Il a suffi d’un trailer pour me jeter sur Phantom Sparks. Esthétiquement, on se situe dans un style solarpunk, accompagné d’une bande-son drum’n’bass — ou peut-être plus précisément liquid bass ?
Côté gameplay, c’est un mélange entre Wipeout et Trackmania : une conduite “flottante” à ras du sol, centrée exclusivement sur des défis contre la montre. Pas d’adversaires, pas de collisions, pas d’armes ; tout tourne autour d’un seul objectif : rejouer encore et encore, à la manière d’un “die and retry”, pour affiner sa trajectoire et grappiller quelques dixièmes de seconde.
Le jeu est court, et j’ai vécu une véritable “honeymoon phase” : m’y plonger était tout simplement relaxant. La musique, le gameplay et l’ambiance générale — profondément solarpunk — dégagent un optimisme lumineux qui m’a fait beaucoup de bien après la période post–Silent Hill F.
Même si la mécanique de conduite est très solide, certains niveaux se révèlent particulièrement retors à platiner. Cette (petite) frustration m’a fait m’arrêter après environ 4 heures de jeu, sans aucun regret. Très souvent, dans la vie, “less is more.