2016 annoté

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18/11/2015 → 24/01/2016
(69j, 255p ; Lu en anglais.)
Lorsqu'on est passionné par la virtuosité de Wes Anderson, un tel ouvrage représente une mine d'or. Les interviews du réalisateur permettent de cibler les références et d'en apprendre beaucoup à propos des repérages de décors, des méthodes de fonctionnement ou des trucages. Certaines rubriques sont plus difficiles à lire, comme tout le chapitre sur la musique, où Alexandre Desplat exprime sa musique en termes de calques et de couleurs. Je reconnais avoir été totalement perdue, et la langue étrangère y est un aussi pour quelque chose ! Hormis ces quelques passages dont la lecture sera laborieuse, le livre me semble indispensable aux fans du réalisateur.

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03/01
(1j, 117p)
Première lecture de l'année, un livre qui se lit très vite, puisque je l'ai terminé en une demi-heure ! Honnêtement, je trouve que le supposé lien avec le Trône de Fer est un peu mensonger puisqu'il n'y a aucun lieu commun, aucun personnage historique ou créature connus. Simplement des dragons. Même après avoir lu le sublime livre des Origines de la saga, je n'arrive pas à situer temporellement l'histoire d'Adara. Sinon on a ici du grand George RR. Martin, une intrigue prenante et des personnages intéressants, et même un froid qui s'insinue sous la couette pendant la lecture. Les illustrations de Luis Royo sont tellement belles, elles contribuent énormément à la qualité de l'oeuvre.
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05/01 → 13/01
(9j, 636p)
Mondieumondieumondieu. Mais quelle tuerie ce livre ! À ce jour, le seul roman qui aura empêché de dormir la grosse marmotte que je suis tellement j'ai flippé ! Je ne dirais rien de l'intrigue, parce que c'est le genre de livre qu'il faut découvrir en n'en sachant pas plus que le résumé de la quatrième, mais les péripéties sont incroyables, malsaines, effrayantes, traumatisantes. Chapeau bas Mr.King !

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14/01 → 18/01
(5j, 382p)
Chaudement recommandé par la sestra libraire jeunesse (autant dire qu'elle s'y connaît plus que bien), je n'en attendais que du positif. L'intrigue est longue à se lancer, il faut attendre de dépasser la moitié du livre, de faire la connaissance de Gabriel (♥) et de Mercury pour que tout se lance, et que le livre devienne un "page-turner" irrésistible. Le livre souffle un vent frais dans l'univers jeunesse, et réussit l'exploit de parler de sorcellerie sans jamais évoquer le monde merveilleux de J.K. Rowling. La suite, vite !

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19/01 → 24/01
(6j, 406p)
Ah mais c'est bien, bien mieux que le premier tome ! L'histoire est lancée, vraiment, les temps forts sont omniprésents. Je m'attache vraiment à Nathan et Gabriel, au (finalement pas si) joli monde créé par Sally Green. Et puis ce cliffhanger de fou va me tuer ! Je veux lire la suite, tout de suite ; mais certainement pas d'adaptation cinématographique comme c'est prévu !

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25/01 → 04/02
(10j, 191p)
Étonnamment, "Le mythe de Cthuluhu", ce n'est pas seulement l'histoire de la monstrueuse créature à tête de poulpe. C'est aussi cinq autres nouvelles tout aussi terrifiantes. Un petit mot sur chacune, classée par ordre de préférence :
1- La couleur tombée du ciel, ma préférée car c'est dans celle-ci que j'ai le plus ressenti l'horreur. La façon dont lentement le mal se développe et la tragique conclusion m'ont grandement impressionnée.
2- L'appel de Cthulhu, celle par qui tout a commencé, glaçante, mais bien trop courte.
3- Celui qui chuchotait dans les ténèbres, même si la majeure partie de la nouvelle se construit autour de correspondances, l'horreur est parfaitement distillée. Peut-être même que l'attente de recevoir la suite de cette conversation épistolaire contribue à renforcer la tension. Une fois la dernière lettre arrivée, tout s'accélère pour notre plus grand plaisir !
4- La peur qui rôde, encore une fois, le final est très fort. Je crois que c'est l'une des plus longues nouvelles du recueil, et cela se ressent à la lecture des différents chapitres, d'intérêt variable.
5- Par-delà le mur du sommeil, j'ai eu quelque mal à accepter la façon dont Lovecraft dépeint les montagnards -comme des arriérés stupides-, mais encore une fois, j'ai raffolé de la conclusion.
6- La tourbière hantée, ne me laisse pas de souvenir très marqué.
Vous l'avez compris, mon principal reproche de cette première incursion dans l'univers de Lovecraft est que ses récits sont beaucoup trop longs à se mettre en place. Même si le frisson est effectivement présent, chaque intrigue du recueil est malheureusement trop similaire,que ce soit par rapport à son héros, à son style de narration ou bien au rythme des péripéties.

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17/02 → 18/02
(2j, 136p)
Pas mal, mais franchement pas mémorable. Les contes sont (ou ont été adaptés) pour enfants, et cela se sent énormément à lecture. Les histoires très courtes se lisent bien, mais peu respirent vraiment la culture et les mentalités asiatiques.

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21/02 → 01/03
(10j, 296p)
Ne nous mentons pas ; la saga de SF de Dan Simmons est grandiose, mais comporte de nombreux et gênants défauts. Tout comme dans le premier tome, cet "Hypérion" ne sert que d'immense introduction à l'action décrite sur la quatrième de couverture. Le pèlerinage commence sans vraiment que ce soit le cas. Encore une fois, les petits segments du passé des pèlerins qui nous sont contés ne sont pas égaux. J'ai apprécié l'histoire de Sol et de Rachel, touchante à défaut d'être exceptionnelle, adoré celle de Brawne, qui mêle habilement intrigue policière, amoureuse, et les fondements de la SF (apparition des IA). En revanche, j'ai eu du mal à comprendre l'intérêt du récit du consul, en particulier la première partie concernant Siri. Difficile de comprendre à quel point l'histoire des grands-parents du consul va influencer les événements aux Tombeaux du Temps. Le second axe, centré sur la mission du consul, se révèle bien plus passionnant car directement lié aux Extros et à l'histoire centrale. L'envie de lire la suite est encore plus présente maintenant que chacun a dévoilé sa part de mystère, l'intrigue de "Hypérion" peut enfin commencer !

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02/03 → 07/03
(6j, 213p)
C'est mon premier Jules Verne qui ne se situe pas dans la lignée des Voyages Extraordinaires. C'est très rafraîchissant ! Le schéma n'est plus le même, le duo de héros non plus et cela fait du bien. L'intrigue est encore une fois très bien menée, jonglant habilement entre longues descriptions et péripéties faisant tourner les pages à grande vitesse. Il est peu fréquent de voir l'intrigue se situer dans une Transylvanie profonde aux croyances bien ancrées. "Le château des Carpathes" est malheureusement sans surprises. Commençant un peu à connaître le style de l'auteur, j'avais deviné dès le début le dénouement, et c'est un peu dommage.

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07/03 → 17/03
(11j, 666 p)
Il paraît que c'est une histoire classique, clichée, de la petite littérature pour qui a envie de se plonger pour la première fois dans les délices de la fantaisie. Pourtant, et peut-être parce que mon absence de goût sophistiqué est réelle, j'ai adoré et accroché dès les premières pages. Dès cette première bataille où la proximité du Roi et de son commandant n'empêche pas le drame d'arriver. Malgré ses allures simplistes, Le Don est un livre qui ose et n'épargne rien à son lecteur, que ce soit la mort, la violence, le gentil sexe ou les états d'âme des personnages. Wyl Thisk est un héros auquel on s'attache immédiatement, tout comme à ses compagnons. Et même si le livre lorgne souvent du côté de ses illustres modèles (Le Trône de Fer, L'assassin Royal surtout), le lire est un vrai plaisir. Il est même difficile de le lâcher...!

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18/03 → 22/03
(5j, 446p)
Le problème a été que j'ai haï tous les personnages de ce roman. Tous semblent avoir un grain, tout donnent l'impression de n'être que spectateurs de leurs vies. Les femmes de cette histoire (Naoko, Midori, Reiko) ont la fâcheuse tendance à dialoguer de façon interminable sur leur vie et leur état d'esprit tordu pendant des pages et des pages. Même si le style d'écriture de Murakami est excellent, ce livre ne m'inspire que de la colère.

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22/03 → 31/03
(10j, 284p)
Encore une fois un chef d'œuvre à la réputation méritée ! Chaque petite histoire est passionnante ! Rien de plus à dire à part que j'ai ADORÉ !

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01/04 → 20/04
(20j, 762p)
Le style parfois pompeux de Victor Hugo peut rebuter, voire même désespérer les lecteurs du XXIè siècle. Les grandes envolées lyriques de l'auteur, ses longs monologues et descriptions détaillés semblent souvent interminables. Pire, le livre commence par des pages et des pages de descriptions de la mer, des terres. On nous narre des événements qui ne sont que secondaires à l'intrigue. Le premier et deuxième livre pourraient tout bonnement être ignorés. Mais il faut s'accroche. Car c'est à partir du moment où Gwynplaine adulte apparaît que l'histoire révèle tout son charme. Victor Hugo est l'un de nos plus grands auteurs, ce n'est pas un hasard. Même si aujourd'hui ses explications et ses interprétations des lois anglaises prêtent plus au rire qu'à autre chose, sa vision de l'Angleterre, du système seigneurial passionne. Le grand discours du héros dans la chambre des lords est magnifique. Les mots n'ont jamais été aussi beaux que sous la plume de Victor Hugo.
"L'inconvénient des mots, c'est d'avoir plus de contour que les idées. Toutes les idées se mêlent par les bords ; les mots, non. Un certain côté diffus de l'âme leur échappe toujours. L'expression a des frontières, la pensée n'en a pas.".

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20/04
(1j, 187p)
Je m'attendais à mieux. À quoi, je ne sais pas, mais à mieux. Peut-être à plus de vie privée comparée à la vie professionnelle, pour contrebalancer les coups durs. L'avantage, c'est que ça se lit très vite. En tout cas l'esprit aiguisé d'Amélie Nothomb la rend redoutable, et aussi très drôle. C'est à se demander comment la jeune femme a pu tenir si longtemps embourbée dans un tel calvaire.

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22/04 → 02/05
(11j, 670p)
Toujours aussi surprenant et plein de révélations, je reste cependant mitigée sur le twist du milieu du livre -la nouvelle identité de Wyl-, pas spécialement bien amenée, trop brusque pour qu'on l'apprécie pleinement.

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04/05 → 29/05
(27j, 703p)

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09/06 → 15/06
(7j, 354p)
Cette histoire peut vous redonner foi en le genre humain ! Si si ! Tout le monde y est gentil, l'auteur développe beaucoup autour des notions de solidarité et d'entraide, deux éléments qui auront de nombreuses fois sauvé la vie de Pikej, le héros. Le livre est top pour en savoir plus sur la (passionnante) culture indienne, mais on peut y trouver beaucoup à redire concernant le développement des personnages et de l'intrigue amoureuse. Malheureusement, cette dernière manque de passion. Tout est tellement axé sur la prophétie que Per J. Andersson donne l'impression que Lotta et Pikej ne font que s'en remettre au destin au lieu de réellement tomber amoureux l'un de l'autre. Il est ainsi difficile de comprendre ce que Lotta, riche européenne, peut trouver à Pikej, pauvre petit indien ayant une forte capacité à s’apitoyer sur son propre sort. Dommage.

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16/06 → 18/06
(4j, 181p)

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21/06 →27/06
(7j, 318p)

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30/06 → 16/07
(17j, 532p)

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12/07 → 13/07
(2j, 281p)

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6/07 →
Livre de plage ! À l'année prochaine !!

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17/07
(1j, 187p)

Annotation :

17/07 → 20/07
(4j, 251p)

Annotation :

17/07 →03/08
(18j, 432p)

Annotation :

03/08 → 08/08
(6j, 367p)

Annotation :

09/08 → 11/08
(3j, 535p)
Un livre qui inspire de la haine. Pire livre que j'ai jamais ouvert ! Adieu Musso, roi de la médiocrité !!!
(là, maintenant, je meurs d'envie d'écrire une critique assassine !)

Annotation :

13/08 → 17/08
(5j, 522p)

Annotation :

18/08 →19/08
(2j, 87p)

Annotation :

22/08
(52p)