Mes GOTY depuis 1984

Annotation :

1984 : Boulder Dash (Amstrad cpc 6128)

Un jeu au principe simple mais accrocheur : un petit bonhomme nommé Rockford doit creuser la terre à la recherche de diamants en faisant attention à ne pas se faire écraser par des rochers. C’est aussi l’un des tous premiers jeux que j’ai essayé.

Annotation :

1985 : Match Point (Amstrad cpc 6128)

J’en ai passé des heures sur ce jeu de tennis à défier le frangin. Il n’y avait que 4 couleurs (dont beaucoup de vert) mais je trouvais l’ensemble plutôt joli pour l’époque avec la présence de quelques petits détails qui font la différence comme les ramasseurs de balles ou encore l’arbitre perché sur sa chaise. En terme de gameplay, le jeu semblait limité de prime abord mais en fait il y avait de vraies subtilités qui permettaient de construire des échanges sympas.

Annotation :

1986 : Blue War (Amstrad cpc 6128)

Mon jeu favori sur Amstrad CPC. On prend les commandes d’un sous-marin et on doit parcourir les mers à la recherche de navires ennemis à torpiller. Installé dans la salle des commandes, le joueur peut choisir son cap et se diriger à l’aide d’une carte tout en faisant attention à la profondeur à laquelle il navigue, histoire de ne pas heurter les fonds marins. Certains icônes donnaient également accès à d’autres fonctions (radar, salle des machines pour checker les avaries, etc). Les navires ennemis étaient représentés dans une sorte de 3D fil de fer.

Annotation :

1987 : Barbarian : The Ultimate Warrior (Amstrad cpc 6128)

Un jeu de combat où vos adversaires ont tous la même tronche, plus au moins inspirée de Schwarzy dans Conan le Barbare, si ce n’est qu’ils changent de couleur de peau et de vêtements. Peu importe, pouvoir leur ôter la vie en leur ôtant la tête deviendra rapidement votre quête du Graal.

Annotation :

1988 : Gryzor (Amstrad cpc 6128)

A la fin des années 80, le petit garçon que j’étais était fan des action men à la Schwarzenegger et Stallone. Et ça tombe bien, dans Gryzor (ou encore Contra ou Probotector, c’est la même chose), on dirige un mec tout en muscle qui va exterminer les méchants aliens à l’aide de son fusil que l’on pouvait upgrader à l’aide de différents bonus. C’était super beau et très fun. Suffisant pour me combler.

Annotation :

1989 : Double Dragon II (Amstrad cpc 6128)

Parcourir des ruelles malfamées en distribuant les baffes et les coups de tatanes avec l’aide d’un pote, c’est défoulant. Le défier et le vaincre dans un duel à mort une fois le jeu terminé, c’est encore mieux. Parce qu’il ne peut n'en rester qu’un mais aussi parce que durant toute la partie, il n'a pas cessé de vous piquer les armes les plus chouettes.

Annotation :

1990 : Opération Stealth (Atari ST)

A l'époque, le monde se divisait en deux catégories : ceux qui avaient un Atari ST et les autres. Mon voisin avait un Atari ST, pas moi. Et sur son Atari ST, il avait Opération Stealth. Ma mâchoire s’est décrochée.

Annotation :

1991 : Civilization (PC)

Le début d'une longue histoire d'amour...

Annotation :

1992 : World of Illusion (megadrive)

Un jeu de plates-formes avec Mickey et Donald et qui s'est fait remarquer pour son mode deux joueurs, ce qui n'était pas si courant à l'époque.

Annotation :

1993 : Aladdin (megadrive)

J’adore le dessin-animé et cette adaptation en plus d’être très fidèle était vraiment bien réalisée. Je suis déjà beaucoup moins fan de la version Super Nintendo de Capcom.

Annotation :

1994 : Little Big Adventure (PC)

Tu prends un mec coiffé comme Attila, chef des Huns. Tu l’habilles avec une sorte de robe bleue histoire de le rendre tout de suite moins crédible en tant que grand chef barbare. Tu lui fais explorer un monde habité par des Grobos et des Lapichons, qui sont respectivement des éléphants et des lapins humanoïdes. Tu lui donnes une balle qu’il peut lancer sur ses ennemis pour s’en débarrasser. Tu obtiens quoi ? Un jeu d’aventure/action français, certes très kitsch mais d’une poésie rare. Ce jeu hante encore parfois mes nuits quand soudain je me réveille en sursaut en entendant un gardien me hurler : « Détenu Twinsen, cessez de vous agiter. »

Annotation :

1995 : Toshinden (Playstation)

Ce n'est pas un grand titre de l'Histoire du jeu vidéo et à raison car la concurrence a rapidement placé la barre beaucoup plus haut, notamment avec Tekken. Il n'empêche qu'au moment de sa sortie, Toshinden m'a marqué car il fut mon premier jeu sur Playstation et mon premier jeu de combat en 3d. Visuellement, ça claquait et la 3d apportait un plus au niveau gameplay, puisqu'on pouvait par exemple faire des roulades sur les côtés et ainsi exploiter toute l'arène de combat.

Annotation :

1996 : Civilization II (PC)

Civilization est une religion. Civilopédia en est le livre sacré. Civilization II en est le prophète. Des après-midi et des nuits entières y sont passées. Mes bulletins de notes s’en souviennent encore.

Annotation :

1997 : Final Fantasy VII (Playstation)

Un jeu qu'on ne présente plus, le meilleur de la Playstation à mes yeux. Il est aussi mon tout premier FF et mon tout premier J-RPG. Je n'ai toujours pas essayé son remake.

Annotation :

1998 : Football Manager 98 (PC)

J’aime le foot. J’aime les jeux de gestion. Je ne peux donc qu’aimer les jeux de management footbalistique. Football Manager 98 fut ma première expérience dans ce domaine. On n’oublie pas les premières fois. Mais j’avoue que par la suite, le genre a eu tendance à me lasser car j’ai trop souvent eu l’impression que quelque soit mes réglages et mes stratégies, les résultats des matchs étaient totalement aléatoires. A quoi bon si on n’a aucune influence réelle ?

Annotation :

1999 : Shenmue (Dreamcast)

Le Japon comme si j’y étais.

Annotation :

2000 : Skies of Arcadia (Dreamcast)

Si je devais vivre dans un univers de jeu vidéo, ce serait dans celui de Skies of Arcadia.

Annotation :

2001 : Shenmue II (Dreamcast, une sacrée console)

Encore mieux que le premier, sauf que ce coup-ci, ça se passe essentiellement à Hong-Kong. Dommage que le 3 soit si mauvais.

Annotation :

2002 : Pro evolution soccer 2 (Playstation 2)

Ca reste le jeu de foot que j’ai le plus apprécié à ce jour. A l’époque, j’avais aussi la chance de pouvoir y jouer souvent en tournoi, ce qui a une toute autre saveur.

Annotation :

2003 : Cycling Manager 3 (PC)

J’aime le foot mais j’aime aussi le vélo. Je garde d’excellents souvenirs de la saison complète que j’ai pu faire en réseau avec 2 amis.

Annotation :

2004 : Dragon Quest VIII (Playstation 2)

Un scénario simple et pas prise de tête. Des graphismes tout en cell shading avec Akira Toriyama au chara-design. Un gameplay oldschool mais calibré au millimètre. Une bonne durée de vie avec des quêtes annexes. Des personnages attachants. Une alchimarmite. Le compte est bon.

Annotation :

2005 : Fable The Lost Chapters (PC)

C’est vrai qu’on peut être déçu par ce jeu, le résultat final étant quand même loin de ce qu’avait promis son créateur Peter Molyneux. Mais Fable a quand même su me charmer grâce à ses musiques et son ambiance.

Annotation :

2006 : Oblivion (PC)

Un jeu long, beau et complet. Explorer les grottes et les portes d’Oblivion est quand même un peu lassant à la longue.

Annotation :

2007 : The Witcher (PC)

Après Oblivion, je voulais enchaîner sur un autre jeu de rôle. Je fouille un peu sur le net et je tombe sur le test de The Witcher. Les critiques sont plutôt bonnes sans pour autant être dithyrambiques. Je me laisse quand même tenter et au final, je ne l’ai pas regretté. Ok, le titre est assez court pour un jeu de rôle et on a beaucoup moins de liberté que dans Oblivion, mais ces défauts sont compensés par un univers extrêmement réussi, sombre et adulte. Et puis Geralt à la classe.

Annotation :

2008 : Assassin's Creed (PC)

2008 est une petite année vidéoludique pour moi. Pas le temps. A l’arrivée le gagnant est Assassin’s Creed, un bon jeu, avec des qualités certaines, mais qui m’a néanmoins un peu déçu. Les missions sont trop répétitives et l’aspect infiltration ne fonctionne pas puisqu’il est souvent possible de se la jouer gros bourrin sans en payer les conséquences. Peut-être que j’en attendais trop aussi.

Annotation :

2009 : New Super Mario Bros. Wii (Wii)

Le seul jeu Nintendo de cette liste. Je ne suis pas un grand fan du plombier moustachu, mais j'ai passé de très bon moment sur le mode 4 joueurs de cet opus.

Annotation :

2010 : Mass Effect 2 (PC)

Le premier opus était pas mal grâce à son scénario et son univers mais il m'arrivait souvent de m'ennuyer en y jouant, notamment quand il fallait explorer des planètes désespérément vides au volant de ce bon vieux mako.

Dans cette suite, le côté RPG est passé à la trappe mais je trouve les missions mieux structurés et surtout, le feeling des phases d'action est nettement meilleur. Au final, j'y ai pris beaucoup plus de plaisir.

Annotation :

2011 : Call of Duty Modern Warfare 3 (PC)

J’aurais pu choisir un jeu comme Skyrim pour plaire à un plus grand nombre. Mais l’honnêteté l’a emporté. Ce Call Of, j’y ai passé plus de 1000 heures. Il a été critiqué et traîné dans la boue par beaucoup, mais moi ça m’éclatait bien en réseau. Il faut dire que j'étais plutôt bon à ce jeu. Ca aide à apprécier.

Annotation :

2012 : The Walking Dead (PC)

Je n'ai jamais pleuré devant un film, un livre ou un jeu vidéo. The Walking Dead est l’oeuvre qui s’est le plus rapproché de cet exploit.

Annotation :

2013 : Grand Theft Auto V (Xbox 360)

Je ne suis pas fan de la série à la base mais force est de constater que question open world, Rockstar maîtrise son sujet. Et puis il y a Trevor.