Ces scènes qui me font tellement vibrer que je pourrais les regarder en boucle (...d'ailleurs je les ai regardées en boucle !)

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LE MONOLOGUE FINAL DE ROY.

Je commence par une évidence, au risque de ne surprendre personne. Je sais que c'est un classique du cinéma mais je ne m'en lasse pas.
Cet extrait je l'ai vu un nombre incalculable de fois, surtout que j'ai un ami qui ne manque jamais de me le repasser à chaque fois que je passe chez lui ou presque. En même temps c'est tellement bon. C'est tellement abouti sur tellement d'aspects. C'est juste le point d'orgue du film.

Pour celles et ceux qui ont déjà vu "Blade Runner" et qui ont envie de se faire du bien, ça se passe ici : https://www.youtube.com/watch?v=NoAzpa1x7jU

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LA RESTITUTION D'EXCALIBUR À LA DAME DU LAC.

C'est le grand final du film. Arthur agonisant demande à Perceval d'aller jeter son épée dans le lac afin que l'histoire puisse enfin être scellée. Perceval hésite avant de refuser de jeter l'épée. Il revient finalement auprès d'Arthur et lui ment, mais le roi n'est pas dupe. Serein, Arthur parvient à convaincre à nouveau Perceval, lui faisant savoir que le jour où le Royaume aura besoin de l'épée, "elle rejaillira du lac, à nouveau".
Lancelot repart donc et là c'est l'envolée. Entre la lumière si particulière de ce film et la musique épique de Richard Wagner, le moment devient juste parfait.

Ce n'est pas compliqué, sitôt passe-t-il à la télé cet "Excalibur" que je le mets en fond sonore pendant que je travaille, j'y jette de temps en temps un coup d’œil et puis quand cette scène survient, ça devient irrésistible : je ressors le DVD et je passe ce final en boucle. Je ne m'en lasserai jamais.

Pour les curieux et curieuses, voici un petit extrait en mauvaise qualité :
https://www.youtube.com/watch?v=7Ll4qS4anGo

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LE BRAQUAGE ET LA FUSILLADE EN PLEINE RUE.

S'il y a bien un élément qui, dans cette scène, est juste phénoménal, c'est la manière dont Michael Mann gère la montée en tension de sa séquence. D'abord le braquage de banque, tendu mais dans la maitrise. La musique pose un tempo qui boucle sur elle-même, tout est rodé et huilé, appliqué métriquement...
Seulement voilà on sait qu'en parallèle la meute accourt. Tout ça va être une question de timing. Ça va se jouer à la seconde...
...Et là rupture. Trop tard. Kilmer voit la police. Il tire. La musique s'arrête. La fusillade se lance.

Que ce soit aussi bien dans la gestion du son que dans les cadres très larges employés, les braqueurs se retrouvent soudainement livrés à eux-mêmes, noyés dans la solitude des échos des rafales, isolés au milieu d'une immensité à l'horizon sans fin. La scène fonctionne d'autant mieux que ce chaos soudain rentre en rupture avec toute la maitrise installée juste avant.
Un instant où tout dérape, mais un instant de pure jouissance formelle.

Pour celles et ceux qui veulent se faire du bien, voici d'abord la scène du braquage : https://www.youtube.com/watch?v=UK32KG5EcbA
...et ensuite la scène de la fusillade : https://www.youtube.com/watch?v=GDElEpdJcn0

Régalez-vous bien.

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LES PEINTURES DE HORIBE.

L'art de Kitano n'est pas des plus accessibles et j'ai eu l'occasion de le constater encore il y a peu. C'est qu'il y a dans l'art de Kitano un sens de l'épure, de la rupture, voire même du contrepied.

Le cinéma de Kitano est sec, mais c'est pour mieux laisser de la place. De la place d'abord au spectateur qui se retrouve libre de s'investir dans le film, mais la place aussi à des moments soudainement plus intenses, appuyés en cela par la musique de Joe Hisaishi.
Et parce que Kitano a su entretenir chez son spectateur ce sens de la crudité et du contrepied par rapport aux attentes, ses moments de soudaine délicatesse n'ont pas besoin d'aller bien loin pour faire mouche.

J'en tiens pour exemple ce moment que je trouve magnifique où Horibe, récemment devenu paraplégique s'efforce de s'ouvrir vers la peinture. Il passe alors devant des fleurs et soudain l'inspiration le prend. La musique d'Hisaishi, le montage de Kitano mais aussi ses propres peintures font alors le reste : https://www.youtube.com/watch?v=ygr2LRHO6q8

La poésie de ce moment ma parle beaucoup et il n'a pas été rare que je me repasse cette séquence en boucle pour m'en imprégner le plus longuement possible.

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LA RÉPARATION DU BOUCLIER D'ICARUS II.

Film très inégal mais il y a vraiment une scène qui me scotche dans ce film, c'est la réparation du bouclier d'Icarus II par Kaneda et Capa. Du moment où Cassie les aide à enfiler leur combinaison jusqu'au climax final c'est juste l'orgasme. En termes de visuel et de montée en tension, le tout accompagné par un John Murphy au sommet de son art, cette scène est une pure jouissance me concernant. Je pense que c'est de loin celle que j'ai visionnée le plus de fois tellement elle me fait de l'effet.

Pour les curieux qui ne sont pas dérangés par le fait d'être spoiliés, voici la fin de la séquence ici : https://www.youtube.com/watch?v=hR69EKvcW-4

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L’ÉVASION DE WAYNE DU GOUFFRE DE LA LIGUE DES OMBRES.

Comme souvent, une scène gagne en intensité du simple fait qu'un auteur ait bien pris la peine de l'installer, de la préparer, de la faire mijoter dans nos esprits. C'est exactement ce qu'a su faire Christopher Nolan dans ce "The Dark Night Rises" lorsqu'il va s'agir de faire renaître de ses cendres l'homme chauve-souris aux ailes coupées.
Là encore, l'apport de la musique de Zimmer joue un rôle essentiel dans la réussite de cette scène mais je ne retire bien évidemment rien au sens du aigu du montage de Christopher Nolan qui participe lui aussi à sa remarquable efficacité. Ah ça ! A chaque fois que je la vois cette scène, elle me refile des frissons.

Et pour celles et ceux qui veulent crier "Elève-toi" à destination du beau Bruce, voilà un petit lien qui vous fera du bien : https://www.youtube.com/watch?v=-5zdmA7HSoE

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LE LANCEMENT D'APOLLO 11.

Damien Chazelle est un musicien dans l'âme, et cette seule séquence le prouve. Alors qu'on se trouve à un climax du film - le décollage d'Apollo 11 - le réalisateur américain réussit à ficeler toute sa scène en parvenant à jongler entre les points de vue et les échelles, mais surtout en parvenant à trouver l'adéquation parfaite entre les élans de la sublime musique de Justin Hurwitz et les moments-clefs de la séquence.
Cette scène est un bijou de composition, un peu à l'image de l'alunissage qui vaut aussi son petit pesant d'or.

Allez les ami(e)s, faites-vous donc plaisir, c'est YouTube qui régale :
https://www.youtube.com/watch?v=FubpK1Tho6M

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L'AMARRAGE CHAOTIQUE À L'ENDURANCE.

Difficile de parler à un autre moment de cette scène tant elle semble liée par de nombreux points à celle de "First Man".
Là aussi il est question d'espace. Là aussi il est question d'opération délicate. Là aussi l'association mise-en-scène et musique fait toute la force de cette séquence. Et si "Interstellar" est riche en séquence merveilleuse et marquante, celle-ci est pour moi l'un des grands points d'orgue du film.

Pour celles et ceux qui n'ont pas peur d'être spoilés, faites-vous plaisir, ça se passe là : https://www.youtube.com/watch?v=a3lcGnMhvsA

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LE JOGGING À TRAVERS KINSHASA.

Retour sur terre avec une nouvelle scène tirée d'un film de Michael Mann. Muhammad Ali est sur le point de vivre le sommet de sa carrière. Il est à Kinshasa. Il y débarque en Américain arrogant et fier. Et puis soudain, à l'occasion de l'habituel jogging d'entrainement, voilà qu'Ali se laisse prendre par l'instant. Il dévie du chemin, s'enfile dans les petites allées. Il observe. Il prend conscience. Il se rend compte de tout ce qui le dépasse, de tout ce qu'il représente malgré lui... Il reprend alors son chemin, davantage conscient. Plus fort. Comme en suspension.

Une fois de plus l'accompagnement sonore joue un rôle essentiel dans l'efficacité de cette séquence, et même si la chanson "Tomorrow" de Salif Keita n'a pas été composée pour l'occasion, elle sied parfaitement à la situation.

Un petit aperçu pour celles et ceux qui recherchent eux aussi un moment en suspension : https://www.youtube.com/watch?v=M8-oqyoeiFQ

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LA FABRICATION DE MOTOKO.

C'est l'introduction du film, et ça reste pour moi l'une des plus belles introductions qu'on ait jamais faite.
La fabrication d'un être, ni plus ni moins.
D'un côté le côté froid et mécanique rebute. De l'autre l'élégance et la maitrise du procédé fascine.
Et tout ça prend corps grâce à la remarquable composition musicale de Kenji Kawai, à la fois tellement épurée mais en même temps tellement vibrante.

Un bijou que je vous laisse déguster ici : https://www.youtube.com/watch?v=-u77XdL8_B4

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LE SACCAGE DE LA BIBLIOTHEQUE PAR SOOK-HEE.

Quand parfois j'ai envie d'illustrer cette idée qu'au cinéma l'image dit mieux que le discours, j'aime bien me rappeler aux bons souvenirs de ce "Mademoiselle" de Park Chan-wook.
Il y a dans ce film une scène qui, pour moi, dit tout sans jamais parler. Une scène pourtant d'une incroyable richesse discursive, et cette scène c'est donc celle de la bibliothèque.

Afin de faire comprendre ses entraves de pantin sexuel, Hideko amène sa servante et amante Sook-Hee dans la bibliothèque de son oncle. Les cadres sont rigoureux, métriques. L'espace est dominé par l'esprit aliénant de l'oncle tortionnaire.
Mais voilà que soudain Sook-Hee s'attaque aux ouvrages comme à des chaines de papier. Elle déchiffre, elle dégrade, elle renverse. Son acte est purement destructif et pourtant la caméra de Park parvient nous seulement à en faire un acte énergique et salvateur, mais en plus il parvient à en faire un acte créatif.
Il suffit de renverser une vitrine pour soudainement élargir le cadre, y établir un nouvel équilibre et - en jetant névrotiquement de la peinture sur ces textes, l'acte de destruction devient soudainement une note d'art.
Un acte de création, voire de recréation.

TOUT dans cette scène est un bijou de mise-en-scène et, une fois de plus, l'accord du montage avec la musique de Jo Yeong-wook, je vous laisse constater par vous-mêmes : https://www.youtube.com/watch?v=VzWHU3NvVj4

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L'EFFET DOMINO.

Quand il s'agit de "V pour Vendetta", l'ami DanielOceanAndCo aime bien me taquiner sur la question de savoir qui est le vrai auteur sur ce film. S'agit-il bien de James McTeigue, crédité à la réalisation, ou bien des frères Wachowski qui œuvraient alors dans l'ombre en tant que producteurs exécutifs ?
Face à cette question, il y a un élément qui penche en sa faveur, c'est la présence dans ce film d'une remarquable scène construite autour d'un magnifique montage parallèle riche ; lubie à laquelle les frères (depuis devenues sœurs) Wachowski ont régulièrement aimé se livrer.

Et il n'y a rien d'étonnant à ce que ces gauchos de Wacho aiment à ce point le montage parallèle riche. Considérant la société comme un tout porté par un même élan, le montage parallèle riche permet, à un moment donné, de renouer tous les fils ensemble et de montrer qu'ils vont aboutir collectivement à un événement commun. Et bien évidemment, les Wachos n'étant pas manchots, la scène en question ne manque pas de susciter un remarquable élan ; un souffle dont je me délecte à chaque fois. ^^

Je vous laisse d'ailleurs admirer par vous-même : https://www.youtube.com/watch?v=yde6t4WG5uY

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LE FINAL EN MONTGOLFIÈRE SUR FOND DE SEBASTIAN.

En vrai, quand je me repasse ce final, j'ai tendance à remonter à avant le passage avec la montgolfière qui est, à bien tout prendre, très court. En général je me refais toute la scène sur les plages du Nord, la course-poursuite.

J'aime bien tout revoir pour la puissance des images, pour la réalisation nerveuse sans être agitée de Gavras, et puis j'aime pour cet élan impulsé progressivement par la musique de Sebastian.

C'est beau. J'adore. Voyez-moi ce final et kiffez vous aussi : https://www.youtube.com/watch?v=Sb5dSq0rnDs

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L’ARRIVÉE SUR TERRE DES AUTOBOTS.

Bah oui, on a tous nos petits péchés-mignons et moi c'est "Transformers" premier du nom.
Je suis loin de le trouver parfait ce film mais je dois avouer qu'il est capable de fournir quelques instants de bravoure et, une fois de plus, la musique de Steve Jablonsky y est pour quelque-chose.

Au fond, cette arrivée sur Terre des autobots est à la fois le résumé de tout ce qui fait la force de Michael Bay : ses cadres clairs mais aux lignes toujours dynamiques, son sens de montage et notamment de l'insert qui rajoute de la nervosité à la séquence, et cette capacité parfois à gérer des moments de suspension voire presque de mesure (par exemple moi j'adore le moment où la météorite s'écrase dans le stade de foot, sans effets superfétatoires.)

À l'inverse il y a aussi dans cette séquence quelques fioritures dont on se serait bien passé comme la photo orange et bleue bien dégueu, le gamin qui hurle comme un con pour faire référence à "Armageddon" où la petite gamine qui parle de la fée des dents, mais que voulez-vous... Bay restera toujours Bay ^^.

Allez, regardez-moi un peu ça, comme quoi il y a un vrai savoir-faire là-dedans : https://www.youtube.com/watch?v=ZHyaVvekWek

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LE TOURNAGE DU FAUX GHOSTBUSTERS.

Ce n'est pas compliqué, à chaque fois que je la vois cette séquence, je me marre comme un con.
C'est suffisamment inventif et suffisamment absurde et fauché à la fois pour que l'association de tout ça créé le type de décalage comique que j'adore le plus.

Un petit aperçu ici (mais malheureusement réducteur) : https://www.youtube.com/watch?v=0MDlpDLARU0

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PO TROUVE LA PAIX INTÉRIEURE.

Franchement ça me fait bizarre d'avoir à citer un "Kung-Fu Panda" dans un classement de mes scènes les plus regardées en boucle mais l'honnêteté m'oblige à assumer : cette scène je me la suis effectivement passée et repassée.

Cette scène je l'adore parce que je ne l'ai pas vue venir. D'un coup, lors du fameux moment de doute du héros se devant de survenir juste en amorce du dernier tiers, le film se risque à un moment assez intense, s'appuyant notamment sur la merveilleuse musique de John Powell et d'Hans Zimmer, mais aussi et surtout sur une habile narration jouant de deux formes d'animation différentes. C'est habile, élégant, efficace.

Et pour les moins convaincu(e)s, je vous laisse vous faire votre idée par vous-mêmes : https://www.youtube.com/watch?v=xNzJ9ukezD4

Annotation :

L'ASSAUT DE HIT GIRL EN VISION NOCTURNE.

Dans le genre de ceux qui aiment se la raconter à mort dans des scènes très riches techniquement, il y a Matthew Vaughn qui se pose là.
Chacun des ses films contient généralement une à plusieurs scènes de ce genre. Et dans "Kick-Ass" c'est cette scène de Hit Girl qui m'est restée gravée.

FPS en vision nocturne, stroboscopes, ralentis, et John Murphy : tout était là pour faire de cette scène une scène culte qu'on peut se mater en boucle. Je vous laisse d'ailleurs (encore une fois !) juger par vous-mêmes : https://www.youtube.com/watch?v=-SbnqIIkXQc

(Et je préviens : je pèterai les genoux à toutes celles et à tous ceux qui ont quelque-chose à redire contre les flammes numériques qui rongent le pauvre Big Daddy.^^)

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LE FINAL DANTESQUE.

Étudiants. Course-poursuite. Baise. Messie défoncé. Chevalier de niveau 7. "The Bitter End" de Placebo. Explosion nucléaire.
...Si cette association de mot vous parait insensée, c'est que vous n'avez pas vu la fin de "Kaboom" (et c'est triste pour vous parce qu'elle est merveilleuse).
Vous allez néanmoins me répondre : pas grave puisque tu nous l'as mise en lien cher Grenouille !"...
...Sauf que non. Je ne l'ai pas trouvé sur le Net, du coup, à la place, juste un petit trailer histoire de vous donner envie ^^ : https://www.youtube.com/watch?v=wQuWVJUA-wc

Annotation :

LE PLAN-SÉQUENCE DANS L'HÔPITAL.

De toutes les scènes déjà citées, celle-ci serait peut-être celle vis-à-vis de laquelle j'aurais le moins de "revisionnite" aiguë. Il faut dire qu'à bien le prendre, ce plan-séquence dans l'hôpital de "Hard-Boiled" n'est pas totalement exempt de tout reproche, notamment pour ce qui est de son accompagnement sonore...
...Mais bon, quelle prouesse. Quelle énergie. Quelle tension...
A revoir juste pour le plaisir coupable : https://www.youtube.com/watch?v=4OPyoJgV_YY

Annotation :

"SUPERMAN"

Encore un grand final pour conclure ce classement, mais quel final !
J'ai même carrément envie de me taire face à l'efficacité de la mise en scène d'un Brad Bird.

Watch and See les amis : https://youtu.be/D4dT2eBWI2M

Allez, et comme dirait l'autre : You - stay - I - go. ;-)