Oeuvres cinématographiques vues ou revues en l'an de grâce 2014

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Découverte

Comme d'habitude, lorsqu'il s'agit de faire de l'aventure et des cascades, Charlot répond présent. On est toujours séduit par la modernité du rythme de Chaplin !

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Découverte

La Vie révée de Walter Mitty raconte plein de choses sur la fin d'une ère. Au premier degré, c'est déjà un très beau film, efficace et touchant, assez simple mais finement maitrisé, dans le fond ça raconte beaucoup de choses sur la métamorphose du cinéma et sur, justement, les adieux à la pellicule, à l'artisanat (du moins à ce mode d'artisanat), à cette manière de concevoir le média.

Je trouve ça vraiment très beau, il y a des imperfections, des facilités, mais qu'importe, c'est très généreux, très bien pensé, et surtout très sincère. Ca me fait plaisir de trouver un Ben Stiller auteur, par ailleurs. Ce type est vraiment intéressant.

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Découverte

Un film qui vient compléter le thème "l'Amérique paranoïaque" post-Kennedy, post-Nixon, post-Viêtnam, dans la lignée d'A cause d'un Assassinat. Anti-spectaculaire autant que virtuose, Coppola est toujours au sommet.

Présenté à la Cinémathèque dans le cadre du cycle "panoptisme".

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Revisionnage

Mon Hitchcock préféré, tout simplement. Fascinant, modernissime, avant-gardiste au possible, Fenêtre sur Cour n'a pas perdu un gramme de son efficacité. Tout s'emballe dans cette histoire tourbillonnante qui ne manque pas de faire baver le spectateur devant Grace Kelly; qui se dévoile ici sous son plus beau jour.

Présenté à la Cinémathèque dans le cadre du cycle "panoptisme".

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Découverte

Honnêtement, et même si j'apprécie Warren Beatty, je ne l'aurais pas cru capable de mettre en scène une fresque aux airs "David Leanesques". Reds est avec La Porte du Paradis un des derniers films du Nouvel Hollywood, tous deux dotés de budgets démentiels. Des productions inconcevables aujourd'hui. Beatty nous fait revivre la grandeur de la Révolution Russe tout en dressant un portrait du communisme honnête et juste, loin d'être finalement aussi engagé qu'il n'y parait. Un film qui complète habilement la vision de David Lean dans Docteur Jivago.

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Découverte

D'ors et déjà, William Friedkin affirme son style du Nouvel Hollywood, profondément influencé par la Nouvelle Vague française. Je pensais que le film, bien que sympathique, serait un peu hors-sujet dans sa carrière, mais pas du tout. On y aperçoit plus que jamais l'auteur de Bug et de Killer Joe. Huis-clos assez fascinant, malgré un petit coup de mou dans le dernier tiers.

Article à venir dans le cadre de la rétrospective "William Friedkin : l'apprenti sorcier" sur CIneheroes : http://www.cineheroes.net/category/retro

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Revisionnage

Des années que je ne l'avais pas revu, pourtant ça n'est pas l'envie qui manquait, d'autant plus après la sortie de l'insipide (et pitoyable) Amazing Spiderman. Pas de doutes : Sam Raimi est bel et bien un auteur. Mise en scène virtuose, mais surtout écriture équilibrée. On pourra toujours dire que le premier tiers prend un peu trop son temps, mais les séquences offertes par la suite compensent largement, et Raimi soignent comme jamais les relations entre ses personnages. Puis des longs-plans comme ça, les réalisateurs capables d'en faire des beaux, ça doit se compter sur les doigts des mains (coucou Mark Webb, tu peux prendre des cours si tu veux).

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Découverte

C'est malheureusement un peu con. Je dis malheureusement car il y a un très bon potentiel : un flic asocial et violent qui se retrouve confronté à une petite bourgade de rednecks. Malheureusement, le déroulement du film est conventionnel, mais j'aurais bien voulu avoir quelque chose à mi chemin entre Rambo pour le côté psychopathe violent incapable de se réinsérer (d'autant plus que c'était Stallone qui écrivait le scénario...) et Straw Dogs, pour le côté nouvel arrivant qui se "met à dos" tout le monde et qui va devoir littéralement défendre son territoire (finalement... Homefront quoi). Malheureusement ça n'est pas le centre du film. Je suis intimement persuadé que si on avait passé tout le dernier tiers du film sur l'assaut de la baraque par des rednecks, avec Statham dévoilant sa face de flic psychopathe à sa fille, ç'aurait été jouissif et éventuellement intelligent.

Dommage également que le film soit monté trop agressivement. C'est pas réalisé d'une main de maître, mais çà et là, quelques plans sont bien conçus, mais hachés dans le montage.

Finalement, on a juste Statham qui a l'air bête et Franco qui cabotine. Mais Statham met des grosses patates, donc je me montre magnanime.

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Revisionnage

Un nouveau cap est franchi depuis le premier volet : les expérimentations visuelles et narratives de Sam Raimi ont porté leurs fruits. Spider-Man 2 est maitrisé de bout en bout, de ses incroyables séquences d'action développant le virtuose de l'auteur aux séquences plus intimistes : c'est là où Sam Raimi se démarque d'autant plus. Ses personnages vivent, ont un fond et son équilibré. La caractérisation d'Octopus est remarquable et l'attachement créé dès le début fonctionne (encore plus qu'avec Norman Osborn). La partition de Danny Elfman est d'autant plus soignée. Seul "bémol" s'il en est : Kirstin Dunst a perdu un peu de poids par rapport au premier, c'est curieux, elle fait plus maigre (et a surtout moins de seins !). Enfin, elle reste une très belle femme, qui fait "vraie", contrairement à beaucoup d'interprètes féminines du genre super-héroïque.

(j'ai vu la version longue)

+ revisionnage au cinéma également ! (j'en voulais grands Dieux !)

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Découverte

Bon évidemment c'est navrant comme jamais. Pire : c'est gênant. Premier rire enregistré dans la salle au bout de 20 minutes de film, c'est tout de même un problème. Le moment le plus drôle de la projection a été quand le DCP a planté. Tristesse.

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Découverte

Soyons honnêtes : ça n'est pas aussi nul que ça en a l'air. Malgré le pitch farfelu (un chien milliardaire et un gosse débile qui voyagent dans le temps, WTF), le film a le mérite de ne pas ennuyer, par ailleurs. Malheureusement, ça reste trop bête dans l'ensemble, assez mal réalisé et ça s'apparente finalement à une sorte de mix pas très intéressant de la série animée Retour vers le Futur. Dommage, car deux ou trois gags sont vraiment bien sentis, notamment le "I'm Spartacus !".

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Toujours aussi jouissif, Gremlins 2 s'inscrit également dans ce rapport très intime qu'a Joe Dante avec son propre média. Ca a beau être bien fun et bien déjanté, c'est aussi un très beau coup de coeur profondément cinématographique. Puis la musique de Goldsmith quoi !

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Revisionnage

Difficile d'écrire sur un de ses films préférés surtout quand on le revoit au cinéma. C'est juste d'une incroyable justesse et d'une beauté formelle rarissime.

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Découverte

Probablement un des Cronenberg les plus poussé dans sa logique du symbolise. Le film en perd d'ailleurs un peu en légèreté tant nos sens analytiques sont mis à rude épreuve pendant le premier quart, dans le jeu des plans et surtout des couleurs. Il en reste tout de même un film visuellement somptueux, passionnant pour les amateurs de l'écrivain et confirmant, une fois de plus, que Peter Weller n'a malheureusement pas eu la carrière qu'il méritait par la suite.

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Découverte

Du cinéma qui a des couilles, tout simplement. Un film archétypal du cinéma de genre des années 80, porté par la mystique bande-son de Tangerine Dream et une esthétique sans pareil. Cerise sur le gâteau : ça n'en reste pas moins une putain d'histoire d'amour. De quoi refaire le fion à Twilight.

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Découverte

Un documentaire très intéressant sur Clint Eastwood, probablement le plus exhaustif dans son domaine, après les bouquins. Des intervenants classieux et une bonne dynamique, c'est vraiment agréable pour un documentaire télé. Puis c'est franc, objectif, et ça n'hésite pas à dire que voilà, Eastwood se faisait chier sur Dirty Harry 5, pour l'exemple.

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Découverte

Le jugement est dur, mais avouons-le : je me suis fait chier comme rarement. Tout le problème réside notamment dans l'ambition du film : auteuriser un cinéma chez un réalisateur qui n'est lui-même pas un auteur. En conservant les dialogues originaux, Whedon esquisse à la fois sa feignantise et son esbroufe. Il n'a pas le sens du virtuose de Kenneth Branagh et son sens de l'adaptation pour se permettre une telle entreprise. Le film est donc plombé par des lourdeurs incommensurables. Adaptation inexistante, esthétique numérique hideuse (et le fait que ce soit un petit tournage n'excuse pas tout, retourne prendre des cours chez Cassavetes), réalisation télévisuelle qui se fend probablement du découpage le plus aléatoire vu ces derniers temps : il n'y a aucun sens dans les plans, dans le montage, aucune puissance, aucun symbole, là où Branagh tapait justement fort. Et comme si ça ne suffisait pas, le peu de subtilité restante est gangrénée par la terrible musique composée par Whedon himself, s'additionnant au montage toujours tel un cheveu dans la soupe.

C'est bien gentil de vouloir s'acheter une légitimité d'auteur, mais Whedon ferait mieux de retourner à son cinéma de marchand de jouets pour le coup. Tout ce qu'on retient, c'est qu'il a une jolie baraque.

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Découverte

Le drame psychologique sur fond de guerre dans son excellence. Dès les premiers plans, on sent la rigueur de mise en scène d'un patron qui propose rapidement l'une des plus belles transitions vers un flashback du cinéma. Outre un Gregory Peck au sommet, Un homme de fer dessine avec subtilité la guerre et fait le choix de ne pas la montrer jusqu'à la fin du film, créant un véritable paroxysme lors de la scène de combat dévoilée, montée principalement (et superbement) avec des images d'archives. Un moment d'anthologie du combat aérien au cinéma, par ailleurs. De quoi envoyer bouler les Red Tails et compagnie. Je regrette peut-être un peu la fin, et encore, elle s'inscrit dans la logique du film.

Cinéma de taulier.

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Loin d'être la purge annoncée, finalement c'est assez sympathique. Il faut faire le deuil des personnages de Rocky et de LaMotta qui sont sacrifiés sur l'autel de l'auto-parodie, mais au moins le résultat ne se prend pas au sérieux, est très honnête et surtout remplit le contrat avec le spectateur. On rigole finalement pas mal, pas de quoi être si mécontent.

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Découverte

Terriblement lambda, sans audace, sans apport par rapport aux précédentes adaptations et désespérément pompé d'Avatar, il n'y a pas grand chose à retenir de cette nouvelle mouture.

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Découverte

Rien ne va plus pour Kenneth Branagh, perdu sur le rollercoaster Hollywoodien. Le réalisateur Shakespearien ne sait pas où aller et conjugue son style posé avec des séquences Jason-Bournesques au possible, profondément incohérentes avec le personnage qu'est censé être Jack Ryan. Un scénario aux abonnées absent et surtout un personnage de bad-guy profondément ridicule, à la caractérisation "moins subtile tu meurs" interprété par un Kenneth Branagh qui vraisemblablement ne recule devant aucun cliché.

On reconnait sa patte çà et là, il tente de s'approprier le film, mais au résultat ça reste un film d'action très médiocre qui va se perdre dans la masse. Kenneth, sors de la putain !

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Découverte

Quand on me dit que c'est le film qui a influencé Mad Max, autant dire que mon attente est élevée. Allons directement au but : c'est le sommet du découpage des années 70. Sur fond des questions désormais classiques du Nouvel Hollywood sur la remise en question d'une Amérique malade, Point Limite Zéro décrit surtout la fin du western, la fin de l'ère des héros, la fin du rêve. Un film magnifique qui en plus fait rugir une Challenger, on ne va pas s'en priver.

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Revisionnage

J'étais un peu inquiet à l'idée de revoir l'un des films les plus décriés de l'un de mes auteurs modernes préférés. Ce qui frappe rapidement, c'est l'ambition et la démesure du projet qui pousse peut-être plus loin que Kingdom of Heaven. La parenté est établie entre les deux films : du Richard Coeur de Lion aperçu à la fin de KoH et retrouvé au début de Robin des Bois aux thèmes père/fils cultivé par Ridley Scott (y compris dans Gladiator). Après un premier segment d'une heure de très haute volée (on regrette éventuellement la séquence avec Philippe), c'est sûrement les séquences avec Cate Blanchett qui cassent la dynamique du film. C'est d'autant plus dommage quand elles sont narrativement intéressantes. Ridley Scott en profite néanmoins pour cultiver une essence nouvelle de Sherwood, qui emprunte par ailleurs un peu au fantastique dans ses aspects formels jusqu'à même rappeler (de loin, je l'admets) Legend. Le dernier tiers s'avère redoutablement efficace et reprend l'essence de la démesure du film.

A noter au passage un Streitenfeld plus inspiré qu'on ne pourrait le croire d'habitude, et surtout un Mathieson délivrant un photographie une fois de plus démente, au relief superbement bien travaillé, aux ambiances tamisées ou contrastées typique du réalisateur. Et le générique de fin déboite.

Sincèrement, une bonne surprise, malgré les lourdeurs, les défauts, le manque d'homogénéité face à Kingdom of Heaven... Le sujet est quelque part moins évident. Et puis voilà, le gars pose ses couilles sur la table et clame : les fresques historiques, je suis le dernier à en faire.

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Découverte

J'aime Hollywood classique, j'aime Powell et Pressburger et j'aime par dessus tout cette capacité qu'on certains auteurs à pousser l'outil cinématographique au maximum et à s'affranchir de la subtilité en poussant le symbolisme à son maximum. Par la virtuosité du duo, le too much passe crème et s'assume pleinement, décrivant un film littéralement dément et complètement programmatique. L'ambition n'est pas de surprendre, mais d'envoûter avec la puissance de l'outil cinématographique permettant un formel, par ailleurs, splendide comme jamais. Comme toujours, la narration, chez Powell et Pressburger, s'effectue beaucoup par l'image.

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Découverte

Assez synthétique et prenant malgré une première partie pas folichonne sur le développement. Le documentaire retranscrit bien la démesure du projet et notamment celle du tournage qui rappelle les grandes heures d'Hollywood, des décors gigantesques et des prothèses maquillage insensées. L'expérience de tournage est vraiment prenante. A noter que c'est le même réalisateur que Dangerous Days : Making Blade Runner.

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Découverte

Sujet fascinant, mais hélas traité de manière trop scolaire. On ressent derrière une pièce de théâtre qui n'ose pas beaucoup et nous ressort les poncifs habituels de la seconde guerre mondiale, enrobé ici d'un nappage qui s'assimile, disons, à un téléfilm de luxe. C'est dommage, il y a des idées, je n'ai pas envie de détester, mais c'est trop basique compte-tenu du sujet et de l'universalité des questionnements qu'il pose.

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Revisionnage

Pour une raison que j'ignore, tant c'est à l'opposé des canons cinématographiques que j'aime, je trouve le cinéma de Bergman fascinant. Il m'emporte littéralement dans son torrent émotionnel, emprunt d'un réalisme traité tout en finesse. Une fresque de vie somptueuse pour l'une des plus belles histoires d'amour du cinéma. Puis cette précision dans la direction d'acteur, dans la réalisation, dans ce non-découpage qui laisse l'émotion naitre et se métamorphoser au sein d'un même plan... Non, c'est brillant, définitivement brillant.

J'ai vu la version cinéma (2H40), non le montage TV de 5h.

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Revisionnage

Sûrement un des plus grands films américains de la modernité, sombre et élégant comme jamais. Le charisme d'Alain Delon dans le Samouraï s'est ré-incarné chez ce Tom Cruise magnétique comme jamais. De toute façon, Michael Mann est un génie, l'un des plus grands auteurs américains.

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Il y avait sûrement quelque chose à faire avec une nouvelle adaptation de RoboCop compte tenu des évolutions de notre monde. Malheureusement, entre une production peu ambitieuse et un réalisateur aux idées refusées et ne sachant pas maitriser son style à une échelle Hollywoodienne, RoboCop se perd dans un abîme de conneries, s'auto-infligeant en permanence la comparaison avec son légendaire grand frère.

De toute façon, Paul Verhoeven chie dessus, à partir de là tout est dit.

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Découverte

A ranger dans la famille des westerns "plus classiques tu meurs" mais aussi "bougrement efficace". Sorte d'alternative au Train Sifflera trois fois, le film de Sturges est quand même foutrement solide. Le discours est moins engagé mais profite à un face à face de tauliers entre Douglas et Quinn.