Le JJJ (Journal Jeu vidéo de Joo-Hwan)

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24/11/2024

https://www.senscritique.com/jeuvideo/ys_x_nordics/critique/287836194

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09/11/2024

https://www.senscritique.com/jeuvideo/silent_hill_2/critique/284322161

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28/10/2024

https://www.senscritique.com/jeuvideo/metaphor_refantazio/critique/186772410

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23/08/2024

https://www.senscritique.com/jeuvideo/cult_of_the_lamb/critique/281353214

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15/08/2024

Version ++ du premier opus dont il reprend quasi tous les éléments en mieux.
Trois armes différentes qui varient un peu plus les approches même si dans la seconde moitié du jeu je n'utilisais quasiment plus que l'épée.
Une floppée de boss stylés, un d'eux en particulier m'a fait pas mal suer (l'avant dernier). Fait à 95% avec la true ending + tous les chérubins. Il me manque quelques objets pour faire le 100% mais n'étant pas chasseur de trophée je m'en fiche un peu, j'ai vu ce que j'avais à voir.

Dans le monde surpeuplé des metroidvania, Blasphemous est un peu mon "pansement de luxe en attendant silksong". Une DA fantastique servie par un pixel art qui ne vieillira jamais. Le folklore espagnole / chrétien apporte un je ne sais quoi de malsain et dérangeant. Pas très fan des cinématiques animées qui jurent complétement avec l'ambiance générale du jeu cependant.
Un excellent jeu quoi qu'il en soit.

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26/07/2024

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01/07/2024

https://www.senscritique.com/jeuvideo/elden_ring_shadow_of_the_erdtree/critique/285715254

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17/05/2024

https://www.senscritique.com/jeuvideo/fallout_4/critique/160065348

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05/05/2024

https://www.senscritique.com/jeuvideo/stellar_blade/critique/304210405

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08/04/2024

https://www.senscritique.com/jeuvideo/unicorne_overlord/critique/294479859

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17/03/2024

https://www.senscritique.com/jeuvideo/final_fantasy_vii_rebirth/critique/271412641

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28/02/2024

https://www.senscritique.com/jeuvideo/like_a_dragon_infinite_wealth/critique/276009260

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16/01/2024

https://www.senscritique.com/jeuvideo/cyberpunk_2077/477439

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11/01/2024

C’est Ni-Oh avec une moustache. Il y a juste eu Sekiro entre deux alors ils en ont fait une déclinaison qui met l’accent sur la parade et comme l’Histoire du Japon avait été balayé sur le dyptique Ni-Oh cette fois c’est la Chine et les 3 royaumes. Mais finalement c’est quasi la même chose, surtout niveau feeling et timing. D’autant que NI-Oh 2 avait déjà introduit la parade des attaques signalées par un flash rouge pour placer un contre. La différence majeure c’est que Wu Long délaisse l’aspect RPG et tous les sous systèmes qui caractérisaient Ni Oh 2 (et qui le surchargeait même si j’avais aimé le jeu malgré tout) pour rendre une copie plus épurée, qui mettrait l’accent sur les réflexes comme…. Sekiro ! D’ailleurs même l’arène du boss de fin est la même que Sekiro sauf que le boss en lui-même est loin de la maestria d’un Isshin Ashina.

On retrouve donc les 2 défauts de la Team Ninja. Un manque de tuto pour mieux accompagner les nouveaux venus. L’ensemble n’est pas hyper clair et accueillant. Et on retrouve ces timings un peu speed qui manquent parfois de clarté pour être parfaitement lisible. Toujours cette sensation de devoir un poil anticipé l’action. Mais dans l’ensemble le jeu est plus accessible que ses grands frères. La possibilité de faire la quasi intégralité des missions avec une IA peut éventuellement distraire l’attention des ennemis pour les moins habiles sur les timings. Sympa sans plus. Curieux de voir Rise of the Ronin mais non sans méfiance tout de même… L’idée d’un Ghost of Tsushima avec un vrai gameplay c’est séduisant sur le papier mais s’ils ont encore du mal à sortir de leur modèle pour pondre encore un énième clone….

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22/12/2023

Suite à la lecture de l’excellente critique de Sajuuk sur le jeu (lisez la, elle sera plus complète que mes impressions) et ayant un creux dans le planning jeu vidéo en attendant les grosses cartouches japonaises de début d’année, j’ai décidé de sortir un jeu « backlogé » de son triste état : Ghostwire Tokyo. Et mon ressenti c’est que le jeu s’est un peu fait bashé au delà de ce qu’il mérite pour suivre la logique du « tout blanc tout noir » habituelle. Car des qualités il en a à faire valoir.

La reconstitution de Shibuya est franchement impressionnante. Moi qui viens de démarrer Cyberpunk 2077, je trouve que Ghostwire Tokyo n’a pas à rougir de son terrain de jeu (dans un style évidemment très différent). Un terrain que l’on parkour (orthographe volontaire) tel un Yamakasi pour exorciser les Yokais qui pullulent dans les ruelles de la mégalopole nippone. Et franchement quelle ambiance ! Il y a un vrai truc qui ressort en terme d’immersion, le souci du détail, le coté authentique et fantomatique de la ville… Une sacrée réussite.

De plus, le jeu tente un truc assez novateur via son système de combat et ses sorts élémentaires que l’on déclenche avec les mains. 3 éléments : Vent correspondant au tir faible mais à une bonne cadence/distance. L’eau au tir corps à corps dévastateur à cadence moyenne, et le feu destructeur mais plus lent. Le but étant d’affaiblir assez les Yokais afin de faire apparaitre leur cœur et le détruire. Un système qui apporte quelque chose de frais en terme de proposition.

La où le jeu pèche c’est dans sa tendance au remplissage via des collectibles optionnels à foisons (260 000 esprits ?! Vraiment ?! Même si on les choppe par paquets de 100/200 c’est complètement exagéré). Cependant certains collectibles sont une mine d’infos sur la culture japonaise, ses légendes urbaines, ses yokais, ses histoires emblématiques etc… Si vous aimez VRAIMENT le japon (c'est-à-dire au delà des jeux vidéo et des mangas), sa culture globale, alors c’est un sacré plaisir. Enfin on ne peut nier que passé un stade une certaine répétitivité peut s’installer.

Le tout à mon sens c’est de l’aborder de la bonne manière. Pour ma part j’y ai joué comme si j’étais en tourisme dans Shibuya. N’ayant aucun sens de l’orientation je me suis laissé porté par le hasard et la curiosité. Si je tombais sur une quête principale je la faisais, si c’était de l’annexe je le faisais…. Oui vraiment, tourisme est le bon mot. Et ce fut un gros plaisir sous ce prisme la.

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19/12/2023

Un contenu très sympa. Pour ma part le coté "roguelike" je ne l'ai pas senti plus que ça puisque je n'ai perdu qu'une fois avant d'en voir le bout. Donc je le prend plutôt comme un petit contenu scénarisé bonus que l'on pourrait appeler "Kratos chez le psy". Plein de clin d'œil propice à la remise en question de son passé via quelques moments iconiques évoqués. Puis un "boss final" que j'ai trouvé très réussi en terme de pattern, le combat est vraiment hyper cool à jouer. L'aspect roguelike m'a semblé plutôt léger et pas vraiment nécessaire finalement. En tout cas c'été cool d'y revenir même si je trouve qu'on fait peut être un peu trop de bruit pour ce que c'est. C'est surtout sa gratuité qui surprend et permet un joli coup de pub pour Sony. Mais quand c'est bien, il faut le dire, donc merci à eux.

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09/12/2023

Un remake star et un océan d’options de confort. S’il y a bien quelque chose d’indéniable c’est la qualité de ce remake. Tous les bons choix ont été faits entre la conservation des modèles 2D des personnages + décors refaits de A à Z en 3D. Le rendu est bluffant. Que dire des nouveaux artworks qui illustrent les protagonistes durant les dialogues? Absolument sublimes me parait encore en dessous de la réalité. Et surtout tout un tas d’options qui évitent un levelling fastidieux via des compétences forts pratiques. Sacrifier quelques HP-MP pour un léger boost d’XP + enchainer les combats pour faire péter un coeff multiplicateur (x1.5-x2-x2.5 voir x3 pour 5 combats consécutifs). Ajoutons à cela la compétence sentinelle qui fait que vos alliés tuent les monstres en sous level sur la carte avec gain d’xp à la clef… C’est presque trop. En fait c’est un peu compliqué… En tant que remake le taf est parfait c’est plutôt avec le jeu de base que j’ai quelques problèmes.

Le jeu originel était franchement difficile par moment et demandait donc ce levelling forcé exagéré. Mais si on est honnête on ne peut pas nier que l’équilibrage du jeu est bancal comme rarement. On peut éclater des boss une main dans le slip mais se faire tuer par un quatuor de magiciennes dans une rencontre aléatoire lambda. Puis arrive le moment ou même avec 25 levels de plus que le jeu (puisque l’xp est devenu gratuite à un point démesuré) on se fait quand même éclater sans vraiment comprendre pourquoi. La faute aussi à des combats, certes jubilatoires puisque assez basique et bourrins, mais également brouillons. Des pics de difficulté mal dosés à mon sens, loin d’être insurmontable, mais qui donne une impression d’équilibrage étrange. Et j’en viens aussi à la « 2éme partie du jeu » qui équivaut au dernier tiers et qui me parait vraiment mauvaise et inintéressante sur tous les plans. C’est mal écrit, les antagonistes tombent comme un cheveu sur la soupe et on les affronte sans même les développer, le tout dans des aller retours et des donjons pas bien emballants. Jusqu’à la cerise sur le gâteau, le boss final légendaire pour sa difficulté claquée. Et c’est toujours le cas. Lvl 130 je l’ai battu de justesse dans un combat d’une nullité incroyable. Un combat qui consiste à claquer tous les objets que vous avez pour soigner et ressusciter vos troupes afin de jouer la montre et réussir à lui arracher la victoire. Ce dernier spam les mêmes 3 sorts non stop via un tous les 2 secondes…. Infe

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02/12/2023

C’est Gris de Nomada Studio mais avec un gameplay.

Blague à part (car j’ai adoré Gris en réalité) on voit clairement que Noname a repris tout le style graphique du studio espagnol de Conrad Roset (Et aussi The Berlinist à la bande son). Néanmoins ici on baigne plutôt dans une sorte de SF atmosphérique et épurée. Ce qui interpelle au premier contact c’est ces animations d’une élégance incroyable pour un personnage principale minimaliste composé uniquement de points et d’un bandana flottant. On se retrouve alors à faire un peu de plateforme mais surtout de bien singuliers combats au tour par tour. Ces derniers sont en réalité basés sur une sorte de jeu de rythme assez pointu qui demande reflexes et organisations. C’est à mon sens la grande idée du jeu mais aussi celle qui pourra laisser sur le carreau car la difficulté est au rendez vous (mais un combat raté ne fait que vous repousser du combat pour le retenter, rien de punitif donc). J’en retiens également un univers éthéré d’une beauté frappante, énigmatique. Comptez environ 5 ou 6 heures pour en voir le bout, plus si vous jouez la complétion. Petit coup de cœur.

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30/11/2023

Que penser de ce spin of ramenant sur le devant de la scène l’inénarrable Kazuma Kiryu qui, semble t-il, n’a pas validé tous ses trimestres pour avoir enfin droit à sa retraite… Il est assez évident que ces 5 chapitres (qui auraient pu tenir en 3 sans chemin de traverse prétexte) soient pour le moins aussi dispensable que le projet semblait le suggérer. Et pourtant il serait bilan malhonnête de ma part de taire le plaisir qui a été le mien à arpenter Osaka et son (petit) quartier Sotembori durant les 25 heures qu’il m’aura fallu pour poncer en large et en travers le jeu. Un condensé du Yakuza à l’ancienne avec son gameplay beat them all et les nouveaux gadgets de Kiryu fraichement propulsé agent secret. L’air de rien, la formule en format condensé lui va très bien et se clôture avant que la lassitude n’arrive.

Une intrigue qui n’en vaut donc clairement pas la chandelle (malgré un dernier chapitre bien classe) , volontairement ralentie en prétextant des quêtes annexes pour étirer la confiture. Mais je note tout de même pas mal de bonnes idées. Notamment Akane, personnage féminin majeur de cet opus qui refile les quêtes annexes. Auparavant les quêtes s’immisçaient au détour d’une ruelle et cette nouvelle façon de faire est moins intrusive et structure la partie annexe d’une meilleure façon. Aussi, le colisée sur lequel j’ai passé un tiers de mon temps de jeu (puisque meilleur moyen de gagner de l’argent facile) est un bien bon défouloir. S’il n’est pas nouveau d’avoir des tournois de ce genre dans la série, certaines catégories de ce nouveau cru sont particulièrement jubilatoires (les matchs en équipe, bordéliques mais tellement bon). En parlant d’argent, à la manière de Yakuza 0, c’est bien par ce biais que tout s’obtient, même l’évolution de Kiryu. Exit donc les points de compétences multicolores, bonjour le capitalisme.

Un spin of qui vient filer un rab de formule Kiryu après quelques années sans en avoir. Pourtant en stade d’overdose à l’époque où j’ai enchainé la saga coup sur coup, je retrouve ici le petit fix qui me manquait sans que j’en aie conscience. Un demi épisode pour les gros fans donc, dispensable mais pas malhonnête, qui se repose sur tous les acquis des 6 premiers. Un amuse gueule sympathique en attendant le plat principal : Like a Dragon Infinite Wealth.

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23/11/2023

Un bon JRPG à la formule toujours aussi efficace et qui a le bon gout de ne pas s’éterniser. On sent bien qu’il est le prolongement du VIII en termes de gameplay. Sauf que je ne lui ai pas trouvé le même charme qui m’avait passionné lors de l’épisode précédent. Au delà du fait qu’une ville pénitentiaire a par définition moins de charme qu’une ile mystérieuse, je trouve le scénario et le cast bien en deçà également.

Quelque chose m’a frappé en le faisant et j’aurai aimé développer ce parallèle dans une vraie critique mais je n’en aurai pas le temps… C’est que finalement ce Ys IX a une structure très similaire à un jeu Spiderman d’Insomniac. C’est quasiment la même formule en JRPG mais avec des graphismes atrocement datés… On suit le fil rouge de l’histoire tout en choppant tous les collectibles des maps (coffres, pétales, inscriptions) ce qui octroie des récompenses. C’est vraiment le JRPG de la collectionnite qui récompense sans cesse le fait de TOUT faire. Et franchement ça fonctionne tellement bien, surtout avec le dynamisme général de Ys. Tout va vite, tout est nerveux et ça fait du bien ce genre d’efficacité. A cela s’ajoute les skills de déplacements propre à cet épisode qui nous font nous mouvoir dans tous les sens et passer de toit en toit (encore un parallèle avec Spiderman). Vraiment c’est la même boucle mais avec des millions de dollars/yens en moins.

Au final je suis bien content de l’avoir fait en attendant le X malgré un scénario et des personnages pas du tout marquants. C’est plutôt un JRPG pour les joueurs comme moi qui n’accordent plus vraiment d’importances aux histoires mais plutôt aux mécaniques. Un bon épisode dont j’aurai probablement oublié tout le scénario dans 4 mois.

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11/11/023

https://www.senscritique.com/jeuvideo/the_talos_principle_ii/critique/285982642

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01/11/2023

C’était très chouette, et une fois encore c’est les idées qui me fascinent dans un Mario.

On va cependant éviter de régurgiter ce que la presse spé peut en dire et peut être émettre deux ou trois bémols. On retiendra EVIDEMMENT les twists de gameplay offerts par les fleurs prodiges aussi imprévisible que fun. C’est souvent réussis et malin. Mais je regrette que les niveaux en eux même hors phases «mario sous drogue » soit beaucoup moins inspirées. On sent que tout est centré sur ces phases et que le reste est souvent de l’habillage très classique autour. Les boss sont affreusement mauvais et peu interessants. C’est juste Bowser Jr sur lequel il faut sauter 3 fois… OK. Et enfin les nouvelles transformations me paraissent moins marquantes. Mario éléphant < mario chat autant en design qu’en gameplay mais c’est assez personnel. Enfin le multi en 2D c’est vraiment un bordel pas possible. La caméra est centré sur le joueur ayant eu le drapeau le plus haut au niveau précédent et hormis le suivre pour ne pas se faire pousser par le scrolling ce n’est pas vraiment ce que j’appellerai du « fun ».

Par contre j’ai clean le jeu à 100% (toutes les graines + piéces violettes + drapeau + monde spécial) et si on se met ce genre d’objectifs le challenge est quand même la. Il y a quelques pieces violettes qui m’ont semblée bien retorse à obtenir et les défis du monde spécial sont quand même hard pour certains. Pas infaisables qui demanderaient de try hard 2 heures mais j’y ai laissé pas mal de vies.

Enfin j’ai vraiment passé un bon moment, je mets en avant certains points discutable car je déplore un peu le silence que les entoure, mais c’est tout de même un épisode largement recommandable pour petits et grands. Néanmoins pas sur qu’avec du recul on s’en souvienne comme d’un épisode absolument hors du commun. Oh et c'est beau tout plein, on a littéralement envie de manger certains décors aha.

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26/10/2023

J'ai attendu avant de le noter car je voulais voir si la sauce allais prendre et si le jeu allait me donner envie d'y revenir. Et bien non, pas du tout. Je l'ai fait, un perso level 70, j'ai fait l'histoire principale, pas mal d'annexe, et je n'ai même pas eu envie d'aller sur les saisons ni de créer un second perso. Donc au final j'en retiens un jeu tres moyen, de bonnes idées, de moins bonnes, une DA que je préfére largement à celle du 3, mais une structure OW un peu inutile et un level scaling qui flingue un peu les sensations de surpuissance typiques d'un Diablo.

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12/10/2023

Mine de rien cette année on aura eu droit à 2 excellents remake pour 2 des meilleurs TPS horrifiques de leurs temps avec RE4.

Ici le traitement est du même tonneau que ce que Capcom propose avec ses remake. Une version techniquement impressionnante (les lumières et le sound design au casque c'est un régal). Quelques ajouts avec de l'annexe (franchement oubliable).

J'ai mis un peu moins de 14 heures pour tout faire, annexe + toutes les armes + trouver toutes les améliorations. Quelques morts au compteur (par radinerie par peur de gâcher des munitions, on ne se refait pas). Un plaisir d'un bout à l'autre pour ce classique qui n'a rien perdu en terme de rythme et d'ambiance.

Par contre le jeu m'a paru sacrément éprouvant dans son rythme, on a très peu de temps mort pour souffler et quasi aucun lieu safe. Soit j'avais oublié, soit en vieillissant j'ai plus de mal avec les jeux qui jouent avec nos nerfs aha.
Vu les ventes un peu décevante je ne sais pas si le 2 aura droit au même traitement mais si c'est le cas j'en serai.

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06/10/2023

C'était vraiment très cool. Content d'avoir enfin pu le découvrir. Le système de combat est vraiment excellent même si un peu lent ce qui peut faire trainer les combats en longueurs (je pense à certains combats de boss bieeeeeeen relou). Le remaster switch propose d'accélérer la vitesse mais dans la pratique ça ne marche qu'au début quand on a le temps illimité pour la prise de décision. A partir du moment ou l'on change de classe et que le temps devient limité la feature n'est plus jouable car on a pas le temps de placer ses cartes. Il aurait fallu pouvoir accélérer à la demande en pressant un bouton car ça ne tiens pas la route et deviens inutile au bout de 5h de jeu.

Ce que j'ai surtout aimé c'est toutes ses petites singularités. Que ce soit des choix artistiques pas communs du tout. Le fait que l'on incarne pas le héros mais un esprit qui conseille le héros. Les musiques, le système de combat unique, des twists bien foutus... Bref c'est vraiment un JRPG qui a de la personnalité.

Au rayon des défauts je retiens l'absence d'un journal de quête ce qui rend laborieux l'annexe, tout doit être fait de mémoire. Des menus tout aussi laborieux pour le tri des cartes etc, franchement c'est loin d'être pratique. Et une partie finale qui mise trop sur des combats interminables pour étirer la confiture (Le fight contre Giacomo va me hanter...).

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05/10/2023

Un bien fade épisode...

Le solo est plutot raté (le mode story à base de realité alternative et compagnie c'est vraiment naze), le mode invasion qui s'essoufle hyper vite pour être d'une redondance folle.

Une conception malhonnête même pas masquée avec 4 monnaies différentes, chacune avec ses récompenses propres et dont certaines ne sont obtenables qu'avec du véritable argent...

Graphiquement équivalent au 11 ou presque alors qu'ona changé de Gen, la différence était nettement plus visible entre le 10 et le 11 pourtant sur la même gen.

Le systéme de Kameo sympa sans plus, les fatalities peu inspirée dont se dégage un coté "light", obligé de grinder des heures et des heures pour débloquer la 2eme fatalities d'un seul personnage...

Reste que ça se joue bien, mais il vaut encore mieux se faire plaisir avec la complete du XI sur next gen à ce compte la. Tout donne la sensation d'un épisode de transition plutot qu'un véritable GROS MK.

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19/09/2023

Pas grand chose de plus à apporter que tout ce qui a déjà été dit. Je l'ai fait à 100% (Ouais même l'annexe répétitif car j'ai un trouble mental qui me pousse à faire tout l'annexe des jeux aha) en 29 heures.

C'était mieux que ce à quoi je m'attendais, surtout que je ne suis pas fan de Spiderman à la base. Les déplacements sont grisants, ça reprend tout ce que les Batman de Rocksteady ont apportés niveau fights. Je retiens la VF vraiment super cool. Une aventure qui se suit avec plaisir et une réalisation qui impressionne.

J'ai longtemps cru lui mettre un 8 mais le 3eme acte remplissage qui te refout une surcouche d'annexe + des ennemis partout sur la map ça m'a usé sur la fin. Les trop nombreuses phases d'infiltrations avec MJ + Miles. Les combats de Boss pas foufou. Un rythme assez inégal. Il y a quelques axes de progression possible pour le 2éme épisode mais j'ai l'impression qu'ils vont au contraire encore en rajouter plus comme le veut la traditionnelle suite ricaine "bigger".

Je ferai surement le 2 avec plaisir. Un jour. En promo le temps d'oublier un peu celui la. Mais c'était quand même très chouette et une vraie bonne surprise.

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Je ne vais pas aller dans le sens de la majorité mais en quelques heures j'ai du mal à y voir autre chose qu'un bel écrin enfermé dans une récitation référentielle de ses influences.

Peut être que j'ai fait bien trop de JRPG pour être surpris mais ça a du mal à décoller, trop de péripéties avant d'atteindre l'objectif qu'on t'évoque depuis le début. Le système de combat sympa mais qui manque de profondeur et se répète très rapidement. Je ne retrouve même pas cette écriture / humour qui m'avait plu dans The Messenger. Les personnages ne sont pas bien épais niveau caractérisation et personnalité.... Bref, je vais être le pisse froid de service sur ce coup la. Je l'attendais fort pourtant, mais j'ai bien du mal à trouver la motivation d'avancer dessus.

Le jeu jouit d'un capital sympathie avec sa promesse de base et j'ai l'impression qu'on a tellement envie de l'aimer, de l'ériger en porte étendard de la scène indés qu'on ferme un peu plus facilement les yeux sur ces quelques soucis. Ou c'est juste moi qui suis blasé et qui n'arrive plus à être transporté aussi facilement.

Je rajouterai que de manière générale les projets portés par la nostalgie je trouve que c'est assez pauvre en terme de créativité. C'est à mon sens une forme de régression créative si on y apporte pas un truc en plus... Le fait de regarder en arrière pour reproduire c'est un truc qui ne me parle pas. Bref j'en attendais plus que de la nostalgie. Il suffisait de relancer Chrono Trigger si j'avais besoin d'un doudou...

J'anticipe mais évidemment que tout ne dois pas réinventer la roue, mais au moins que le mélange des influences aboutissent à un truc pour lequel je n'ai pas l'impression d'avoir déja tout vu ailleurs. La j'arrive vraiment pas à lui trouver une forme de singularité alors j'y vois un coup d'épée dans l'eau... Peut être que ce n'était pas le bon moment pour moi, un jour j'aurai peut être l'envie de lui redonner sa chance mais la, je pense ne pas le noter et juste laisser les autres s'amuser. Mon petit laïus + le fait que je passe un moment assez sympa sur Spiderman 1 autant dire que je vais perdre en street cred ! aha

Annotation :

https://www.senscritique.com/jeuvideo/armored_core_vi_fires_of_rubicon/critique/280586786