2016 - Films vus

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Pour bien débuter l'année !
Larry Clark filme encore délibérément cette jeunesse américaine paumée, avec ses problèmes et ses diverses échappatoires. Dans Ken Park, clairement, les parents (voire grands-parents) ont un rôle capital. C'est sûrement le film où LC les met le plus en avant, d'habitude on ne voit pas trop d'adultes dans ses films. Et c'est d'ailleurs peut-être mieux pour eux ! Ils sont un peu la source de tous les maux des jeunes dans Ken Park, que ce soit de manière active ou passive. La plupart est incapable de comprendre la détresse évidente des ados. Ils sont complètement hermétiques aux envies et besoins réels exprimés (ou non) par leurs gosses. Bref, dans Ken Park, les adultes sont un peu tous des connards quoi. Grossièrement, si les jeunes se comportent comme ils le font (sexe, drogue, etc.) c'est carrément à cause de leurs parents et de la manière qu'ils ont de se comporter, eux. Personnellement, je trouve que LC arrive toujours à filmer la jeunesse avec tellement de justesse...
"Je vis leur vie tendre et farouche, je m'associe à leurs bonheurs et je les suis dans leurs malheurs."

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Déjà vu il y a longtemps, mais je n'en avais quasiment aucun souvenir. Je crois que le visionner en VF a un peu altéré mon appréciation, mais je l'ai tout de même trouvé vraiment bien. Y a plusieurs scènes dont on ne peut comprendre la réelle portée qu'à la fin et ça démontre que ce film n'a pas été fait sans réfléchir.
"Hope is a dangerous thing. Hope can drive a man insane."
"Hope is a good thing, maybe the best of things, and no good thing ever dies."

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Les personnages sont tellement attachants ! A commencer par Oskar, qui est déjà trop mignon, mais aussi très bien joué à mon avis. J'ai été toute bouleversée au point de ne pas dire un mot durant une dizaine des minutes suivant la fin du film. J'ai bien évidemment pleuré plusieurs fois.
Je suis pas sûre de mettre la note adaptée mais j'ai vraiment passé un bon moment.

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Ses plans magnifiques et sa jolie histoire...

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Comme l'indique le titre original, c'est Orgueil et Préjugés transposé en Inde, avec en plus un nombre incalculable de chansons.

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Clairement le genre de films que je regarde quand j'ai (vraiment) pas envie de réfléchir, même si d'habitude je les choisis mieux quand même... J'avoue que la petite bouille de Lucy Hale n'y est pas pour rien dans mon visionnage de ce film :3
C'est typiquement un film pour jeunes adolescentes, sans trop d'intérêt, quoi.

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Kenji est un lycéen très doué en mathématiques qui travaille l’été au service informatique d’OZ, le gigantesque réseau social qui régit internet et quasiment tout le monde réel. Alors qu’il séjourne dans la famille de son amie Natsuki pendant les vacances, une intelligence artificielle pirate le système de sécurité d’OZ, causant ainsi un chaos mondial.

Ce film d’animation mélange les traditions chères aux japonais et la modernité d’internet. L’histoire est relativement simple, mais le scénario fait intervenir plusieurs événements parallèles, bien amenés, qui alimentent et suivent le film avec fluidité. Contrairement aux films (américains)° habituels dans lesquels le héros sauve le monde tout seul, on retrouve dans Summer Wars l’idée que la force vient du groupe, et que toute la communauté s’allie pour vaincre un ennemi commun (#coher’s) – il dénonce ainsi les abus d’internet tout en soulignant ce qu’il en ressort de positif.
Si Summer Wars n’est pas un chef d’œuvre du cinéma, il reste néanmoins un bon film très divertissant, mêlant humour, action et émotions.

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Vu en VO

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"Lorsque seuls les vampires et les fous sont encore debout."

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La scène d'intro se voulait pourtant prometteuse... La beauté dans l'excès ? A part sur la gueule des acteurs, je ne l'ai pas retrouvée au long du film. [...]

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Mommy, c’est le film qui m’a fait découvrir Xavier Dolan, ce jeune réalisateur québécois prodige. Il s’agit de son 5ème long métrage, Prix du Jury à Cannes en 2014, et il a été pour moi une vraie claque cinématographique.
Comme dans la majorité de ses films, l’importance de la relation mère/fils ressort, une relation complice, profonde, complexe, parfois tumultueuse et violente, entre Diane et Steve. A cela va se rajouter la présence de Kyla ; contrairement aux deux autres personnages, elle est calme et réservée. Par leur influence mutuelle, le trio va se tirer vers le haut et tenter de braver tous les obstacles.
Tout est magnifiquement filmé au format carré – symbolisant l’enfermement de la mère et son fils dans leur relation et dans leur situation ? – et l’image ne s’élargit qu’à deux reprises, quand un sentiment de liberté combiné à un bonheur éphémère tente de s’immiscer dans l’histoire…
Mommy est source d’émotions variées. Je vous l’accorde, je suis facilement émue – mais Mommy n’a cessé de m’émerveiller au cours de chacun de mes visionnages. L’interprétation parfaite des personnages par les acteurs principaux y joue un grand rôle. On comprend pourquoi Suzanne Clément, Anne Dorval et Antoine-Olivier Pilon sont trois des acteurs favoris de Dolan… Ils sont sublimes et incroyablement crédibles à chaque instant.
Le seul point qui pourrait vous perturber au début est l’accent québécois. En effet, ce film est, dans sa version originale, en français sous-titré français – mais tabarnak, il n’en reste pas moins bouleversant !
Vous l’aurez sans doute compris, Mommy s’est instantanément hissé au top de la liste de mes films préférés. Il m’a fait rire et pleurer, et m’a profondément marquée.

- Je me suis un peu inspirée des critiques lues sur SC pour écrire ceci il y a quelques jours, pour le journal de l'Ecole. Ca m'a donné envie de revoir le film, pour vérifier mes souvenirs.

Par conséquent, je viens juste de regarder Mommy à nouveau. Encore une fois, je reste complètement bouleversée. Chaque détail tombe à pic. Chaque image est sublime. Chaque réplique sonne juste. Sans parler de la musique. Je suis inconditionnellement fan de ce film. Merci Xavier Dolan de nous offrir ça.

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Pocahontas est sûrement mon personnage Disney préféré après Mulan <3

"I know every rock and tree and creature has a life, has a spirit, has a name... Have you ever heard the wolf cry to the blue corn moon ? Or asked the grinning bobcat why he grins ? Did you ever sing with all the voices of the mountain ? Can you paint with all the colors of the wind ?"

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Dans le bus en direction de Cluny - on n'avait pas trop le choix du film.
Absolument tout dans ce film est exagéré et chaque seconde a sa dose de malaise. C'était vraiment nul.

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Dans le bus en revenant de Cluny, cette fois !
2ème fois que je vois Qu'est-ce qu'on a fait au Bon Dieu, et vraiment, il me fait beaucoup rire. C'était sûrement pas compliqué au vu de mon humeur extrêmement joyeuse à ce moment-là, mais tout de même !

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Vu en VF avec des amis. C'était vraiment nul, même si j'ai eu très peur. Mon humeur n'était de base pas si joyeuse que ça.
Je hais l'intonation des acteurs dans ce genre de films, c'est complètement ridicule et irréaliste et ça m'énerve.

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Vu au cinéma !
Je suis bien contente de l'avoir vu, ça faisait une éternité que je n'étais pas allée au cinéma en plus. Ce film est trop cool ! J'écrirais un avis plus détaillé plus tard si j'y pense mais je préfèrerais le revoir avant.

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Le documentaire qui m'a fait découvrir les Doors il y a 6 ans ! C'est donc celui grâce auquel j'ai eu réellement envie de m'intéresser plus profondément au groupe. Ce qui m'a fait en devenir complètement fan.
Tom DiCillo a vraiment fait un bon boulot. Il a réussi à capter et retransmettre l'esprit du groupe et l'ambiance qui régnait en son sein comme autour de lui.
Evidemment, il est difficile de tout retranscrire sans faire l'impasse sur quoi que ce soit dans un docu d'1h30. Mais DiCillo a quand même regroupé beaucoup d'images a priori inédites. Il a aussi laissé sa place à la poésie de Morrison tout au long du film.
Bref, je mets la note de 10, ce qui est certainement un peu surnoté - je ne suis, comme beaucoup, pas très objective quand il s'agit des Doors et de Morrison. Et coup de cœur, évidemment.