C’est ce qu’on appelle une « japoniaiserie » très typique, roulée sous les aisselles à l’arrache par des salary men en position latérale de sécurité, juste après avoir dégueulé sur le quai, à la sortie d’un karaoké qui a traîné en longueurs… Il faut dire que c’est édité par « Ideal Factory », éditeur dont la spécialité est de démouler comme à l’usine tous ces produits de l’ère PS2…
En effet, c’est vite fait mal fait, (comme d’habitude) alors, tout ce que vous pouvez espérer, c’est du graphisme PS2 en HD (enfin, à peu près) à seulement (pourtant) 30 im/s sur PS4. C’est dingue de constater que leur étron marche même pas à 60 im/s…! même que si j’étais vulgaire, je dirais que ça troue le cul, une telle incompétence ou un tel je-m’en-foutisme de jean-foutre.
Le jeu en lui-même est (comme d’habitude) très limité dans son histoire (?) dont l’intérêt est égal à zéro, voire nettement en dessous, en dépit du fan service que les cocottes idiotes en jupettes peuvent prodiguer ici et là, via notamment un nombre de DLC -optionnels- très conséquent… (DLC : dans le cul alors…?).
Le jeu est victime d’un système de combat alambiqué et inutilement compliqué pour faire « style » mais ça fait pschiiit assez vite de par sa répétition et sa lourdeur. Les dialogues insipides (et souvent répétitifs et idiots eux aussi) sont innombrables et auront raison de la patience des otacons les plus enragés… (encore que, là je m’avance un peu, je crois !). Enfin, bref, une bouse à otaculs de plus, sans intérêt aucun.