Ah ça les César ! Si ça ne tenait qu'à moi...

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Mon César 1976 (pour récompenser les films sortis en 1975).

On commence avec 1976 et la première année où furent remises des compressions dorées par l'Académie des arts et des techniques du cinéma. Pour cette ouverture du bal, l'Académie et moi sommes partis sur deux choix plutôt opposés puisque les vieux sages ont fait le choix de récompenser Robert Enrico et son "Vieux fusil" quand de mon côté j'ai plutôt jeté mon dévolu sur le film coup-de-poing d'Yves Boisset, j'ai nommé "Dupont Lajoie".

Alors je ne vais pas trop cracher sur le choix de l'Académie pour cette fois-ci puisque j'apprécie "Le vieux fusil", mais force est de constater qu'elle a ici privilégié un film a la forme très classique au détriment d'un film à la mise-en-scène plus sèche et crue. Jusque dans les sujets les deux films détonnent dans leur manière d'oser : Enrico en est encore à réveiller les souvenirs douloureux de la guerre quand "Dupont Lajoie" se fait satire de son époque avec une efficacité encore dévastatrice aujourd'hui.

Tout un symbole, "Dupont Lajoie" a totalement été ignoré par la cérémonie. Zéro nomination malgré les prestations remarquables de Jean Carmet ou de Jean Bouise pour n'aborder que la question de l'interprétation. Pas plus de nomination pour l'autre film qui, dans mon cœur, était en lutte avec le film de Boisset : "la Traque" de Serge Leroy. Deux anciens de la Guerre d'Algérie. Deux réalisateurs explorant des traumas vifs. Visiblement les vieux sages de l'Académie n'étaient pas encore prêts...

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Mon César 1977 (pour récompenser les films sortis en 1976).

Du côté de l'Académie, c'est "Monsieur Klein" qui a eu droit cette année-là aux honneurs... Encore un film sur les Français pendant l'occupation ; encore une forme que je trouve vraiment peu ambitieuse. A croire que, déjà à cette époque-là, récompenser le sujet prévalait déjà au fait de récompenser les arts et techniques du cinéma...

...Et c'est dommage quand on prend en considération l'existence de ce bon vieux polar à l'ancienne signé Alain Corneau. Alors certes, pas de révolution formelle ici, mais il y a un vrai savoir-faire à la française dans le polar noir - et que ce film incarne à la perfection - que pour ma part je ne saurais récompenser d'autres films que celui-là parmi ceux que j'ai vus de cette année...

Quelle reconnaissance de la part de l'Académie pour ce petit bijou ? Une seule récompense pour le montage de Marie-Josèphe Yoyotte et une nomination pour la musique de Georges Delerue, autant dire presque rien.

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Mon César 1978 (pour récompenser les films sortis en 1977).

Mon deuxième César attribué à un film d'Yves Boisset. Cette fois-ci, l'Académie a daigné le nominer trois fois pour les interprétations de Patrick Dewaere, Jean Bouise et Philippe Léotard, mais pour aucune récompense.

De son côté l'Académie a préféré honorer "Providence" d'Alain Resnais en tant que meilleur film ; "Providence" que je n'ai pas vu, donc "no comment" de ma part. ;-)

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Mon César 1979 (pour récompenser les films sortis en 1978).

Comme quoi attribuer une récompense est un jeu difficile car, pour le coup, j'avoue n'être qu'à moitié satisfait de mon choix. "Préparez vos mouchoirs" c'est à la fois le genre d'audace que j'aime pour l'inconfort que ce genre de film suscite et de l'autre c'est la petite gratuité d'un Blier qui aimait choquer le bourgeois...

Seulement voilà, à défaut, je préfère donner ma statuette à ce film qui a au moins le mérite de tenter quelque-chose par rapport à un "Argent des autres", récompensé par l'Académie qui, pour ma part, m'a copieusement ennuyé de par son didactisme froid... Comme quoi, encore une fois, entre l'Académie et moi... ;-)

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Mon César 1980 (pour récompenser les films sortis en 1979).

Visiblement il ne fait pas bon de faire de la satire contemporaine pour l'Académie car voilà encore un très bel ambassadeur de notre cinéma hexagonal qui a été totalement oublié au moment de distribué les statuettes, au profit du "Tess" de Polanski.

Une seule nomination en tout et pour tout mais - maigre consolation - au moins Jean Bouise aura fini par obtenir son César du meilleur second rôle avec ce film.

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Mon César 1981 (pour récompenser les films sortis en 1980).

Cette année-là, l’Académie osa la blague de récompenser François Truffaut pour son “Dernier métro” ; film qui fut autant un renoncement artistique que discursif pour son auteur…
…Et dire qu’à côté de ce cinéma de tchatcheur il y avait pourtant ce noble cinéma de taiseux : “Un mauvais fils”.

Pour moi c’est certainement le meilleur film de Sautet et encore une belle opportunité (manquée) de donner le César de meilleur premier rôle à Dewaere… Au final c'est l'excellente prestation de Jacques Dufilho qui vaudra au film son seul César sur ses six nominations. Mais bon, sur ces sujets-là, les voix de l’Académie restent impénétrables…

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Mon César 1982 (pour récompenser les films sortis en 1981).

Ding ! Ding ! Ding !
Premier film sur lequel on se retrouve tous les deux, l'Académie et moi !
Il n'aura fallu attendre que la septième cérémonie pour que ça arrive, j'avoue qu'au moment de rédiger ces lignes, j'en suis le premier surpris. J'en suis même d'autant plus surpris qu'on a fini par se retrouver sur un film plus que culotté.

Deux compressions de glanées en tout parmi les six nominations obtenues : meilleur film donc et meilleur réalisation pour Jean-Jacques Annaud. Donc chapeau mesdames et messieurs de l'Académie. Sur ce coup-là je ne peux que reconnaître la pertinence de vos choix. ;-)

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Mon César 1983 (pour récompenser les films sortis en 1982).

Un choix par défaut me concernant avec ce "Danton" d'Andrzej Wajda... Mais un choix que j'assume pour le regard plutôt juste de porté sur le personnage et surtout pour l'interprétation à couper le souffle de Gérard Depardieu.

Côté Académie, le film échappe au César du meilleur pour lequel il était nommé (au profit de "La Balance" de Bob Swain) ainsi qu'au César du meilleur acteur pour Depardieu (au profit de Philippe Léotard dans la même "Balance" de Bob Swain).

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Mon César 1984 (pour récompenser les films sortis en 1983).

Premier film de Besson, et sûrement celui pour lequel j'ai le plus d'affection. Bien évidemment l'Académie a quasiment ignoré la sortie de ce film, même s'il est à noter qu'elle l'avait néanmoins nommé dans la catégorie "Meilleur premier film" (mais sans bien évidemment l'obtenir).

A la place, l'Académie a préféré récompenser - à égalité "Le Bal" d'Ettore Scala (pas vu) et "A nos amours" de Maurice Pialat (pas aimé). M'enfin bref, je ne vais pas faire mon blasé : je comprends...

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Mon César 1988 (pour récompenser les films sortis en 1987).

Je peux encore une fois comprendre le choix de l'Académie de primer l'académique "Au-revoir les enfants" de Louis Malle. De mon côté j'aurais pu jeter mon dévolu sur "Sous le soleil de Satan" de Maurice Pialat (que j'ai bien plus aimé que “A nos amours", comme quoi, l'Académie et moi...), mais au lieu de ça je préfère choisir un film que je trouve bien plus efficace en termes de narratif notamment pour ce qu'il parvient à dire d'une époque et d'un monde bien spécifique : le monde rural.

Côté Académie, six nominations mais aucune compression pour ce grand succès populaire...

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Mon César 1989 (pour récompenser les films sortis en 1988).

Si ça n'avait donc tenu qu'à moi, ce serait donc le troisième film d'Annaud qui aurait empoché là son César...

Pour ce qui est de la réalité, "l'Ours" était bien en lisse pour le César du meilleur film mais il s'est fait voler la vedette par l'insipide "Camille Claudel" de Bruno Nuytten.

Deux César d'obtenus au final : la meilleure réalisation pour Annaud (et comment !) ainsi que le meilleur montage pour Noëlle Boisson.

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Mon César 1990 (pour récompenser les films sortis en 1989).

J'avoue que j'enrage un peu que Bertrand Blier et son "Trop belle pour toi" soit venu chiper la vedette à ce "Monsieur Hire" qui, sur un sujet presque similaire, traitait pour moi la question avec beaucoup plus de subtilité et de sobriété.

Au final huit nominations pour le film de Patrice Lecomte mais qu'une seule compression obtenue, celle du son.

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Mon César 1991 (pour récompenser les films sortis en 1990).

Ding ! Ding ! Ding !
Et de deux ! Deuxième film sur lequel l'Académie et moi on se retrouve !

Alors par contre, celui-là, j'avoue qu'il était attendu. Treize nominations, dix obtentions et n'oublions pas que le film avait notamment obtenu un César spécial pour les vingt-cinq ans de la cérémonie.

L'Académie se touche sur Cyrano... Moi aussi.

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Mon César 1992 (pour récompenser les films sortis en 1991).

Le bijou de Caro et Jeunet, bien évidemment laissé en marge par l'Académie qui lui préfèrera le fadasse "Tous les matins du monde" d'Alain Corneau.

A noter malgré tout que les anciens n'ont pas non plus totalement ignoré le film : six compressions tout de même dont la meilleure première œuvre, le meilleur scénario, meilleure photo, meilleure musique, meilleur son, meilleurs costumes et espoir féminin pour Marie-Laure Dougnac. Donc comme quoi...

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Mon César 1993 (pour récompenser les films sortis en 1992).

Encore un film de Claude Sautet laissé de côté par l'Académie (alors qu'il s'agit là du deuxième César que je lui remets en ce qui me concerne), même si le bon Claude récupère la compression du meilleur réalisateur et le meilleur second rôle pour André Dussolier.

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Mon César 1994 (pour récompenser les films sortis en 1993).

Bien évidemment, au regard de l'histoire et de la diffusion particulière de ce film, il ne pouvait pas concourir aux César... Néanmoins, à mes yeux, il plie tous les films nommés haut la main. ;-)

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Mon César 1995 (pour récompenser les films sortis en 1994).

Ah l'Académie et la comédie... Zéro nomination pour l'un des bijoux du genre, ça fait quand-même un peu tache...

A noter d'ailleurs que, si on prend "La classe américaine" pour une exception, c'est la deuxième fois que ça arrive après "Dupont Lajoie" d'Yves Boisset.

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Mon César 1996 (pour récompenser les films sortis en 1995).

Ce n'est pas moi qui crachera sur "La Haine" choisie par l'Académie cette année-là, mais je lui préfère largement ce qui reste sûrement pour moi le meilleur film de Jean-Pierre Jeunet, ici encore en duo avec Marc Caro...

...Et pourtant, quatre seules petites nominations et une seule compression remportée pour les décors de Jean Rabasse.

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Mon César 1997 (pour récompenser les films sortis en 1996).

La réunion du trio Jaoui-Bacri-Klapisch n'aura pas suffi pour qu'à une troisième reprise on se retrouve à nouveau l'Académie et moi.

C'est bête parce que j'aime aussi beaucoup le "Ridicule" qu'ils ont choisi d'honorer et, en retour, cet "Air de famille" n'est pas reparti bredouille puisqu'il a récupéré trois César pour ses seconds rôles masculin (Darroussin) et féminin (Frot) ainsi que celui de la meilleure adaptation.

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Mon César 1998 (pour récompenser les films sortis en 1997).

Mon deuxième César personnel attribué à un film d'Alain Corneau et c'est encore une fois pour un polar à l'ancienne, même si je reconnais qu'il reste clairement un ton en dessous de ce qu'il a pu faire par le passé. (Je l'ai d'ailleurs choisi plus ou moins par défaut...)

Côté Académie, cinq nominations mais aucun César pour un film qui tient pourtant bien plus la route que les daubes de Resnais récompensées par l'Académie à tour de bras...

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Mon César 1999 (pour récompenser les films sortis en 1998).

Ah ça... L'Académie et la comédie...

Quand je me dis que ce film s'est fait chipé sa compression par Eric Zonka et sa "Vie rêvée des anges" je me dis quand même que l'Académie a parfois un drôle de sens de l'humour...

(Le film s'en tire tout de même avec trois récompenses : meilleur acteur pour Jacques Villeret, meilleur second rôle pour Daniel Prévost et meilleur scénario pour Francis Veber.)

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Mon César 2000 (pour récompenser les films sortis en 1999).

Pour celui-ci, seulement deux César académiques d'obtenus : meilleur musique originale pour Bruno Coulais et Eric Guichard pour la meilleure photographie.

A la place l'Académie avait préféré honorer "Vénus beauté institut"... :'-(

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Mon César 2001 (pour récompenser les films sortis en 2000).

Quatre César d'obtenus pour le film de Dominik Moll (et cinq nominations) : César du meilleur acteur (Sergi López), César de la meilleure réalisation (Dominik Moll), César du meilleur son (Gérard Hardy, Gérard Lamps et François Maurel) et César du meilleur montage (Yannick Kergoat)...

...Mais le César du meilleur film est allé cette année là aux "Goût des autres" d'Agnès Jaoui que j'apprécie aussi plutôt bien...

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Mon César 2002 (pour récompenser les films sortis en 2001).

Ding ! Ding ! Ding !
Et de troooooois films sur lesquels on tombe d'accord, l'Académie et moi. (Sincèrement, je ne pensais pas qu'il y en aurait autant !^^)
Troisième César que j'attribue aussi à un film de Jean-Pierre Jeunet.

Pour ce qui est du monde de l'Académie, quatre vrais César distribués à ce "Fabuleux destin" dont le meilleur film, le meilleur réalisateur, la meilleure musique originale pour Yann Tiersen et les meilleurs décors pour Aline Bonetto.

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Mon César 2003 (pour récompenser les films sortis en 2002).

...Mais du côté de l'Académie, un seul César d'attribué au film de Chabat et c'est celui des meilleurs costumes dans la besace du côté de l'Académie (...auquel on peut ajouter trois nominations : une aux costumes, deux aux seconds rôles masculin pour Darmon et Debbouze.)
...Bilan un peu triste, surtout quand on sait que le lauréat de cette année-là fut le triste "Pianiste" de Polanski.

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Mon César 2004 (pour récompenser les films sortis en 2003).

Côté académique, on notera que malgré sa nature de film d'animation ces "Triplettes" furent en lice pour le César du meilleur film (...mais ne l'obtinrent pas.)

Cette année-là, le meilleur film français fut... canadien ! (Puisqu'il s'agissait des"Invasions barbares" de Denys Arcand.)

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Mon César 2005 (pour récompenser les films sortis en 2004).

Mon quatrième César pour un film de Jean-Pierre Jeunet. Il ne connaîtra malheureusement pas la même générosité avec l'Académie.

En effet, pas de César du meilleur film cette fois-ci mais quelques César essentiels ce coup-ci : meilleure actrice dans un second rôle (Marion Cotillard), meilleur espoir masculin (Gaspard Ulliel), meilleure photographie (Bruno Delbonnel), meilleurs costumes (Madeline Fontaine) et meilleur décor (Aline Bonetto une fois de plus).

S'ajoutent à cela six autres nominations...
...Mais bon, quand au sait qu'au final c'est l'Esquive de Kechiche qui rafle la mise, j'avoue que ça acte quand même une sacrée séparation entre l'Académie et moi. ^^

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Mon César 2006 (pour récompenser les films sortis en 2005).

Et de quaaaaatre ! Quatre lauréats similaires entre l'Académie et moi !
In-cro-yable !

Césars 2006 : 10 nominations et obtention des :
- César du meilleur film,
- César du meilleur réalisateur pour Jacques Audiard,
- César de la meilleure musique pour Alexandre Desplat,
- César du meilleur acteur dans un second rôle pour Niels Arestrup,
- César du meilleur espoir féminin pour Linh-Dan Pham,
- César de la meilleure adaptation pour Jacques Audiard et Tonino Benacquista,
- César du meilleur montage pour Juliette Welfling,
- César de la meilleure photographie pour Stéphane Fontaine.

Annotation :

Mon César 2007 (pour récompenser les films sortis en 2006).

...Côté Académie, par contre, ça a été le désintérêt total, avec zéro nominations. C'est la troisième fois que ça arrive...

Annotation :

Mon César 2008 (pour récompenser les films sortis en 2007).

Ding ! Ding ! Ding !
Et de cinq lauréats similaires !
- César du meilleur film,
- César du meilleur réalisateur pour Julien Schnabel,
- César du meilleur acteur pour Mathieu Amalric,
- César de la meilleure adaptation pour Ronald Harwood,
- César du meilleur montage pour Juliette Welfling,
- César de la meilleure photographie pour Janusz Kaminski,
- César du meilleur son pour Jean-Paul Mugel, Francis Wargnier et Dominique Gaborieau.