O Albums qui nous semblaient inaccessibles durant nos quotidiens trépidants, ce confinement est une belle occasion pour que nous fassions connaissance, à la hauteur de votre attention

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- Opéra Rock en triple album durant 2 heures
- Frank Zappa : luxure sonore totale et imprévisible, passionnant
- "Catholic Girls" ; "Watermelon in Easter Hay"

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- Krautrock à l'état pur, collage d'expérimentaux mélant aussi bien musique de fanfare que balade, proto-punk que classique
- Faust, groupe qui tente de s'extirper de toute influence extérieure
- "Why don't you eat carrots ?"

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- Déclamation de 40 minutes, revenant sur une multitude de sujets autobiographiques, avec des arrangements minimalistes mais précis
- Léo Ferré, poète qui ici montre toute l'ampleur de ses capacités vocales autant que son talent pour hypnotiser à la force de ses mots
- Titre éponyme

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- 1 h 15 de folie psychiatrique ascendante, avec au programme aboiements de chien, adaptation musicale de sortilège Moyen-Ageux ou batteur possédé
- Can, groupe phare du Krautrok, donnant ici ses lettres de noblesse au genre, et se dépassant durant la conception de ce disque... Confiné... Dans un château isolé du monde... Réputé pour être hanté...
- "Halleluwah" ; "Augmn"

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- Projet monumental d'ambiant spatial, avec de nombreuses rèfs à Pink Floyd donc
- Pete Namlok combine musique classique, rock psychédélique et ambint Krautrock ; Klaus Schulze, pharaon de l'électro, oeuvre assomante de grandeur
- "Partie 3"

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- Album concept de 2 h 20, centré sur une histoire "distopyque" , et digne de RPG ; avec livret traduit sinon c'est pas drôle
- Dream Theather, bon groupe de métal progressif, ici dans leur projet le plus ambitieux, formellement (pour moi c'est un nanar, mais ça vaut le coup !)
- " A New Beginning" ; "The Path that Devides"

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- 4 heures sur 4 disques, retraçant la France entre 2016 et 2019 tout en parlant de ses sujets de prédilection personnels ; descente aux Enfers à programmer
- Damien Saez, détesté comme adoré on sait, mais si vous voulez un portrait social très divers de ces 4 dernières années c'est ici !
- "Ma vieille" ; "Petrushka"

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- 1 h 30 d'exploration spatiale, à la sauce symphonique, avec l'influence du Krautrock
- Tangerine Dream, pas les derniers pour produire des sons efffrayants, appaisants et énigmatiques à la fois
- "Birth of Liquid Plejades" ; "Zeit"

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- NOUS DEVONS TROUVER UNE EXPLICATION A CE DISQUE. Vaste blague qui dure 1 h 05 ? Lancz-vous un défi, essayez d'écouter l'album jusqu'au bout, du bout.
- Cadillac, membre de Stupeflip se lançant en solo. Inutile de dire qu'on peut pas s'ennuyer en écoutant ce disque
- "Game Over" ; "Mécanique"

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- Ambiant et poésie, parfait pour maîtriser les angoisses de ceux qui commencent à désespérer que le confinement se terminera un jour : sur ce disque, on s'évade, à la cool
- Birds of Passage, de la poétesse Néo-Zélandaise Alice Mertz, qui s'est fait une spécialité d'être à la fois glauque et sublim
- "The Monster inside you" ; "Hollow"

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- Clavier flingué, chanteur fou, paroles parlant de meurtres, de sexe et de nécrophilie : c'est un truc de ouf.
- Suicide, groupe composé d'Alan Vega et Martin Rev, tous deux SDF au moment de production de l'album. Deux fous furieux, à l'origine de ce véritable album d'horreur
- "Cheree" ; "Che"

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- 2 h 30 de musique céleste, où son histoire se révèle doucement tel un oiseau qui s'envole pour chier sur des passants
- Tchaikovski, grand musicien Russe, qui ici déploie ses leitmotivs mythiques et son talent gracieux
- "Violin Concerto in D Minor"

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- 2 h 20 sur un triple album, où ils ont mis. Absolument. DE TOUT. Une exploration en bonne et due forme s'impose donc
- The Clash, d'origine punk, qui ici explore d'autres genres et en maitrise certains parfaitement, comme le reggae ou le rap !
- "One more Tim" ; "Lose This Skin"

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- Collages de morceaux mélangeant jazz, électro et brides de poèmes devant s'assembler : un album qui ne ressemble qu'à lui-même, un puzzle auditif
- Jean-Louis Murat, troubadour sortant un album par an depuis son Auvergne, et qui ici plonge tête baissée dans un univers expérimental mais foutrement intéressant pour sa cohérence
- "Le chat" ; "Cordes"

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- 1 h 30 de décadence : OK cet album est hai du monde entier, mais tentons de profiter du confinement pour comprendre pourquoi David Bowie disait qu c'était le sommet de Lou Reed, pourquoi on retourne souvent sur son cas !
- Lou Reed et Metallica, Metallica et Lou Reed. Et un théâtreux Frank Wedekind.
- "Dragon" ; "Cheat on Me"

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- Pendant 1 h 15, prenez le temps de basculer dans un monde nocturne, charnel et à l'atmosphère incontestablement sans limites.
- Alain Bashung, garant de chanson française exigeante, qui ici se lâche pour porter des poèmes se dévoilant progressivement
- "Je me dore" ; "Mes Bras"

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- Du rock progressif dans sa forme la plus pure, à la fois totalement folle et complètement maîtrisée !
- King Crimson, scientifiques de la musique qui exige une grande attention (difficile de faire autrement de toutes façons)
- "Easy Money" ; "The Talking Drum"

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- Comédie musicale, retraçant une histoire d'amour à la fois rêveuse et tragique, pleine de charme et de simplicité !
- Barbara et Gérard Depardieu, en couple hors-la-loi à la quête de l'Ile aux Mimosas !
- "L'ile aux mimosas" ; "Tire pas"

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- Long spoken word expérimental, justement sous influence de "Et... Basta !"
- Noir Désir, avant que le groupe explose pour une affaire pas trop médiatisée ; ici, dans un état tel que vous ne le reverrez plus jamais
- Titre éponyme

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- (ALBUM PAS ECOUTE) A décortiquer pour se mettre d'accord : sous-côté ?

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mdr