2016 : une année cinématographique de plus !

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Magnifique long métrage sur un moment terrible de l'histoire.

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Con, lourd mais drôle

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Une expérience éprouvante, un film cheap, Vin Diesel m'énerve, Lambert Wilson est pathétique et Mélanie Thierry en exaltée me sidère. Je me suis ennuyé.

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Une bonne surprise, une comédie sympathique sans prise de tête portée par un Jean Paul Rouve en beauf excellent.

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Comédie douce-amère, comédie absurde, ce film s'interroge sur l'existence, les quotidiens pathétiques, cultive les petits destins et les petits riens qu'il thésaurise comme dans Amélie Poulain.

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Un film à la fois dur et optimiste. Yves Boisset s'attaque à un sujet sensible, la guerre d'Algérie. Il montre la gégène, les bordels de campagne, les violences de l'armée. Il critique la guerre, le conflit en bon marxiste militant qu'il est. Le film ne tombe pas dans le cliché, reste fort et subtile, porté par un casting assez remarquable. A cela s'ajoute un scénario qui n'est pas s'en rappeler celui de Full Metal Jacket.

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Claude Brasseur sauve le film par son côté papy bougon. Le thème est par contre ressasé et déjà vu. Noémie Schmidt apporte un peu de fraicheur. Guillaume de Tonquédec allège l'ensemble. Le film ne sombre pas dans le cliché.

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Un peu déçu par le film. Georgia Scalliet est convaincante et gracieuse. Mais le film, lui, développe des métaphores pataudes sur le désir amoureux. Olivier Gourmet est toujours sobre et impeccable.

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Daniel Auteuil finit par prendre possession de Jean-Claude Romand. Il fait de ce tueur sien, montre les méandres de son mensonge, de son déni. Le film est presque documentaire, il montre des détails annodins, des prismes de souvenirs qui conduisent toujours au même résultat : la tragédie effroyable qui va s'opérer, celle d'un tueur et d'un menteur. La vie du personnage est une impasse comme le film, par sa mise en scène, conduit à un cul de sac.

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Etrange, doux-amer, avec cet amour si particulier.
- Vous voudriez être transformé en quoi ?
- En homard
- Pourquoi ?
- Parce qu'il vit parfois plus de 100 ans

Le duo Colin Farrell, Rachel Weisz fonctionne à merveille, dans cette distopie étrange où si l'on est pas marié, on finit par mourir et se transformer en animal. Le film frôle l'absurde à tel point qu'il se perd parfois dans l'étrange.

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Une histoire de piano, objet exotique dans un milieu exotique et sauvage néozélandais, un objet de désir aussi, entre une personne muette et un colon sauvage et analphabète. Tout se passe dans cette jungle étouffante, avec violence, frénésie, enivrement. L'érotisme surgit sans garde, au milieu de cette boue et cette pluie, la douceur aussi, les notes de musique, invoquée sur une plage balayée par les eaux. C'est beau, c'est fort, visuellement et dans la mise en scène qui subliment Holly Hunter et Harvey Keitel. Un film sur le désir, la jalousie, la colère, la violence.

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Assez drôle, plutôt bien joué, même si parfois assez agaçant, le film reprend un thème maint fois revus mais comme il y a André Dussollier, que j'adore, ça passe.

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Hormis les scènes entre Julie Delpy et Karin Viard qui nous gratifient de dialogues crues et sybilins, le film reste une comédie gentillette dans laquelle Vincent Lacoste tient le rôle d'antagoniste, avec un sadisme qui est devenu sa patte en terme de jeu.

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La mise en scène fait tout dans ce film, immeuble parisien tentaculaire, à la promiscuité rance, éloge de la folie, humour noir et obscure, le film est l'aboutissement du travail de Polanski sur les "appartement maudits" et plus encore sur le fantastique. Véritable film kafkaien, on ne comprend pas tout, on perd pied, on frôle la folie à se perdre avec Polanski lui-même dans les abbyses de la paranoia et la fascination pour la mort.

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Film décevant par rapport au réalisateur, admirable, qu'est Gus Van Sant mais le casting est phénomènale et reste convaincant, à commencer par Naomi Watts que j'admire par dessus tout. Le background, à aokaginaara, la forêt des suicides, est fascinant et aux possibilités infinies qu'un tel lieu offrait on est forcément un peu déçu. Restent cette verdure et cette épreuve douloureuse du deuil.

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Encore un bijou d'esthétisme du maitre Malick.

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Peu de souvenirs a posteriori du film. Pas trop mal.

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Film plutôt marquant, par son érotisme et son exotisme. Film controversé.

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Je me suis un peu ennuyé, malgré deux acteurs que j'adore.

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Nanar, encore plus nanardesque que le premier et donc forcément moins bien. Heureusement Jeff Goldblum est là pour notre plus grand plaisir.

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Le film fonctionne bien, est agréable, drôle, mais peut-être un peu trop à l'eau de rose. La recette de la licence continue cependant de fonctionner.

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Subtile, émouvant, drôle et irrévérencieux. Guillaume Gallienne met des images sur l'identité sexuelle et c'est totalement réussi.

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Film de cape et d'épée à la Française : panache, bataille, bons mots et vaudeville à la minute mais peu mémorable. Daniel Auteuil et Luchini tiennent la barque.

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Grinçant, drôle et glauque à la fois. J'ai jubilé d'horreur.

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Depardieu efface DSK. L'homme déchu, c'est lui.

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Suite ratée d'un film culte. Triste. Gênant, presque.

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Les allemands qui font de l'humour noir sur le nazisme et Hitler, il fallait oser, surtout avec des caméras cachées.

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Vu en avant première, marrant sur le coup avec les blagues de Dujardin himself. Ca se laisse voir sans broncher.

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Film intéressant mais tout de même vite ennuyant, faute à la nouvelle vague, un style cinématographique particulier. Malgré tout je suis ravi d'avoir vu ce classique de Godard et la lumineuse Jean Seberg.

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Assez lourd et maladroit. On est bien loin des spectacles du trio légendaire.