Laissons les larmes parler pour nous [SPOILER].

Annotation :

Ofelia, que je le croyais ou pas, est l'un des personnages auxquels j'ai eu, pendant près de 2 heures films, le plus envie de m'identifier et pour lequel j'ai éprouvé le plus d'empathie et d'attachement parmi tous.

Guillermo Del Toro nous a servi ici un mélange aussi improbable que charmant mais aussi bouleversant que cruel quant à la destinée final d'Ofelia nous laissant le choix de choisir entre une fin heureuse ou une fin tragique.

Le moment ou Mercedes berce Ofelia pour une dernière fois a été une fusion de bonheur, de nostalgie et de tristesse si forte que j'ai gardé ce passage en tête pendant longtemps après le premier visionnage (le second n'a rien arrangé), et sincèrement je ne pense pas que je pourrais revoir ce film sans craquer à nouveau tant le final est inoubliable.

Annotation :

L'histoire d'amour devant lequel j'ai été le plus émue. Pour la simple raison que tout ce qui se passe entre Francesca et Robert paraît tellement vrai, naturel et tellement évident qu'on les imagines ensemble dés leur première rencontre.

Meryl Streep et Clint Eastwood nous offrent ici, à mon sens, leur meilleur interprétation au point de sembler s'accorder à merveille... alors je pense pas avoir besoin d'expliquer à quel point j'ai craqué lors de la fameuse scène ou Francesca est face à Robert, à côté de son mari dans la voiture alors que le photographie est sous la pluie. On ne demande qu'une seule chose à ce moment :

MAIS BORDEL FRANCESCA : SORT DE CETTE PUTAIN DE BAGNOLE ET REJOINS LE ! TU L'AIMES, NON ?

Annotation :

Le plus émouvant et le plus larmoyant des films de maître Spielberg, pour l'une des plus belles histoire autour d'Oskar Schindler, industriel allemand qui a sauvé de nombreux juifs mais pour qui le nombre de vie sauvé ne lui suffisait pas.

La dernière scène ou Schindler reçoit les remerciements des juifs lui devant la vie mais il il montre qu'il regrette de ne pas avoir sauvé davantage, le tout avec le thème principal en fond, est selon moi le moment ou il vaut mieux se taire et laisser nos larmes couler plutôt que de dire quoique ce soit.

Comment ne pas pleurer ou au moins être ému par la sincérité de cet homme à ce moment là ?

Annotation :

La fin tragique d'un grand homme se battant pour la liberté écossaise face à l'envahisseur anglais que je résumerais en un seul mot qui est plus qu'évident pour les plus sensibles : LIBERTÉ !

https://www.youtube.com/watch?v=SBvlo-jH2cQ

Annotation :

En plus d'être brillante, l'introduction suffit à raconter toute une histoire en quelque minutes et à nous faire aimer Carl et Ellie de la manière la plus naturelle possible : aucun dialogue, juste des images et la sublime musique de Giacchino en fond.

Jusqu'au moment ou la mort finit par séparer l'un d'eux et laisse l'autre seul, pour faire court : je pense que je ne serais jamais capable de revoir ce film sans pleurer à la fin de cette séquence, mais sincèrement jamais.

https://www.youtube.com/watch?v=j8k-icVEe7M

Annotation :

Quand 22 années se sont passés en un éclair sans que tu ne puisses t'en rendre compte, que tes enfants ont grandi de 22 ans sans que tu prennes une ride et que tu découvres tout les messages qu'ils t'ont laissés au fil des années, ça fait non seulement très d'un point de vue émotionnel mais en plus il y a de quoi craquer comme Cooper (jouée par un formidable Matthew McConaughey) dans cette scène tout simplement déchirante (en VO pour une fois) :

https://www.youtube.com/watch?v=MoLkabPK3YU

Annotation :

Quant tu as la voix de Roger Carel alias Jiminy Cricket qui te fais le plus beau plaidoyer contre la guerre, sans musique, juste la voix de Charlin Chaplin

Le film a été critiqué à l'époque, aujourd'hui ce film est culte et le jour ou quelqu'un fera mieux en terme de discours n'est pas encore venu :

https://www.youtube.com/watch?v=lfTRWUkfDvw

Annotation :

J'ai pleuré... pour UN BALLON DE VOLLEY ! C'est totalement con je sais, pleurer pour un objet ça n'a l'air d'avoir aucun sens aux premiers abords. Mais quand tu passes plusieurs années sur une île ou ta seule compagnie est un ballon de volley et que tu ne dois pas devenir fou au point de parler avec lui, ben ironiquement tu finis par t'attacher à lui et à prendre ce pauvre Chuck davantage en compassion :

https://www.youtube.com/watch?v=v8M4pMuz0fY

Annotation :

la scène de la boîte de chocolat, la mort de Jenny, le combat de la mère pour permettre à Forrest de suivre une éducation normale, les scènes qui m'ont ému ou fait pleurer ici sont trop nombreuses pour tous les citer alors j'en présente un au choix :

https://www.youtube.com/watch?v=wIBdljZ12xA

Annotation :

Très naïf du début à la fin, mais pourtant voici le Disney qui m'a le plus arracher de nombreuses larmes auparavant et arrive encore à m'atteindre au point de me laisser un gros pincement au coeur après chaque visionnage, avec ça oubliez "Bambi", "Le Roi Lion", "La Reine des Neiges" ou encore "Blanche-Neige et les sept nains" :

https://www.youtube.com/watch?v=-EhpVinHB_A

Annotation :

Je pleure facilement pour un animal fidèle à son maître, notamment un chien comme celui-ci, je vous l'avais pas dis ?
M'en fous que ça soit tire-larme pour le coup, j'aime les animaux, point barre !

https://www.youtube.com/watch?v=bEOB9V8PwYo

Annotation :

Ridley Scott nous livre non seulement le meilleur de ses films, mais arrive à faire grimper une intensité émotionnelle qui, dans mon cas, à finit par craquer lors de la scène final : dans laquelle Maximus perd la vie, après avoir réalisé le rêve de l'empreur Marc-Aurèle, en obtenant enfin la vengeance qu'il s'était promis d'avoir face à Commode. Le tout sur la plus belle BO de Hans Zimmer et la performance parfait d'un Russel Crowe tout simplement fantastique en tant que l'inoubliable Maximus.

Force et honneur Maximus, Force et honneur !

https://www.youtube.com/watch?v=HFveD_SIO_E

Annotation :

Sergio Leone avait un talent énorme pour nous faire aimer ses personnages avec un minimum de dialogue (voire pas du tout de dialogue) : c'est ce qu'il a su faire ici avec le personnage de Jill désormais veuve après avoir découvert les cadavres de sa famille, dont ses trois enfants.

La scène qui vient, ou elle se retrouve dans la chambre de ses enfants est parmi les plus belles que Leone nous ait offert : Jill McBain déambule dans la chambre de ses enfants, le regard triste mais ne montrant jamais des larmes. La géniale musique d'Ennio Morriconne fait tout le reste, l'image et la musique parle au lieu des dialogues et on ressent toute la peine et la tristesse qu'éprouve intérieurement Jill McBain.

Alors, chère Jill : tu n'as pas pleuré pour ta famille mais ta tristesse s'est ressenti, alors nous pleurerons pour toi !

Annotation :

L'un des films qui réunit tout les ingrédients pour être sur de t'émouvoir un minimum : deux acteurs extraordinaires avec Léonardo Dicaprio et Kate Winslet, une imagerie grandiose, l'une des meilleurs bandes-son de l'histoire grâce au regretté James Horner et une histoire d'amour belle à en pleurer auquel j'ai envie d'y croire quand je regarde ce film.

Certains n'aiment pas, tant pis pour eux ça les regardes, moi je suis juste ému jusqu'au sang à chaque fois devant autant de beauté :

https://www.youtube.com/watch?v=JrEzEkZJGIs

Annotation :

"Je suis fatigué patron..." :

https://www.youtube.com/watch?v=J5m1WW1S4Sc

Annotation :

Le tout premier classique Disney qui laisse place à l'émotion du conte au lieu de la logique du scénario, et croyez le ou non : ça marche, même si les personnages principaux ne sont pas ce qu'il y a de plus convaincant l'ambiance, la musique et l'imagerie de l'époque suffisent encore à émouvoir, surtout lorsque vient la scène des funérailles de Blanche-Neige.

En quelques mots : un orgue, les nains pleurent sa mort, Grincheux aussi, et une fin qui donne ce que toutes personnes aimant Disney espère et vous avez l'un des films d'animation les plus maîtrisés d'un point de vue émotionnel.

Annotation :

Ici, ce n'est pas qu'une scène, mais un bon nombre qui m'ont clairement fait craquer : les adieux entre Anna et Ame, l'effondrement de Yuki après avoir agressé un élève, le rythme que ça prend pour raconter les étapes de l'enfance ds deux enfants loups y est pour beaucoup, franchement allez voir la filmographie de Hosoda, ça vaut largement le coup.

Annotation :

Clint Eastwood, le grand dur et grand bougon du cinéma en pleurs : comment ne pas céder à son tour ?

Annotation :

Ridley Scott qui fait de la comédie dramatique alors qu'il est plus habitué aux fresques épiques ou à la science-fiction, ça change c'est sur et certains.

Mais si c'est pour nous donner une chevauchée féministe aux côtés d'un duo d'actrice inoubliable dont le destin final ou elle refuse de se soumettre et décide de faire un gros fuck à leur vie de merde pour choisir la mort au nom de leur amitié et de leur liberté, ça en valait foutrement la peine.

Pour ma part, j'ais pas résisté pour le coup, je me suis pris de respect pour elles et j'ai lâché ma petite larme lors du final.

Annotation :

Que l'on aime Scarlett ou pas, il faut admettre que cette scène force tout simplement le respect et les larmes :

"Je jure devant Dieu ! Je jure devant Dieu que je ne me laisserais pas abattre !
J'aurais le dernier mot et quand ce cauchemar sera terminé, je ne connaîtrais plus jamais la faim, non ni moi même ni les mien ! Dû ais-je mentir, voler, tricher ou tuer : je jure devant Dieu... que je ne connaîtrais jamais plus la faim !"

https://www.youtube.com/watch?v=QVIDyxReRGQ

Annotation :

Le Disney qui symbolise le plus les 90's, et même si ce n'est pas le classique m'ayant le plus fait pleurer auparavant, j'ai toujours énormément de peine au moment ou Simba découvre son père, inanimé, sans vie, appelant à l'aide bien qu'il sache pertinemment que le roi est mort. Je pense pas avoir besoin de donner un mot pour dire à quel point ce passage fait du mal quand on le visionne :

https://www.youtube.com/watch?v=5pdJPsR1x30

Annotation :

"Le tombeau des lucioles" m'énerve et ne m'a pas fait pleurer pour un sous. Par contre, celui-ci m'a touché tant par le destin de Kaguya que par le silence des dernières secondes de ce Ghibli un peu trop oublié.

Annotation :

Lorsque Jurassic Park est sorti en 1993, ce film a littéralement révolutionné le cinéma à effet spéciaux, et nous a tous ému et marqué grâce à la première rencontre que Spielberg nous a donné avec : les dinosaures.

Là pour le coup, c'est surtout les larmes aux yeux que ça donne, au rythme de la musique de John Williams et des émotions de John Grant et Ellie Sattler face au miracle de la vie et au 4 mots de Hammond : "Bienvenue à Jurassic Park" ! On vibre en voyant les dinosaures pour la première fois tant l'impression de réalité était et se révèle toujours aussi forte depuis sa sortie.

En plus de ne pas avoir prit une ride, la sensation de grandeur que Spielberg nous (et m'a) offert arrive toujours à faire son grand effet.

Annotation :

Parce que oui, on peut verser des larmes pour une intelligence artificielle, surtout quand elle a une voix diablement sexy et qu'elle cultive sa personnalité au contact de Théodore, homme vivant mal sa rupture avec sa femme mais qui développe une liaison avec une IA tellement sincère qu'on a du mal à ne pas pleurer lorsqu'elle nous quitte.

Annotation :

"Oh capitaine mon capitaine !"

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Comment rendre une romance entre une femme et un gorille géant émouvant alors qu'on sait pertinemment qu'ils ne pourront jamais finir ensemble ?

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On ne le dira jamais assez, le Vietnam et ce qui s'y est passé pendant la guerre : c'est très sale, et il y aura toujours quelqu'un ou des films pour nous le rappeler quitte à nous faire craquer devant le traitement d'une Vietnamienne qui n'avait rien demandé à personne et l'impuissance d'un Sven Eriksson transcendé par Michael J. Fox.

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Une dernière balle pour soi ou son ennemi, mais elle peut aussi être dédié à un ami qui en aura grand besoin.

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La toute dernière scène du film pour le dernier Toast entre amis du Clairton.

Annotation :

On a beau savoir comment cela va se finir mais, quand même, quelle mélancolie.