2020 : année cinématographique passionnante

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Jeudi 2 Janvier
Vu sur Mubi, via portable

Un western moderne en noir & blanc, assez haletant, avec Kirk Douglas dans le rôle titre, reprenant et parodiant le style des westerns classiques (cow-boy solitaire, grands espaces) pour les transposer dans le Far West des années 1960. Au Nouveau Mexique, Jack, jeune cow-boy accompagné de sa jument, apprend qu'un ami à lui vient d'être emprisonné. Il cherche la bagarre avec des shérifs pour se faire volontairement incarcérer et aider l'autre à s'évader ! La seconde partie du film tourne autour de la chasse à l'homme qui est organisée par les forces de l'ordre afin de le retrouver, suite à son évasion.
Un très bon moment de cinéma plein d'humour !

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Vendredi 3 janvier
Previsionnement UGC, siège UGC
Pyramide / 252 871 entrées

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Vendredi 3 janvier
Vu en DVD
Jour2Fête / 3 965 entrées

Petite déception pour ce 3e film du réalisateur islandais Rúnar Rúnarsson dont j'avais vu Sparrows cet été au festival de la Rochelle. Le film est constitué de 56 courtes scenettes, déconnectées les unes des autres, autour de la préparation de Noël en Islande. Bien que le film soit court, on finit par trouver le temps long. Certaines scènes sont marquantes, comme cette maison qui brûle, car le propriétaire ne pouvait financièrement la rénover, un concours de femme bodybuilders en string tout à fait caricatural, ou l'accouchement final, allégorie (un peu gros sabots) de la naissance du Christ et de Noël. Mais finalement ces quelques scènes fortes sont noyées dans celles du quotidien de familles islandaises, pas particulièrement passionnantes. J'avais bien aimé Sparrows, dont l'histoire était déjà un peu construite sur ce modèle, et avait donc quelques attentes sur ce film. Petite déception.

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Samedi 4 janvier
Vu au cinéma : UGC Halles, avec Claire
Haut et court / 19 303 entrées

Film japonais de Takashi Miike, réalisateur à la filmographie de plus de cent films, et donc j'avais particulièrement apprécié le remake de Hara-kiri Mort d'un Samouraï.

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Samedi 4 janvier
Vu au cinéma : UGC Halles, avec Claire
Warner / 105 205 entrées

On a du mal à le croire, mais ce "film de vieux" a été réalisé par Bill Condon, dont le précédent film était le live action movie Disney La Belle et la Bête, auteur également des Twilight 4 & 5...

"Tout ça pour ça". C'est avec un petit goût de déception que l'on sort de la séance de l'art du mensonge. Le titre nous promettait des retournements de situation et un jeu de manipulation qui allait déjouer nos attentes et nos raisonnements. En réalité, pour quiconque a une petite expérience de ce genre de thriller de manipulation, la fin est evidente dès le départ. Monsieur manipule madame. En réalité c'est madame qui manipule monsieur. Point. Ça ne va pas chercher plus loin. La réalisation est soignée, mais sans génie. Le scénario bien ficelé mais glisse un peu sur notre intérêt de spectateur. J'ai trouvé la fin particulièrement décevante, notamment la raison pour laquelle Betty manipule Roy : elle aurait été violée par ce dernier jeune homme, et aurait attendu 50 ans pour se venger. Entre temps, Roy a changé d'identité et est devenu expert en arnaques financières. Pas palpitant du tout. Pour un spectateur qui ne l'aurait pas vu, une phrase résume bien le film : "Imagine que c'est du champagne". Oui, mais il s'agit d'un verre d'eau. Vu, passé un moment pas désagréable, mais assez vite oublié, dommage.

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Lundi 6 janvier
Cinexpérience #158 au Forum des Images, en présence de Xavier Leherpeur, avec Claire
SND / 122 709 entrées

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Mardi 7 janvier
Vu sur Mubi, via portable

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Mardi 7 janvier
Vu au cinéma : UGC Halles, avec Claire
Universal / 76 122 entrées

Il en aura fallu de la motivation pour voir ce film. Après avoir fait 2 fois la queue à Cannes sans pouvoir entrer en salle, pour voir le film à la Quinzaine des Réalisateurs (prix Pipresci), et après m'être deux fois pointé aux Halles pour découvrir que la séance affichait complet, j'ai enfin pu le voir, mardi soir avant qu'il ne quitte l'affiche, dans une salle pleine à craquer (quelle idée de mettre ce film qui ne fait que des complets dans la plus petite salle des Halles...). Le film n'est pas de tout repos, l'ambiance y est oppressante, on suffoque, sans que l'on nous permette une petite respiration. Deux gardiens de phare prennent leur tour sur un gros rocher, pour une durée de 4 semaines. Les jours passent et les deux hommes plongent dans la folie, le temps devient incertain. Sont-il sur le rocher depuis 2 semaines, depuis 2 mois ? La lumière du phare se mêle aux rêves héroïques des gardiens, qui finissent par se foutre sur la gueule. C'est assez violent, mais surtout psychologiquement intense, un peu comme dans Shutter Island de Scorsese. Robert Pattinson (Twilight, The lost city of Z, Good Time), moustache d'avant guerre et la folie dans les yeux, et Willem Dafoe (The Grand Budapest Hotel, Florida Project), barbe touffue de Père Noël et pipe au bec, sont tous deux formidables. Il faut dire que la lumière Noir et Blanc (aux 100 nuances de gris), et les plans magnifiquement cadrés en 4/3 y sont aussi pour quelque chose. The Lighthouse est une expérience de spectateur éprouvante mais techniquement extrêmement bien réalisé, au scénario parfaitement mené, et à la gestion du rythme au poil. Le plan d'ouverture, qui fait écho au plan de fin, met tout de suite dans l'ambiance. Entre la grisaille d'abord uniforme, apparaît progressivement les contours d'une minuscule île et de son phare. Le son est également très travaillé dans le film, que ce soit la sirène retentissante du phare que l'on entend toutes les deux minutes et qui participe au caractère oppressant de ce rocher, ou le bruit de la tempête et des vagues qui se fraccassent sur les rochers. De même que pour Shutter Island, pas facile de classer ce film dans un genre, il s'agit d'un thriller horrifique psychologique d'auteur. En tout cas un film qui ne laisse pas insensible, un des coups de cœur de l'année 2019.

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Vendredi 10 janvier
Vu à la Fémis en salle Renoir, séance présentée par Harold Manning
Netflix

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Dimanche 12 janvier
Vu au cinéma : UGC Halles, avec Claire
Fox/Disney / 333 910 entrées

Vous avez envie de voir Kristen Stewart faire du parkour en petite culotte ? Ce film est fait pour vous ! Je n'attendais rien de ce film "de zombis sous l'eau", et m'attendais à un navet, j'ai été du coup plutôt agréablement surpris. Ce n'est pas du grand cinéma mais le film est efficace dans le genre de l'horreur et du survival. Une sorte d'Alien à 11km de profondeur. La fameuse tagline d'Alien "dans l'espace, personne ne vous entend crier" s'applique d'ailleurs à merveille pour ce film : "au fond de l'océan, personne ne vous entend crier". Bien qu'avec grosso modo le même pitch qu'En eaux troubles l'année dernière, underwater est plus sombre et moins porté sur l'héroïsme. Le contexte : les forages pétroliers au plus profond de la faille à 11km de profondeurs déclenchent un séisme et libèrent des bêtes humanoïdes, visuellement assez proches des aliens. La station de forage est détruite et la poignée de survivants, emmenés par le capitaine Vincent Cassel, doit rejoindre une autre base pour trouver des capsules de sauvetage. Mais dehors, rôdent les aliens. Rien de nouveau dans le genre, mais les références aux films d'aliens sont nombreuses. Efficace à coup de jump scares.

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Lundi 13 janvier
Vu sur Mubi, via portable

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Lundi 13 janvier
Vu sur Mubi, via portable

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Mercredi 15 janvier
Vu sur Mubi, via portable

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Samedi 11 janvier
Vu au cinéma : UGC Halles, avec Claire
Épicentre / 10 184 entrées

En sélection Un Certain Regard à Cannes en 2019. Quel gâchi! On a l'impression que le début et la fin du film ont été écrites par deux personnes différentes. Cela partait pourtant bien : une femme play boy dont l'occupation est de faire des steams erotiques sur internet est embauchée pour un premier rôle dans un film. Mais sur le plateau, son entente n'est pas la meilleure avec le réalisateur, qui la pousse dans ses retranchements (en la mettant sous pression ou en la giflant) afin qu'elle produise le meilleur d'elle même. C'est le cas puisque le film est sélectionné dans un grand festival. La dernière scène du film tourné par ce réalisateur est particulièrement intéressante puisque des flics débarquent pour arrêter le tournage, qui part en vrac. Fiction et réalité se mêlent alors. Bref le film est sur de bons rails. Et puis arrive la seconde partie, comme un cheveu sur la soupe. On découvre les agissements peu catholiques du producteur, qui aurait violé l'actrice. L'affaire Me too, très mal amenée et sans cohérence avec le reste, devient le centre du film, sans que cela colle du tout avec les premières 45 minutes. Le personnage principal, qui recommandait tantôt à une amie de devenir actrice, est présentée comme une grande névrosée, et le film donne l' impression que ce sont les producteurs qui font les castings, en abusant au passage des actrices. C'est très énervant de voir le manque de réalisme du processus de fabrication d'un film, autant que cette volonté d'inclure le mouvement Me too dans un film qui partait bien. On a l'impression d'une imposture, d'avoir voulu surfer sur le phénomène. Et finalement le film produit tout l'inverse de ce qu'il cherchait à démontrer : un film au sujet facile, écœurant. C'est détestable.

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Jeudi 16 janvier
Vu sur Mubi, via portable

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Jeudi 16 janvier
Vu au cinéma : UGC Enghien, avec Claire
Universal / 2 203 337 entrées

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Samedi 18 janvier
Vu au cinéma : mk2 Bastille
UFO / 51 626 entrées

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Samedi 18 janvier
Vu au cinéma : mk2 Nation
Sony / 805 211 entrées

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Lundi 20 janvier
Vu sur Youtube

Film produit par Autour de minuit, qui le défend pour les votes aux César 2020, court animé de 4 min par Donato Sansone, dont le Journal animé avait été sélectionné en compétition à Paris Courts Devant. Ici on découvre les mutations d'un corps à travers les coups de pinceau de l'artiste. Les effets spéciaux sont superbes : un petit bijou efficace et réussi.

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Lundi 20 janvier
Vu sur Mubi, via portable

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Lundi 20 janvier
Vu en DVD

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Mardi 21 janvier
Vu en DVD

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Mercredi 22 janvier
Revu sur Mubi, via portable

Vertigo pour le titre anglais, avec ce générique psychédélique si connu, et une séquence surprenante en animation. L'un des Hitchcock les plus connu bien sûr, que j'avais déjà vu quand j'étais jeune chez mon grand père. J'aime beaucoup le style du film, d'une qualité indéniable et à l'esthétique mystérieuse, presque mystique. Par bien des égards (et pas seulement son titre), Vertigo donne le vertige. Mais j'ai eu du mal à m'immerger dans cette histoire de jeune femme dont la personnalité se dédouble et qui vit les séquences du passé d'une autre. J'ai en revanche bien apprécié le rôle du détective (James Stewart) ancien policier à la retraite, qui tombe progressivement amoureux de cette femme. Le dénouement, où plutôt le twist final, est subtil et délicieux, dans cette vieille ferme coloniale et ce haut clocher, inaccessible à Scottie, à cause de son vertige. Si une part de mystère demeure, notamment la disparition de Madeleine dans l’hôtel McKittrick, il y règne une atmosphère que j'aime bien. Un très bon Hitchcock !

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Jeudi 23 janvier
Vu sur Mubi, via portable

Un bijou de science fiction qui m'a profondément marqué lorsque je l'avais vu étant petit, avec mon papa. J'en gardais un souvenir assez précis, notamment de certaines scènes comme le nuage radioactif qui survole le bateau du couple en vacances, ou bien, lorsque le personnage est déjà bien petit, la course poursuite du chat, et le combat à l'aide des ciseaux et de l'aiguille contre l'araignée. En noir et blanc, tourné en 1954, 32 ans avant la tragédie de Tchernobyl. D'une courte durée de 1h20, le film possède un rythme haletant. Plein d'action et d'une réflexion sur les conséquences du nucléaire, c'est avec toujours autant de plaisir qu'on le revoit. Un de mes cultes !

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Lundi 27 janvier
Cinexpérience #160 au Majestic Bastille, en présence du réalisateur Filippo Meneghetti et de la coscénariste Malysone Bovorasmi, avec Claire
Sophie Dulac / 53 904 entrées

Film choisi pour représenter la France aux Oscars.

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Mardi 28 janvier
Vu sur Mubi, via portable

5x2=5. Dans la veine des films à rebours comme Mémento, Ozon propose une histoire d'amour en 5 séquences, de la rupture, du divorce et des arrangements de la garde du gosse, jusqu'à la rencontre, clichée sur une plage itzlienne. 7e film du réalisateur, deux ans après le terrible 8 femmes. Avec Valéria Bruni-Tedeschi, Stéphane Freiss dans les rôles de Gilles et Marion. Les transitions entre chaque séquences sont faites au moyen de chansons de Paolo Conte. Un film qu'on oublie assez vite, pas le meilleur Ozon. Pas le plus connu non plus.

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Mardi 28 janvier
Vu au cinéma : UGC Enghein, avec Claire
Metropolitan / 394 170 entrées

Encore un film dans la mouvance Me Too, du politiquement correct que l'on se sent obligé d'aimer ou de défendre pour le pas passer pour un petit facho. Un alibi qui peut passer aussi pour un argument de vente marketing. Un film que je casserai facilement dans la catégorie des "arnaques au sujet" : le sujet est important et en vient à complètement primer sur l'aspect cinématographique de la chose. Parce qu'en effet, en matière de cinéma, c'est une déception. Voilà un film qui se veut dans l'ère du temps des dénonciations politiques, à la The Big Short, à la Vice plus récemment, des films au montage intelligent et au rythme à 100 à l'heure. Or, si ici le rythme est soutenu, au point au début du film d'avoir du mal à suivre tous les sous titres, le film est assez embrouillé. Là où Vice faisait preuve d'une créativité folle (cf par exemple le faux générique en plein milieu du film, où les protagonistes qui parlent en langue de Shakespeare au lit, ici on assiste à un film convenu, sans surprise scenaristique, un film que l'on déroule soigneusement sans vraiment entrer dans le mordant. Oui, le gros directeur de la chaîne Fox News est un pervers de première, effectivement chacune des employées, toutes plus top modèles les unes que les autres, ont peur de cracher le morceau et de le dénoncer, risquant ainsi leur carrière de bimbos télévisuelles, mais le film ne va pas vraiment plus loin. Pire encore, il n'est que très peu d'espace à ces trois blondes pour exister à l'écran (pourtant nommés aux Oscars, le sujet oblige), le rythme insupportablement accéléré les retranche au second plan, ne laissant vraiment une place centrale qu'au génial John Withgow, qui prend son pied à jouer le pervers fetichiste des jambes et paranoïaque. Le film en vient même à jouer le rôle inverse de celui souhaiter, le spectateur étant comme fasciné par cet homme. Le film ne présente au final rien de neuf sur l'affaire, donnant presque l'impression d'une paraisse scenaristique masquée sous couvert de rythme effréné. Lisse, le film manque de mordant, n'ayant de scandaleux que son titre. Bof donc.

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Mercredi 29 janvier
Vu sur Mubi, via portable

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Vendredi 31 janvier
Vu sur Mubi, via portable

Deuxième adaptation d’un livre d’Henri-Pierre Roché par François Truffaut, après Jules et Jim. Le film souffre d'un académique plombant, notamment dû à son sujet, une vaste fresque autour d'un trio amoureux, d'un côté deux anglaises au style coincé et un peu guindé, de l'autre le continent : Jean-Pierre Leaud qui sort de son rôle habituel d'Antoine Doinel pour jouer un Claude français de bonne famille cherchant le mariage. Avec son jeu de "je l'aime / moi non plus", j'ai eu du mal à éprouver une quelconque empathie pour l'un ou l'autre des trois personnages, tout comme la mort d'Anne qui ne m'a pas peiné plus que ça. Un film assez pessimiste sur l'amour, finalement assez long et ennuyeux, très dydactique. Vraiment pas le meilleur du prodige de la nouvelle vague.

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Vendredi 31 janvier
Vu au cinéma : UGC Enghein, avec Claire
Fox / 409 247 entrées