Les grands moments facepalm du cinéma.

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Deux joggeuses sorties de nul part passent par là - assez au ralentit pour qu'on pense que c'est Olive et Tom - au moment où une bombe va sauter. Truc abusé pour faire monter la tension alors que tout le reste du film est déjà super tendu.

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Le belge TIRE sur l'autre POUR VRAI, POUR LE TUER, et il le fait même pas arrêter rien, pour pas se fâcher avec la sœur qu'il veut marier (raison pour laquelle le mec lui tire dessus). Genre ça va se régler, faut lui laisser le temps. Gneuh.

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Le mec est videur, mais il est connu jusque dans l'état d'à-côté parce que c'est une légende chez les videurs. Gnééééé. Une légende. Chez les videurs. Gnééééé.

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Hitler, qu'est quand même un peu un chef d'état, va au cinéma presque sans gardes du corps. Comme ça. En temps de guerre. A Paris, lieu qu'on ne lui suppose quand même pas super favorable à la base. Parce que Hitler, tu vois, si c'était un contemporain, il ferait certainement ce genre de choses pour faire plaisir à un mec comme Tarantino. Ça fait classe, quand même, des juifs qui tuent Hitler à Paris. Un genre de retournement de situation, genre. Tout en finesse.

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L'agence tout risque combat la gravité - enfermé dans un Tank qui tombe d'un avion en vol - à coups de canon. Because, fuck physics.

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La branche de céleri dans le cul pour faire diversion et confondre des terroristes armés ? Peut-on rire ou éprouver un malaise attristé pour les acteurs est-il mandatoire ?

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Des criminels ont juré de te tuer si tu vas pas au Mexique tout de suite ET TU OSES REFUSER DE M'EMMENER À LAS VEGAS ??? VOILÀ QUI EST CERTAINEMENT UN BON RESSORT SCÉNARISTIQUE POUR CRÉER UN CONFLIT DANS LE COUPLE CENTRAL DE L'HISTOIRE. Ou alors, biatch, on souhaite juste qu'il te laisse partir à Vegas et qu'on te revoie plus de tout le film.

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Des animaux de la préhistoire pendant la grande antiquité. Oui, oui, oui. Et comme disait l'autre, le pire : c'est que le début d'un viol en réunion de presque deux heures.

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Les méchants qui attaquent chacun son tour pendant le grand plan séquence WTF. Tu sens que le réalisateur voulait vraiment installer un poteau à ticket mais qu'il a pas pu faute de budget. On s'en félicite parce que ça fait vraiment trop nawak malgré la performance "cinématographique".

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Marcus qui geint et qui geint pour sa permanente alors que sa soeur va se faire tuer ou torturer au mieux à ce stade de l'histoire. Non, non, tu n'es pas le faire-valoir, t'es juste une petite merde, là, et on a un peu honte pour le scénariste qui ne recule devant rien.

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Général beau-papa qui utilise l'armée pour beau-fils comme ça, à l'arrache et sans préavis. Je te met seulement un cargo et des paras, ou tu veux aussi une division blindée ? Tu sais, avant d'être destitué et d'aller en prison autant se lâcher un peu.

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"C'est pas de la vengeance, c'est une puniti .." ah mais en fait si, c'est de la vengeance. Parfaitement justifiée en plus. Sauf que vous venez de niquer le titre du film, là.

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N'importe quel enfoiré peut faire acheter l'alcool par son grand-frère ! Et les bouseux vont à une fête ou y'a un MILLIARD de personnes. Et personne qui n'a de frangin / cousin / voisin majeur qui voudrait épater les demoiselles de 17 ans ¾ ?

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C'est la deuxième fois et ils ne sont toujours pas capable d'acheter une arme (AUX ÉTATS-UNIS, BÂTARD !) et de descendre le petit enfoiré ! Ça doit être un acte manqué freudien. Dans le fond, ils veulent pas vraiment réussir leur carrière de débiles.

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L'aut', là, le pas-roi c'est parce qu'il épousait une divorcée ou parce qu'il avait des accointances avec les nazis qu'il a du renoncer au trône ? Le roi, là, il avait surmonté son bégaiement dix ans avant ou cinq secondes après son discours ? L'histoire, ça devrait être comme Nescafé, pas la peine d'en rajouter. Mais si ça fait plaisir à la reine (actuelle), hein, on comprend que l'histoire soit revue et corrigée.

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La stupidité abonde, mais le truc qui à fait s'étrangler la moitié de la salle par sa stupidité hors-normes ? Le salut post-nazi avec les deux bras en même temps. Même la quenelle fait moins chimpanzé en rut.

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Les scénaristes veulent nous faire rire avec un type menotté qui essaye de ramasser sa bite sectionnée avec sa bouche. Et pour certains d'entre nous, y parviennent. Le "What The Phoque", c'est à l'écran ET dans la salle que ça se passe, parfois.

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A un moment, les protagonistes - sans ceinture - heurtent à genre 60km/h un poteau avec leur voiture. Et sont en pleine forme, contrairement à l'avant de la voiture qui est défoncé. Schwarzenegger, ça ne choque pas, c'est le Terminator. Mais sa copine blonde, c'est déjà plus étonnant.

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Le méchant prévoit un déraillement de train pile au bon endroit, pile au bon moment pour se débarrasser de James Bond quand il le rattrape dans un réseau souterrain gigantesque. Ça, fils, c'est de la planification genre que M en comparaison elle peut bien prendre sa retraite.

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Citation de la nouvelle petite amie : "Ce que tu es, cette part de toi qui veut foncer [...] puisque c'est aussi ce que tu es, et que tu seras toujours [...] tu es maître de ta vie, tu en es le seul juge [...] Un boxeur, ça boxe".
Oh, putain (ça, c'est de moi, hélas, à la fin de la tirade).

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Le meilleur pour la fin. Un personnage "principal" meurt, et personne n'en a réellement rien à foutre, y compris la personne qui est spécifiquement en deuil qui le joue comme si elle avait des problèmes digestifs. Et bravo pour la prière finale - "Merci qu'on soit tous ensemble et tout" - sans doute en pensant bien fort à la personne en deuil, catégorie : "J'm'en bats les couilles de tes problèmes".

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Le tueur de zombies ne dit pas un mot pendant des lustres à la COPINE de son meilleur pote sur le fait qu'il est amoureux d'elle soit-disant par loyauté. Quand elle le découvre et qu'elle l'envoie pas chier, fuck la loyauté, il l'incite à mentir à son à-présent MARI (qui est toujours supposé être son meilleur pote) pour pouvoir lui faire la cour pendant ce temps. Bravo crevure, c'était pas de la loyauté, c'était juste la peur de se faire jeter comme un clandestin. Et la fille, forcément, un mec dont l'ego (pas se faire jeter) était plus important que ses sentiments et qui trahit son pote, elle l'écoute parce qu'il lui dit qu'elle est beeeeeeeeeeelle (et ça, femme, c'est un compliment qui ne trompe pas, en matière de sentiments). Et le spectateur doit trouver ça romantique, un gars pas de couilles qui trahit son meilleur pote.

Et j'ai encore rien dit sur le rôle de Hugh Grant.

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Nick Fury est LE meilleur espion de la galaxie. Et quand on veut nous vendre qu'il a organisé une attaque sur un bateau, il paie les méchants avec un truc qui est relié à l'adresse postale de sa mère. Gnnaaaaaaaaaa.

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Il est clair, dans la scène, que le fils va venger le père. Et là, dans la pharmacie, devant la gueule du gamin on te met en gros plan une carte Happy fatherhood ou une connerie du genre. Ça se voulait drôle, genre humour noir, mais c'était juste n'imp'.

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La fille qui dit au héros, si tu sauves le monde, tu peux me sodomiser. Et le mec qui a un gros sourire con-con comme si on venait de lui offrir la lune. Oh wait ..

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"Et moi je suis qui, Mickey Mouse ?" .. c'est en laissant passer un type avec ce genre de répliques qu'on perd un emploi de gardien de sécurité, mec.

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"On est toujours amis ?" ... sérieusement, tais-toi.