Cover Hey, leave us kids alone !

Hey, leave us kids alone !

Ce n'est pas parce que tu mesures moins d'un mètre cinquante que tu n'as pas de personnalité.
Panorama de films dont des enfants tiennent, si ce n'est le premier rôle, au moins un rôle important. Et montrent qu'eux aussi, ils ont un cerveau, du courage, du coeur, et l'envie de changer le monde ...

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Liste de

37 films

créee il y a plus de 4 ans · modifiée il y a presque 4 ans

E.T. l'extra-terrestre
7.2

E.T. l'extra-terrestre (1982)

E.T. the Extra-Terrestrial

1 h 55 min. Sortie : 1 décembre 1982 (France). Fantastique, Aventure, Science-fiction

Film de Steven Spielberg

ElliottSyndrome a mis 10/10, l'a mis dans ses coups de cœur et a écrit une critique.

Annotation :

Acteurs : Henry Thomas, Drew Barrymore, Robert McNaughton

Avec son personnage d'Elliott, Henry Thomas compose l'une des plus extraordinaires performances d'enfant acteur américain, juste, sobre et hyper sensible. Autour de lui, la petite Drew et le grand Robert ne sont pas en reste, formant le trident de cœur d'une histoire filmée de bout en bout à hauteur d'enfant. Je ne vous fais pas l'injure de vous raconter de quoi il s'agit ;-)

Le Retour
7.8

Le Retour (2003)

Vozvrashcheniye

1 h 46 min. Sortie : 26 novembre 2003 (France). Drame

Film de Andreï Zviaguintsev

ElliottSyndrome a mis 10/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

Acteurs : Ivan Dobronravov, Vladimir Garin

Deux frères, qui grandissent depuis des années seuls avec leur mère, ont la surprise de voir leur père, un colosse taiseux, débarquer un jour dans leur vie. Pour renouer avec eux, il décide de les emmener pour une longue virée en voiture, à destination d'une île lointaine. Un voyage aussi mystérieux que les retrouvailles seront compliquées...

Dans son premier long métrage, le Russe Andrei Zvyagintsev éblouit en tous points. Par la justesse d'un récit dépouillé mais empreint de tension et d'un suspense latent jusqu'au bout. Par la force saisissante de décors extraordinaires, grands espaces de Russie à l'abandon qui deviennent universels et donnent au film un caractère de conte moderne.
Et aussi, bien sûr, par l'intensité de jeu de son trio d'acteurs. Pour répondre à la présence animale de Konstantin Lavronenko (le père), il fallait deux gamins brillants. Vladimir Garin, lunaire, est profondément attachant. Mais c'est Ivan Dobronravov qui emporte tout sur son passage, en fils écorché vif, aussi brut que son père, désespérément en quête d'amour et d'attention.
Un film bouleversant, d'une maîtrise sidérante, qui mérite d'être découvert.

Libero
7.1

Libero (2006)

Anche libero va bene

1 h 48 min. Sortie : 8 novembre 2006 (France). Drame

Film de Kim Rossi Stuart

ElliottSyndrome a mis 10/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

Acteur : Alessandro Morace

Encore un premier film, signé du comédien italien Kim Rossi Stuart, qui incarne également le père du jeune héros.

Empire du soleil
7.2

Empire du soleil (1987)

Empire of the Sun

2 h 33 min. Sortie : 16 mars 1988 (France). Drame, Historique, Guerre

Film de Steven Spielberg

ElliottSyndrome a mis 9/10.

Annotation :

Acteur : Christian Bale

Parmi ses nombreux talents, Steven Spielberg a toujours eu celui de dénicher de jeunes acteurs exceptionnels, et de les diriger d'une main de maître pour en tirer le meilleur. Dans ce film (son grand film méconnu pour moi), il révèle tout simplement un certain Christian Bale qui, à 13 ans, fait déjà montre de l'étendue de sa palette.
Il est le coeur, les poumons, la tête et les jambes de ce long métrage historique, dans lequel le garçon qu'il incarne, un jeune Britannique vivant à Shanghai, se retrouve séparé de ses parents suite à l'invasion de la ville par les Japonais. Enfermé dans un camp, Jim (c'est son prénom) cherche désespérément quelqu'un qui pourrait s'occuper de lui, tout en se rendant indispensable à nombre de gens par sa débrouillardise et son culot monstrueux, et en faisant un apprentissage accéléré de la vraie vie.

Bale est exceptionnel, mais est-ce une surprise ? La carrière qu'il mène depuis n'est pas née de nulle part. Enfant, il avait déjà toutes les dispositions pour ce métier. Dans le rôle de Jim, il est tout à la fois irritant, insupportable, bouleversant, drôle, audacieux, cruel... et diablement attachant. L'essence même d'un enfant de 13 ans. Génial.

L'Enfance d'Ivan
7.8

L'Enfance d'Ivan (1962)

Ivanovo detstvo

1 h 35 min. Sortie : 9 mai 1962 (Union Soviétique). Drame, Guerre

Film de Andreï Tarkovski

ElliottSyndrome a mis 9/10.

Annotation :

Acteur : Nikolaï Bourliaïev

En survolant cette liste, on peut y relever un nombre élevé de premiers films. De là à supposer que, pour débuter une œuvre cinématographique, mettre en scène l'enfance (et, sans doute, travailler plus ou moins ouvertement sur soi-même, ce qui est le propre d'un artiste) est une clef d'entrée idéale, il n'y a qu'un pas.

(...)

Sa Majesté des mouches
7.1

Sa Majesté des mouches (1963)

Lord of the Flies

1 h 32 min. Sortie : 1965 (France). Drame, Aventure

Film de Peter Brook

ElliottSyndrome a mis 8/10 et a écrit une critique.

Annotation :

Acteurs : tous

L'enfance sale.
Seuls rescapés d'un crash aérien sur une île, des collégiens passent en mode survie. Très vite, deux tendances s'affrontent. D'un côté, ceux qui entendent reproduire le modèle social et politique de leurs parents, et faire en sorte que chacun participe à la vie collective. De l'autre, des adeptes de la vie sauvage et de la chasse, qui préfèrent leur liberté et donner libre cours à leurs instincts, tout en massacrant des cochons sauvages. Inévitablement, la situation dégénère...

En adaptant le terrifiant roman de William Golding, le metteur en scène de théâtre Peter Brook entreprend de capter l'enfance la plus brute, la plus viscérale. Politiquement incorrecte. Il use d'un noir et blanc qui accentue les contrastes et instaure peu à peu un climat de terreur saisissant, et pousse ses jeunes interprètes dans leurs retranchements. Les gamins sont exceptionnels, en particulier le trio de "meneurs" : Tom Chapin (Jack), James Aubrey (Ralph) et Hugh Edwards dans le rôle ingrat de Piggy.
Le film perturbe, agresse parfois, et fait réfléchir, non seulement sur la vision trop souvent idéaliste que l'on peut avoir de l'enfance, mais aussi sur la violence intrinsèque de notre société. Une expérience sensorielle, visuelle et intellectuelle d'une grande rudesse.

Billy Elliot
7.3

Billy Elliot (2000)

1 h 50 min. Sortie : 20 décembre 2000 (France). Comédie, Drame

Film de Stephen Daldry

ElliottSyndrome a mis 7/10.

Annotation :

Acteur : Jamie Bell

Coincé entre une absence de mère, un père épais du goulot et un frère qui pense avec ses poings, Billy Elliot grandit dans un recoin brut de brut d'Angleterre. Forcé de faire de la boxe pendant que les hommes de la famille, mineurs, se mettent en grève, le jeune garçon découvre par hasard qu'un cours de danse se tient dans les locaux où il vient régulièrement encaisser des roustes de gants en cuir. C'est le coup de foudre - le genre de révélation qui, dans son milieu, passe assez mal... mais Billy, soutenue par la professeure de danse, est prêt à tout pour aller au bout de son rêve.

Sur un fond social à l'anglaise assez classique, qui frôle parfois la caricature sans trop s'engouffrer dans le piège non plus, Stephen Daldry (dont c'est... le premier film, hé oui) met du cœur à tisser cette fragile histoire d'un garçon décidé à assumer sa passion pour un sport de filles - un cliché qui perdure encore aujourd'hui, alors même que ce film a beaucoup fait pour enclencher la réflexion sur le sujet.

Daldry n'étant pas Ken Loach, la trame du récit suit plutôt une courbe positive et se veut porteuse de lumière plutôt qu'analyste mortifère d'une certaine misère sociale et intellectuelle. Billy Elliot jouant le rôle de l'ampoule, alimentée par l'énergie butée de Jamie Bell, notamment dans des scènes de danse formidables.

Stand by Me
7.4

Stand by Me (1986)

1 h 29 min. Sortie : 25 février 1987 (France). Aventure, Drame

Film de Rob Reiner

ElliottSyndrome a mis 8/10.

Annotation :

Acteurs : Will Wheaton, River Phoenix, Jerry O'Connell, Corey Feldman

Stephen King a écrit quelques-uns des plus beaux textes qui soient sur l'enfance et/ou l'adolescence. Parmi ces pépites, la superbe novella "Le Corps", tirée du recueil "Différentes saisons", a donné ce grand classique des années 80. Même s'il n'atteint pas le haut degré d'émotion et la finesse du récit, Rob Reiner lui rend globalement justice, notamment grâce à l'alchimie qui lie à l'évidence les quatre jeunes acteurs principaux.
Will Wheaton teinte de mélancolie, de douceur et de modestie le très beau personnage de Gordie Lachance, sorte de double idéal de Stephen King dans le texte. En Chris Chambers, son meilleur ami, River Phoenix communique son énergie animale, sa sauvagerie à la James Dean, et sa colère rentrée. Comme dans "Les Goonies", Corey Feldman balance son bagout pour masquer les failles de son caractère. Quant à Jerry O'Connell, il s'acquitte avec jovialité de son rôle de "petit gros", bien plus fin qu'il n'y paraît.
En marche pour retrouver le cadavre d'un garçon de leur âge supposé disparu le long de la voie ferrée, ce quatuor donne tout son mouvement à cette histoire typiquement américaine, faite d'amitié indéfectible, de solidarité et de sens de l'aventure. Le film n'a guère vieilli, preuve que ses ingrédients sont bizarrement universels et intemporels.

Nobody Knows
7.9

Nobody Knows (2004)

Dare mo shiranai

2 h 21 min. Sortie : 10 novembre 2004 (France). Drame

Film de Hirokazu Kore-eda

ElliottSyndrome a mis 8/10.

Tomboy
7

Tomboy (2011)

1 h 22 min. Sortie : 20 avril 2011. Drame

Film de Céline Sciamma

ElliottSyndrome a mis 7/10.

Les Quatre Cents Coups
7.7

Les Quatre Cents Coups (1959)

1 h 39 min. Sortie : 3 juin 1959. Policier, Drame

Film de François Truffaut

ElliottSyndrome a mis 7/10.

Annotation :

Acteur : Jean-Pierre Léaud

Un incontournable dans les listes de films sur l'enfance. Premier long métrage (tiens ?) de François Truffaut, première collaboration de fait avec Jean-Pierre Léaud, qui deviendra son acteur fétiche et qu'il suivra dans plusieurs de ses films.
Son Antoine Doinel, gosse plus incompris que mauvais garçon, incarne avec naturel le passage chaotique à l'adolescence, dans un parcours semé d'embûches, d'incompréhension mais aussi d'humour, de passion et de poésie.

Sixième Sens
7.4

Sixième Sens (1999)

The Sixth Sense

1 h 47 min. Sortie : 5 janvier 2000 (France). Drame, Thriller, Fantastique

Film de M. Night Shyamalan

ElliottSyndrome a mis 10/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

Acteur : Haley Joel Osment

LA révélation Osment.
Certes, le scénario est d'une intelligence diabolique, tant chaque mot y est pesé, chaque plan calculé au millimètre. Shyamalan impose son style caractéristique, lent et habité, qui fait du hors cadre un perpétuel champ des possibles. Bruce Willis signe aussi son grand retour, révélant l'immense acteur qu'il peut être, sobre, humain, touchant, loin de son McClane chéri.

Mais sans un enfant acteur de la trempe de Haley Joel Osment, jamais le film n'aurait connu une destinée aussi exceptionnelle. Il en faut, du talent, pour exprimer le non-dit avec autant de finesse. Pour manier des émotions aussi volatiles que de la TNT sans jamais les faire exploser. Pour manipuler le spectateur avec autant de facilité, au moins de le laisser bluffé lorsque la vérité surgit. Osment maîtrisait l'ensemble de la palette - et bien plus encore, comme le montrera la suite de sa jeune carrière. Shyamalan peut vraiment lui dire merci.

Un monde meilleur
6.8

Un monde meilleur (2000)

Pay It Forward

2 h 03 min. Sortie : 28 février 2001 (France). Comédie dramatique

Film de Mimi Leder

ElliottSyndrome a mis 6/10.

Annotation :

Acteur : Haley Joel Osment

Oui, le film dégouline de bons sentiments parfois (souvent) indigestes. Oui, on a connu Kevin Spacey plus inspiré, même si son expérience lui permet de faire tenir debout son personnage de prof dont les vilaines cicatrices cachent quand même un cœur gros comme ça. Oui, le film s'oublie vite et restera coincé dans les annales du cinéma parmi des centaines d'autres gros mélos à la guimauve, genre dont les Américains sont les maîtres incontestables - et on leur laisse bien volontiers cette suprématie.

Mais s'il y a quelque chose à sauver de ce magma sucré, c'est la performance de Haley Joel Osment, une nouvelle fois exceptionnelle. On le savait doué pour exprimer la fragilité, pour toucher au cœur par la profondeur de ses émotions. On le découvre en plus drôle, plus léger, épatant dans le rôle d'un gamin presque ordinaire. Juste et impeccable de bout en bout, éclaboussant le long métrage de son talent hors normes. Ce genre de don, très rare, presque effrayant tant il requiert de maturité et d'intelligence. Et auquel peu d'enfants acteurs survivent - la manière dont Osment a dévissé à partir de l'adolescence en est hélas une énième illustration...

A.I. Intelligence Artificielle
6.5

A.I. Intelligence Artificielle (2001)

A.I. Artificial Intelligence

2 h 26 min. Sortie : 24 octobre 2001 (France). Science-fiction, Fantastique

Film de Steven Spielberg

ElliottSyndrome a mis 8/10 et a écrit une critique.

Annotation :

Acteur : Haley Joel Osment

Osment, troisième acte. Et consécration : le voici sous la direction de Steven Spielberg, l'un des plus grands maîtres vivants du cinéma américain, expert par ailleurs en direction d'enfant. L'adolescent livre ici, sans aucun doute, sa performance la plus aboutie, la plus poussée, en incarnant un robot qui va faire l'apprentissage douloureux des émotions et de l'amour.
Tout est si maîtrisé dans son jeu que cela en devient presque affolant, notamment au début, lorsqu'il n'est encore qu'un robot "comme les autres". Par la suite, il module son interprétation d'infinies nuances, lui insufflant de plus en plus d'enfance à mesure qu'il se heurte à la violence humaine.
Tout imparfait qu'il soit, "grand film malade" comme seul pouvait l'être, finalement, le mariage presque contre nature du cinéma de Spielberg avec celui de Kubrick, A.I. n'est cependant jamais lâché par son acteur principal, qui signe ici son dernier grand rôle.
Avant que l'adolescence et les problèmes le fauchent...

Les Goonies
6.9

Les Goonies (1985)

The Goonies

1 h 54 min. Sortie : 4 décembre 1985 (France). Aventure, Comédie

Film de Richard Donner

ElliottSyndrome a mis 8/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

Acteurs : tous

L'aventure et l'amitié à l'état pur. Le scénario de Steven Spielberg (encore lui) saisit à la perfection le mélange d'innocence, de vachardise et de solidarité qui peut unir des gamins d'une douzaine d'années, sur fond de quête épique qui voient nos héros se battre pour leur maison menacée par un promoteur immobilier sans scrupule (pléonasme), fuir une bande de truands aussi idiots que dangereux, et partir à la recherche d'un trésor de pirate mythique.
Impossible de distinguer un acteur en particulier, c'est la bande qui fait sens ici. Même si Sean Astin, bien longtemps avant de nous revenir, adulte et en léger surpoids, excellent dans "le Seigneur des Anneaux" puis la saison 2 de "Stranger Things", est spécialement touchant en chef de bande.
Le film respire les années 80. Il pourrait paraître vieillot aux enfants d'aujourd'hui, gavés d'effets spéciaux numériques parfaits. Mais pour nous, les gosses de ces années inimitables, "les Goonies" reste magique et intouchable.

L'Histoire sans fin
6.9

L'Histoire sans fin (1984)

Die unendliche Geschichte

1 h 34 min. Sortie : 21 novembre 1984 (France). Aventure, Drame, Fantasy

Film de Wolfgang Petersen

ElliottSyndrome a mis 7/10.

Le Géant de fer
7.6

Le Géant de fer (1999)

The Iron Giant

1 h 26 min. Sortie : 8 décembre 1999 (France). Animation, Action, Aventure

Long-métrage d'animation de Brad Bird

ElliottSyndrome a mis 8/10.

Annotation :

Etats-Unis, années 50. Un jeune garçon solitaire et rêveur rencontre un robot gigantesque, échoué non loin de chez lui en provenance d'une planète lointaine. Se liant d'amitié avec lui, il essaie de dissimuler son existence - pas facile, étant donné que le Géant de Fer mesure 30 mètres de haut... Très vite, le gouvernement s'intéresse à l'affaire et essaie de s'approprier le robot. Le jeune garçon entreprend alors de le défendre, et essaie de l'aider à repartir chez lui...

Et pourquoi pas des films d'animation ? Le scénario, assez classique au demeurant, évoque celui de "E.T." par exemple. Mais Brad Bird ("Les Indestructibles"), dont c'était le premier film (tiens, encore) se l'approprie avec talent, à sa manière bien particulière, pleine d'énergie et de vitalité.
Pas d'acteur à mentionner, évidemment, mais un beau personnage de jeune garçon drôle, attachant et volontaire, dans un film pétillant qui a gagné de nombreux fans au fil du temps, après avoir été boudé à sa sortie.

Le Voyage de Chihiro
8.4

Le Voyage de Chihiro (2001)

Sen to Chihiro no Kamikakushi

2 h 05 min. Sortie : 10 avril 2002 (France). Animation, Aventure, Fantasy

Long-métrage d'animation de Hayao Miyazaki

ElliottSyndrome a mis 9/10.

Super 8
6.4

Super 8 (2011)

1 h 52 min. Sortie : 3 août 2011 (France). Science-fiction, Thriller

Film de J.J. Abrams

ElliottSyndrome a mis 7/10.

Hugo Cabret
6.4

Hugo Cabret (2011)

Hugo

2 h 08 min. Sortie : 14 décembre 2011 (France). Aventure, Drame, Biopic

Film de Martin Scorsese

ElliottSyndrome a mis 7/10.

Mosquito Coast
6.7

Mosquito Coast (1986)

The Mosquito Coast

1 h 57 min. Sortie : 25 février 1987 (France). Aventure, Drame, Thriller

Film de Peter Weir

ElliottSyndrome a mis 7/10 et l'a mis en envie.

Kick-Ass
6.9

Kick-Ass (2010)

1 h 57 min. Sortie : 21 avril 2010 (France). Action, Aventure, Comédie

Film de Matthew Vaughn

ElliottSyndrome a mis 7/10.

Léon
7.5

Léon (1994)

Léon: The Professional

1 h 50 min. Sortie : 14 septembre 1994. Policier, Drame, Thriller

Film de Luc Besson

ElliottSyndrome a mis 9/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

L.I.E. - Long Island Expressway
7

L.I.E. - Long Island Expressway (2001)

L.I.E.

1 h 37 min. Sortie : 15 janvier 2003 (France). Policier, Drame

Film de Michael Cuesta

ElliottSyndrome a mis 8/10.

Little Miss Sunshine
7.3

Little Miss Sunshine (2006)

1 h 41 min. Sortie : 6 septembre 2006 (France). Comédie dramatique, Road movie

Film de Jonathan Dayton et Valerie Faris

ElliottSyndrome a mis 8/10.

Kes
7.5

Kes (1969)

1 h 51 min. Sortie : 19 juin 1970 (France). Drame

Film de Ken Loach

ElliottSyndrome l'a mis en envie.

L'Été où j'ai grandi
7.2

L'Été où j'ai grandi (2003)

Io non ho paura

1 h 42 min. Sortie : 3 août 2005 (France). Drame, Thriller

Film de Gabriele Salvatores

ElliottSyndrome a mis 6/10.

La Nuit du chasseur
8.1

La Nuit du chasseur (1955)

The Night of the Hunter

1 h 32 min. Sortie : 11 mai 1956 (France). Drame, Thriller, Film noir

Film de Charles Laughton

ElliottSyndrome a mis 8/10.

L'Échine du diable
7.1

L'Échine du diable (2001)

El Espinazo del diablo

1 h 47 min. Sortie : 8 mai 2002 (France). Drame, Épouvante-Horreur

Film de Guillermo del Toro

ElliottSyndrome a mis 7/10.

Panic Room
6.6

Panic Room (2002)

1 h 52 min. Sortie : 24 avril 2002 (France). Policier, Thriller

Film de David Fincher

ElliottSyndrome a mis 7/10.

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