque. Sérieusement même le simple veut devenir spectaculaire maintenant ( par exemple life is strange)
Et je ne pense pas non plus que se fut une erreur de donner ses indices. Gone home est un jeu qui raconte une histoire toute aussi touchante et humaine que Firewatch, mais on s'attend à sa. Je pense que c'est l’écart entre le spectaculaire que l'on supposais et se que l'on obtiens vraiment qui nous permet de nous rendre compte de la sensibilité de se qui nous a était livré dans se jeu.
Toute fois, il y a un vraie défaut selon moi, et ses le jeu. Bien qu'il y' ai un petit peut de puzzle orientation, la place du joueur est vraiment minime, et d'habitude je ne suis pas vraiment d’accord avec l'intituler « film interactif » mais ici cela a probablement sa place. Évidement le fait de manipuler le personnage et très important, il ajoute beaucoup dans l’expérience, dans l'empathie que l'on peut ressentir, mais je regrette qu'il n'y ai pas de conséquence à nos acte, que nous ne soyons pas perdu à un moment pour réellement utiliser la boussole, que l'on ne puisse pas sortir du sentier de cette promenade, la foret a l'aire immense, mais vous n'irez que la ou c'est prévue. A peu de chose prés se jeu aurait pue être un film, il suffirai que les spectateurs est une manette entre les mains, et cela se ressemblerais beaucoup.
Quelque semaines après avoir jouer au jeu, Firewatch me reste dans l'esprit comme une belle plante ni coquette ni rougeoyante, juste coloré de douceur dans un panorama de gros jeu qui concours a qui sera le plus grand et le plus fort.
Sans prétention, il a sue être fragile et sincère pour moi.
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Créée
le 15 mai 2016
Critique lue 206 fois
le 16 avr. 2016
Firewatch se divise en deux parties. La première est une promenade, un émerveillement tranquille, presque tendre, face à la souveraineté d'une nature magnifique. Il y a dans ce jeu un vrai parfum...
4
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