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Annotation :

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750 pages

Intégrale (09/09/2016)

La science-fiction a son meilleur niveau ? Sans aucun doute possible. La conquête de l'univers par l'homme dessiné de la meilleure manière possible. Étant enfant, j'étais un passionné de tout ce qui touchait à l'univers et aux planètes, du coup mes passions enfuies remontent à la lecture de ce manga, ça fait un bien fou de revivre un peu cette époque de jeunesse et d'envie de découverte à travers 2001 Night Stories. On sent que l'auteur s'est extrêmement bien documenté, il y a un côté ludique bien pensé, en plus de suivre de belles aventures humaines on s'instruit facilement, tout est clair, il y a de la technicité mais bien expliquée, on ne nous bassine pas avec des termes barbares pédants. Et puis ce dessin, tellement magnifique, précis, l'édition très grand format rend justice à tous ces effets de particules, ces planètes et ces étoiles en pleines pages, ces engins spatiaux hyper détaillés et ces perspectives incroyables, un vrai bonheur. Et on ne s'arrête pas à une simple explication des différentes technologies, il y a également des scenarios, qui parfois se rejoignent, où se jouent des aventures humaines passionnantes, du drame à la joie de la réussite, du questionnement sur l'existence humaine à la course au progrès, l'aspect scientifique est épaulé d'histoires où des personnages très bien écrits jouent parfois leur vie pour aller au bout de leurs aventures. Un must-read incontournable.

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416 pages

¤ 20th Century Boys
Tome 1 : 8,5 ((20/02/2021)
Tome 2 :
Tome 3 :
Tome 4 :
Tome 5 :
Tome 6 :
Tome 7 :
Tome 8 :
Tome 9 :
Tome 10 :

¤ 21st Century Boys :
Tome 11 :

Annotation :

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408 pages (Abara + Digimortal)

¤ Abara
Tome 1 : 8 + ❤ (7/04/2014)
Tome 2 : 7 (8/04/2014)

¤ Digimortal (Histoire indépendante)
One-shot : 5 (8/04/2014)

Lecture rapide, (Nihei oblige) en une journée de ce manga en deux tomes avec deux histoires, Abara et Digimortal.
Je trouve que les critiques du site sont très sévères vis-à-vis du scénario. Certes il n'est nullement complexe, tout est expliqué, sauf la fin qui est très ouverte, mais je ne l'ai pas du tout trouvé absurde. On passe rapidement sur les détails, et le background aurait pu être étoffé davantage mais avec seulement deux tomes il ne faut pas s'attendre à des miracles non plus. Le seul reproche flagrant est qu'effectivement ce n'est pas un modèle d'originalité, ça reste tout de même prenant, et très accessible, ce qui n'est pas dans les habitudes de cet auteur.
Il est clair que cette mini-série sert surtout à nous en prendre plein les yeux. Nihei distille un style très très crade, plein de traits partout, des gros aplats de noir, ce n'est pas propre, mais vu la maîtrise de ce dernier même crade c'est magnifique. Des doubles pages à tomber par terre, un design tellement classe digne de ce mangaka, les armures des protagonistes sont somptueuses, j'adore cette touche de beauté qui ressort du coup de crayon alors que c'est gore à souhait. Bon forcement, si on est rebuté par son style autant vous dire que ça ne sera pas Abara qui vous fera changer d'avis, par contre si on est fan, dans ce cas c'est un régal.
Petit bémol pour ma part, la mini-histoire en deux chapitres, Digimortal, à la fin du deuxième tome est encore une fois bien dessiné, très sombre, totalement dans l'univers de Nihei, mais c'est du dépeçage gratuit avec un semblant de background poussé sans grand intérêt. C'est joli à regarder, mais ça sera vite oublié.

Critique : http://www.senscritique.com/bd/Abara/critique/32217993

Annotation :

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1333 pages

Tome 1 - Part 1 : Tetsuo : 10 + ❤ (31/03/2018)
Tome 2 - Part 2 : Akira I : 10 + ❤ (31/03/2018)
Tome 3 - Part 3 : Akira II : 9 (31/03/2018)
Tome 4 - Part 4 : Kei I : 8,5 (02/06/2019)
Tome 5 - Part 5 : Kei II :
Tome 6 - Part 6 : Kaneda :

Je profite de la réédition par Glénat en version originale pour me refaire ce mastodonte du manga, bien qu'elle a connue pas mal de déboire et des soucis de délais assez incroyable, l'édition est un vrai plaisir, la trad revue fait son effet, le sens de lecture japonais, enfin merci, toutes les pages couleurs, pas de fantaisies sur les murs de Neo-Toyko, et les onomatopées originales traduites comme il faut. Ajouter à ça de belles tranches, des dessous de couverture somptueux, une vraie belle édition, c'était le minimum pour cette œuvre qui a chamboulé des générations de lecteurs. Akira, c'est un lointain souvenir apporté par mon père, un homme en blouson rouge sur la plus belle des motos jamais dessinée, c'est cette image qui est restée plus d'une dizaine d'année gravée dans ma tête sans pouvoir mettre un nom dessus, c'est la découverte du manga papier, de la résonance de cette image, un soulagement de me dire d'avoir enfin trouvé le Graal tant cherché suivi de ma première claque magistrale. Avec Akira, j'ai plongé dans le monde des mangas pour "adulte" et je n'en suis jamais ressorti. C'est, également, mon premier film d'animation me marquant à vie, et c'est aussi là que j'ai compris qu'il fallait toujours privilégier les versions d'origine, tant le manga va plus loin dans l'histoire que le film d'animation. Une galerie de personnage merveilleuse, un scénario bien ficelé, long et prenant à la fois, mes premiers pas dans la science-fiction et dans le cyberpunk (devenu depuis mes genres favoris). C'est une longue histoire d'amour à la manière d'un Dragon Ball. Comme beaucoup de personne, une trace indélébile dans mon parcours de lecteur.

Annotation :

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471 pages

Intégrale (9/10/2015)

J'avais une grande attente envers ce manga, déjà parce que j'avais apprécié le film Edge of Tomorrow. Déjà le dessin est précis, clair, le charadesign de l'auteur est sympa, très "mainstream" pas ce que je préfère, mais ça manque d'identité je trouve, le style d'Obata est pourtant bien apprécié mais personnellement ça ne me touche pas. Autre bémol, ce ne sont que deux tomes donc forcément le scénario est rushé comme pas possible mais là où j'ai du mal c'est par rapport au cliffhanger final qui est plat et si peu original, de ce côté-là le film s'en sort nettement mieux, c'est vraiment se tirer une belle balle dans le pied, je pense que le manga serait meilleur avec un troisième tome pour au moins agrémenter la fin de contenu, dommage. Bizarrement je ne suis pas si déçu que ça vu l'attente, c'est juste plat et fade, ça ne m'a pas bougé. Je n'en garderai aucun souvenir je pense.

Annotation :

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607 pages

Intégrale (27/05/2015)

Mais ce trait, ce style, particulier mais sobre, tout en finesse mais brut, décalé mais tellement dans le thème, mon dessinateur favori et de loin. Cet auteur est de loin mon préféré, il a un talent inouï pour nous raconter une histoire à la fois prenante et tellement pleine de sens, une sacrée leçon de vie que nous fournit ici Taiyô Matsumoto où il nous plonge dans les méandres de la folie à travers une violence et un amusement dans les ruelles bétonnées de Takara, la ville aux milles trésors, aux milles déboires. Du début à la fin, l'histoire évolue de manière brillante, encore un chef d’œuvre, un trésor, encore une œuvre qui montre que le manga est un medium juste incroyable.

Annotation :

¤ UNIVERS APOSIMZ : 681 pages

1/ Ningyô no Kuni (préquelle) √
2/ Aposimz, le pays des marionnettes ►

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26 pages

One-shot (09/09/2016)

Court one-shot glaçant, un univers, un design et un coup de crayon digne de Tsutomu Nihei, il délaisse le style qu'il a adopté pour Knights of Sidonia en gardant tout de même la dominance de blanc pour reprendre un style proche de Biomega/Abara, et ce n'est pas pour me déplaire. Ce one-shot fait clairement office d'introduction à ce que j'espère être la prochaine série du Maître, et ça promet. Plus qu'à attendre.

Annotation :

655 pages

Tome 1 : 8,5 + ❤ (15/11/2018)
Tome 2 : 10 + ❤ (05/02/2019)
Tome 3 : 9 + ❤ (03/11/2019)
Tome 4 : 9 (??/??/2020)
Tome 5 :
Tome 6 :

C'est le grand retour de Tsutomu Nihei en France, un de mes mangaka favoris. Avec Aposimz, Nihei propose une vraie lettre d'amour à tous ses fans. Prenez son coup de crayon tout vêtue de blanc et aplat de gris, et ce trait particulier discontinu qu'il a commencé à vraiment utiliser sur la fin de Knights of Sidonia. Ajoutez les gimmicks scénaristiques et un univers complexe à la BLAME!, on enchaine plan large de décors et phase de combat entre deux scènes de dialogue pour bien assimiler et exploiter l'univers, on retrouve également les concepts de mégastructure, de niveaux/strates, et toujours des organisations puissantes et mystérieuses. Pour finir, une bonne dose de combats incisifs en armure façon Abara, avec les mêmes effets de "ralenti" et de vitesse/puissance utilisés dans le découpage. C'est un savant mélange de tout ce que le mangaka a de mieux à nous proposer. Ça peut laisser certains lecteurs sur leur faim, surtout si la complexité scénaristique et la narration muette vous manquent, mais Nihei nous sert un manga super accessible (d'où la prépublication dans un magazine Shônen pour la première fois de sa carrière) où il exploite tout ce qu'il sait faire. Ce n'est pas ce qu'il y a de plus original surtout pour un auteur qui a tendance à toujours se renouveler, mais je suis absolument conquis, fan un jour...

Annotation :

✗ (mis en arrêt par l'auteur)
704 pages

¤ Léviathan Saga
Tome 1 : 5 (7/03/2014)
Tome 2 : 6 (8/03/2014)
Tome 3 : 7,5 + ❤ (11/03/2014)

Aqua Knight peut être vu sous deux angles, ce qu'il est et surtout ce qu'il aurait pu être.
La série est déroutante car très loin de ce que Kishiro nous a habitué avec Gunnm, mais j'apprécie qu'un mangaka se renouvelle sinon ça serait vite ennuyeux.
Aqua Knight est un manga sympa, très bien dessiné, très rond, assez stéréotypé shônen, mais fourmillant de détails, et d'une grande propreté. Kishiro n'a plus rien à prouver de ce côté-là, il s'essaye à autre chose, et se fait plaisir, plaisir que l'on ressent facilement à travers les différentes planches. L'histoire est originale, la narration prenante, avec un combat final et un flashback proche de l'excellence. Elle est également frustrante car tellement courte, et parsemé d'humour niais qui ternit un récit au final très mature.
Aqua Knight aurait pu être une aventure épique, longue et prenante. Kishiro nous sert un univers riche et dense avec un potentiel monstrueux sur seulement trois tomes, plein de détails nous immergent dans ce qui forme un monde magique et envoutant où on aurait pu navigué au gré des vents pour découvrir une aventure digne des plus grands manga d'aventure avec un grand A. Un potentiel qui ne sera surement pas exploité, Kishiro ayant laissé son manga à l'abandon pour s'adonner à Gunnm Last Order puis la troisième partie de son œuvre phare à partir de l'été 2014. Dommage.
Au final, un manga très sympa à lire, malgré cet humour déplacé par rapport au reste du récit. Un dessin maîtrisé et un Kishiro qui se renouvelle avec brio. Une œuvre clairement sous-estimée.

Annotation :

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3002 pages

Tome 1 : 8 + ❤ (01/03/2018)
Tome 2 : 8 (02/03/2018)
Tome 3 : 7 (04/03/2018)
Tome 4 : 8,5 + ❤ (18/03/2018)
Tome 5 : 8 + ❤ (20/03/2018)
Tome 6 : 8 (20/03/2018)
Tome 7 : 10 + ❤ (22/03/2018)
Tome 8 : 8,5 (28/08/2018)
Tome 9 : 8,5 + ❤ (20/10/2018)
Tome 10 : 8 (20/10/2018)
Tome 11 : 7 (21/10/2018)
Tome 12 : 8,5 + ❤ (21/10/2018)
Tome 13 : 9 (23/10/2018)
Tome 14 : 7 (23/10/2018)
Tome 15 : 9,5 + ❤ (23/10/2018)

En voilà une série qui sent bon le dépaysement. Ce genre d'univers que j'affectionne, revisiter toutes les mythologies à la sauce méga-action thriller est une très bonne idée qui me rappelle mon chouchou shônen Moonlight Act qui lui revisite les contes du monde entier version shônen. McCoy, héroïne énergique et plutôt sexy, nous transporte dans ses aventures assez WTF. Un dessin tout en aplat de blanc et noir à la Sin City, c'est un régal, le découpage est intuitif et original, il est acteur de la narration, le design des personnages est top, ils sont travaillés, certains avec des backgrounds bien intéressant, l'utilisation des différents mythes est également inspirée, ça donne un univers travaillé, ce n'est pas servi tout bêtement sur un plateau, y'a beaucoup de cohésion et de sens pour un scénario prenant avec des fils rouges accrocheurs. Masato Hisa est un auteur que je découvre, je ne regrette absolument pas, c'est typiquement le genre de manga sortant des sentiers battus qui me parle. Ajouter à ça une édition impeccable, super solide, papier top, traduction magnifique, avec une sacrée dose de contenu supplémentaire. 15 tomes de bonheur à lire.

Annotation :

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318 pages

¤ AQUA
Tome 1 : 7 (??/??/2020)

¤ ARIA
Tome 2 :
Tome 3 :
Tome 4 :
Tome 5 :
Tome 6 :
Tome 7 :

Annotation :

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194 pages

Tome 1 : 7 (??/??/2020)
Tome 2 :
Tome 3 :
Tome 4 :

Annotation :

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125 Pages

One-shot (7/03/2014)

Un récit bien mené de la part de Kishiro. On suit l'histoire de Sven Motorballeur Crasheur et ses quelques rebondissements sans s'ennuyer. Le ton du récit est dur et triste. On notera que le dessin est différent de ce que fait cet auteur avec sa série fétiche, Gunnm. Ici, c'est moins précis, aplats de noir et de blanc sans quasiment aucune nuance, mais c'est exactement ce qu'il fallait pour l'ambiance de ce manga. Au final, j'ai trouvé ça un peu court mais vraiment plaisant.

Annotation :

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1365 pages

Tome 0 - BAMBi Alternative : 7 (28/06/2015)
Tome 1 : 8 (8/02/2015)
Tome 2 : 7 (8/02/2015)
Tome 3 : 9 (9/02/2015)
Tome 4 : 10 + ❤ (10/02/2015)
Tome 5 : 10 + ❤ (10/02/2015)
Tome 6 : 9 (11/02/2015)

Ce manga aurait pu être un film tourné par Monsieur Tarantino où le scénario furieux couplé à une intrigue qui avance à toute vitesse côtoie des acteurs tous plus fous et déjantés les uns que les autres avec tout de même une part d'humanité pour certains, et surtout où l'action omniprésente nous offrirait un sacré divertissement. Mais BAMBi est un manga, et Kaneko réussit à travers de la lecture à nous faire ressentir une tonnes d'émotions digne des meilleurs Road-movie déjanté. Comme quoi, le manga est un media plein de ressource et de surprise.

Annotation :

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3315 pages

Tome 1 : 9 (28/04/2016)
Tome 2 : 10 + ❤ (28/04/2016)
Tome 3 : 9 (29/04/2026)
Tome 4 : 9,5 + ❤ (29/04/2016)
Tome 5 : 10 + ❤ (29/04/2016)
Tome 6 : 10 + ❤ (29/04/2016)
Tome 7 : 8 (29/04/2016)
Tome 8 : 8 (30/04/2016)
Tome 9 : 9,5 + ❤ (30/04/2016)
Tome 10 : 8 (22/05/2016)
Tome 11 : 8 (22/05/2016)
Tome 12 : 8 (08/01/2017)
Tome 13 : 7 (08/01/2017)
Tome 14 : 7 (08/01/2017)
Tome 15 : 7 (10/01/2017)
Tome 16 : 7,5 (12/01/2017)
Tome 17 : 8 (14/01/2017)
Tome 18 : 8,5 + ❤ (14/01/2017)
Tome 19 : 10 + ❤ (15/01/2017)

Les meilleures séries américaines sur la mafia ont de la chance que ce manga n'est pas été adapté à la télévision, l'enchainement à cent à l'heure de l'intrigue aurait donné des épisodes captivant. Je n’ai d’ailleurs jamais vu de manga allant aussi vite dans l'action tout en étant totalement cohérent, aucune situation n'est de "trop", ou n'arrive de nulle part, tout a du sens, c'est assez impressionnant. Et le scénario lui-même est superbe, carrément captivant, j'en enchaine les tomes. Une des meilleures maitrises scénaristiques qu'il m'a été donné de voir, jusqu’au dernier acte absolument brillant, notamment le dernier tome. Au niveau du dessin, on n'est pas vraiment dans du shôjo au final, on a un trait fin qui se rapproche d'Ôtomo, les scènes d'action sont limpides, et les personnages très bien dessinés. Les personnages d'ailleurs, ils ne sont pas mal incroyables, la plupart ont des backgrounds intéressant et poussés, et Ash Lynx est, assez facilement, un des héros les plus charismatiques créés, tout manga confondus. Le côté yaoi n'est presque pas existant, car oui il y a des relations homosexuels mais elles sont loin en arrière-plan et ne servent (quasiment jamais) le récit principal, ce n'est absolument pas gênant pour ceux que ça rebuterait.

Annotation :

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183 pages

Tome 1 : 7 (21/03/2017)
Tome 2 :
Tome 3 :
Tome 4 :
Tome 5 :
Tome 6 :
Tome 7 :
Tome 8 :
Tome 9 :
Tome 10 :
Tome 11 :
Tome 12 :
Tome 13 :
Tome 14 :
Tome 15 :
Tome 16 :
Tome 17 :
Tome 18 :
Tome 19 :
Tome 20 :
Tome 21 :
Tome 22 :
Tome 23 :
Tome 24 :
Tome 25 :
Tome 26 :
Tome 27 :

Annotation :

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2076 pages

¤ Club de théâtre
Tome 1 : 8 (04/02/2019)
Tome 2 : 8 + ❤ (04/02/2019)

¤ Festival de la météorite
Tome 3 : 7,5 (??/??/2020)
Tome 4 : 9 (??/??/2020)
Tome 5 : 9 + ❤ (??/??/2020)
Tome 6 : 8,5 (??/??/2020)

¤ Meurtre élucidé
Tome 7 : 8,5 (??/??/2020)
Tome 8 : 8,5 (??/??/2020)
Tome 9 : 9 + ❤ (??/??/2020)
Tome 10 : 9 (??/??/2021)
Tome 11 : 9 + ❤ (??/??/2021)

¤ La vie d'un marginal
Tome 12 :
Tome 13 :
Tome 14 :

¤ La vengeance de l'échec amoureux
Tome 15 :
Tome 16 :
Tome 17 :
Tome 18 :
Tome 19 :
Tome 20 :
Tome 21 :
Tome 22 :

C'est une lecture d'une fraicheur ! Le style graphique déjà très personnel, le découpage dynamique et parfois unique en son genre, les effets un peu shôjo, la narration prenante et sérieuse tel un seinen, et l'évolution des personnages avec une détermination typé shônen pour certains, Un vrai melting-pot de cibles éditoriales, comme quoi parfois en France on en fait trop avec tous ces termes d'édition, les frontières entre elles sont parfois très faible. Paru Itagaki démarre très fort avec une première série à succès, elle sait jouer de ses personnages, rythmer sa narration, et nous emporter dans des vagues de sentiments. Elle a aussi un don pour apporter nombreux détails, notamment par le dessin, facile de s'imprégner de l'univers de Beastars. Une mangaka que je vais suivre de très près, elle fait déjà partie de mes autrices favorites.

Annotation :

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3219 pages

¤ LE GUERRIER NOIR
Tome 1 : 7 (22/03/2018)
Tome 2 : 7 (22/03/2018)
Tome 3 : 8 (22/03/2018)

¤ L'ÂGE D'OR
Tome 4 : 7 (31/03/2018)
Tome 5 : 7 (01/04/2018)
Tome 6 : 7 (01/04/2018)
Tome 7 : 7 (02/04/2018)
Tome 8 : 8 (02/04/2018)
Tome 9 : 7 (02/04/2018)
Tome 10 : 7 (02/04/2018)
Tome 11 : 7 (02/04/2018)
Tome 12 : 8 (02/04/2018)
Tome 13 : 9 + ❤ (02/04/2018)

¤ L'ÈRE DES CHÂTIMENTS
- Cycle des enfants perdus
Tome 14 : 7 (08/04/2018)
Tome 15 :

- Cycle des enchaînés
Tome 16 :
Tome 17 :

- Cycle de la naissance
Tome 18 :
Tome 19 :
Tome 20 :
Tome 21 :

¤ LE FAUCON MILLÉNAIRE
- Chroniques des Guerres Saintes
Tome 22 :
Tome 23 :
Tome 24 :
Tome 25 :
Tome 26 :
Tome 27 :

- Cycle de Falconia
Tome 28 :
Tome 29 :
Tome 30 :
Tome 31 :
Tome 32 :
Tome 33 :
Tome 34 :

¤ FANTASIA
- Cycle de l'ile Elfe
Tome 35 :
Tome 36 :
Tome 37 :
Tome 38 :
Tome 39 :

Avec ce manga je suis un peu contre la tendance, je lis partout que le succès de l’œuvre est en partie dû à la saga de l'Âge d'or, cette partie du manga est plutôt bonne c'est vrai, mais pour moi Berserk commence vraiment quand tous les éléments dark fantasy se mettent en place, quand l'univers prend une dimension bien plus grande et que l'imaginaire de l'auteur nous explose à la figure. Scénario très noir, très dur, bien ficelé, ça se lit avec plaisir, le dessin, qui va grandement en s'améliorant, est vraiment propre à Kentaro Miura, on comprend pourquoi la parution est si lente vu la qualité du dessin, et vu les techniques utilisées, hachures pour assombrir, détails minutieux au possible, j'ai quand même un peu de mal avec la forme des personnages en dehors des scènes d'actions. Berserk est assurément une œuvre marquante de par ces thèmes et son univers, de par son héros charismatique et surtout de par le personnage de Griffith, très travaillé. J'ai mis du temps à m'y mettre (facile 3 ans alors que j'avais tous les tomes), je ne regrette pas.

Annotation :

√
1206 pages

Tome 1 : 8 + ❤ (08/06/2014)
Tome 2 : 8,5 + ❤ (11/06/2014)
Tome 3 : 8 (15/06/2014)
Tome 4 : 7 (16/06/2014)
Tome 5 : 7 (20/06/2014)
Tome 6 : 8 (25/06/2014)

Dessin superbe, intrigue rapide et surtout complexe, on navigue dans un milieu d'horreur et de surenchère démentielle qui nous met de bonnes claques. Le design de Nihei est jouissif, que ça soit les architectures, le chara-design, la touche brouillonne qui donne du crédit, c'est impressionnant, un style unique.

Annotation :

¤ UNIVERS BLAME! : 2330 pages

1/ BLAME! √
2/ NOiSE (préquelle, histoires indépendantes) √

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2144 pages

Tome 1 : 10 + ❤ (15/11/2018)
Tome 2 : 10 + ❤ (06/02/2019)
Tome 3 : 10 + ❤ (07/05/2019)
Tome 4 : 10 + ❤ (07/05/2019)
Tome 5 : 9,5 (28/09/2019)
Tome 6 : 9 (29/09/2019)

Cette relecture m'envoute totalement, le fait d'avoir pris de l'âge depuis la première lecture et de pouvoir profiter de BLAME! dans son plus bel appareil grâce à la dernière édition proposée par Glénat (grand format, traduction grandement revue, sens de lecture originale, qualité au rendez-vous) m'ont limite fait redécouvrir ce manga. Il faisait déjà parti de mon top 5 manga favori, mais je pense en fait que c'est mon Top 1, Mon Manga Favori, je me rends compte que j'ai trop d'amour pour ce manga, j'aime tout, du dessin jamais égalé, Nihei au sommet de son art sombre, à l'univers infini proposé intégrant tout le génie de Nihei, à ce scénario que je redécouvre presque grâce à la nouvelle traduction, ce manga possède un vrai scénario, très inspiré et vraiment prenant, plongez-vous dedans ! Oui, c'est définitif ce manga est mon favori d'entre tous.

Annotation :

186 pages

One-shot (16/01/2015)
- NOiSE : 9 + ❤
- Couloir de la défaite : 5
- Blame (1995) : 6,5

L'intérêt de ce one-shot vient surtout de la partie Noise où on nous apprends les origines du monde de Blame!. Très intéressantes car elles viennent étoffer un univers très complexe à assimiler, et nous donnent donc de précieux renseignements. Toujours aussi fort au niveau dessin et intrigue, le design et le coup de crayon sont bien fidèles à cet auteur.

Pour l'annexe "Couloir de la défaite" je n'ai pas saisi l'intérêt. La partie "Blame" est sympa, elle nous permet de voir les premiers travaux de Nihei. C'est toujours intéressant histoire de voir l'évolution du mangaka.

Annotation :

✗
1143 pages

Tome 1 : 5 (18/09/2015)
Tome 2 : 5 (25/10/2015)
Tome 3 : 4 (26/10/2015)
Tome 4 : 4 (28/10/2015)
Tome 5 : 4 (1/11/2015)
Tome 6 : 3 (2/11/2015)

Ça se laisse lire, c'est assez classique dans l’évolution de l'histoire. Le dessin sans être exceptionnel est plutôt bon. Les sujets traités ont du potentiel pour faire quelque chose de bien, mais ça reste vraiment poussif, les clichés dans les shônens ne me dérange pas mais là rien ne se démarque, rien ne m'attire, je préfère abandonner la lecture vu tout ce que j'ai encore à lire.

Annotation :

►
432 pages

Tome 1 : 7 (03/11/2019)
Tome 2 : 7 (03/11/2019)
Tome 3 :
Tome 4 :
Tome 5 :
Tome 6 :
Tome 7 :
Tome 8 :
Tome 9 :
Tome 10 :
Tome 11 :
Tome 12 :
Tome 13 :

Annotation :

►
400 pages

Tome 1 : 8,5 (??/02/2021)
Tome 2 : 8 (??/02/2021)
Tome 3 :
Tome 4 :
Tome 5 :
Tome 6 :
Tome 7 :

Je commence vraiment à aimer ce mangaka, alors qu'actuellement je n'ai toujours pas touché à son chef d’œuvre, L'Habitant de l'Infini, il me tarde. Born To Be On Air ! est un slice-of-life comme je les aime. Dynamique, marrant, prenant car bien détaillé, et très qualitatif dans les personnages proposés. Le coup de crayon c'est totalement ma came, précis et à la fois pas trop propre, plein de mouvement, des personnages super beaux, et un découpage à la fois simple mais diablement efficace, tant dans les quelques scènes d'action que dans les phases plus calmes. Un plaisir à chaque lecture. J'en redemande.

Annotation :

✗
750 pages

¤ Clow Card
Tome 1 : 7 + ❤ (19/04/2018)
Tome 2 : 6 (21/04/2018)
Tome 3 : 6 (10/07/2018)
Tome 4 :
Tome 5 :

¤ Sakura Card
Tome 6 :
Tome 7 :
Tome 8 :
Tome 9 :

Je redécouvre CCS, j'avais connu ce manga via l'animé il y a bien longtemps, je profite donc de cette nouvelle édition pour me plonger dans cette œuvre majeure du studio CLAMP. Au-delà des personnages enfantins et d'un scénario au premier abord très basique principalement écrit pour des lecteurs jeunes, je retiens surtout la composition des planches qui est juste magnifique. Ce trait plein de blanc, fin, détaillé et enrichi d'une multitude de trames, ces étoiles/fleurs/etc très typé shôjo, ce découpage qui fait nous fait savourer les pages entières et non cases après cases, personnellement j'adore. C'est une caractéristique propre à ce style éditoriale et j'en suis fan. Par contre, pour certains choix de traduction on repassera... Simuler un accent marseillais pour un dialecte d'Osaka, non merci, et je parle pas des "woéééé!?" en pagaille, dommage ça casse l'immersion, Pika aurait pu revoir la traduction pour cette nouvelle édition...
Update : manque total de motivation, lecture abandonnée

Annotation :

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714 pages

¤ PART 1 : SECURITE PUBLIQUE
- Introduction / Démon-Chauve-souris
Tome 1 : 7,5 (??/??/2020)
Tome 2 : 8,5 (??/??/2020)

- Démon-Éternité / Samourai Sword
Tome 3 : 9 + ❤ (??/??/2020)
Tome 4 : 9 + ❤ (??/??/2020)

- Démon-Bombe
Tome 5 :
Tome 6 :

- Assassins internationaux / Démon-Flingue
Tome 7 :
Tome 8 :
Tome 9 :

- Démon de la domination :
Tome 10 :
Tome 11 :

Tatsuki Fujimoto est un personnage de shônen. Après un Fire Punch dévastateur mais avec ses défauts, il a dû s'entrainer pour qu'on puisse le retrouver avec un sacré level-up pour relever toujours plus de défi afin de devenir un artiste incontournable de ce média. Chainsaw Man c'est un méga délire contrôlé, Fujimoto nous balade dans son univers et use de ses armes toujours plus aiguisées après Fire Punch, à savoir son découpage avec des idées de génies, ses personnages toujours marquant, et ses univers loufoques au possible mais parfaitement cohérent. Au fil des lectures, ce manga me met tarte sur tarte, j'attends juste des moments d'apothéose pour le voir grimper dans mon top 20 manga, voir top 10, le potentiel est là.

Annotation :

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867 pages

Tome 1 : 10 + ❤ (27/03/2016)
Tome 2 : 9 (27/03/2016)
Tome 3 : 9 + ❤ (30/08/2016)
Tome 4 : 10 + ❤ (22/11/2016)

Mon méga coup de cœur de 2016. Je partais de zéro, Dragon Head, du même auteur, m'avait laissé indifférent, voir même plutôt déçu. Là je dois avouer que je suis très agréablement surpris. C'est super intriguant comme manga, l'auteur s'est renouvelé de belle manière. Le côté direct est captivant, les dialogues, les situations, même le dessin, tout est direct et franc. On ne tourne pas autour du pot, pas de fioriture, pas de surplus, un trait super simple et réaliste avec une touche personnelle, un cadrage de chaque case avec une sacrée justesse, il adopte un style qu'il perfectionne à son maximum, c'est très intriguant et tellement bien fait. On est à 100 000 lieux de ce qu'il nous proposait avec Dragon Head. On part d’une histoire assez banale en soit mais on est totalement happé, la narration est d'une grande originalité, elle ne laisse presque rien supposé donnant toutes les clés et les sentiments des personnages on ne peut plus vrais, intéressants et variés, c'est astucieux car on finit par s'intéresser à cette reconstruction personnelle/professionnelle trivial puis à s'y attacher, et finir par être totalement emporté, on aimerait que ça dure une éternité. Une des plus belles histoires humaines de cette dernière décennie, une histoire qui m'a profondément touché de par sa simplicité et qui a fait résonné en moi quelque chose de profond, c'est pour ce genre d'émotions que je suis passionné par les mangas, vraiment un grand merci monsieur Minetarô Mochizuki. À la fois une sacrée fraîcheur et une belle surprise.

Annotation :

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897 pages

Tome 1 : 8,5 + ❤ (??/01/2021)
Tome 2 : 7,5 (??/01/2021)
Tome 3 : 8 (??/02/2021)
Tome 4 : 7,5 (26/02/2021)

Très heureux de retrouver cette mangaka en France. Surtout que pour les amoureux de slice-of-life super bien dessiné avec un soupçon de thriller dedans surtout foncé sur ce manga. Déjà avec Le Monde de Ran, elle m'avait envouté, surtout le final qui était assez dantesque, ici je sens qu'on part sur les mêmes bases, et ça me rend heureux, je suis déjà hypé par la fin du manga qu'elle nous proposera. Ça se déroule en Islande, inutile de dire que les paysages sont somptueux, Aki Irie illumine ce pays de par son coup de crayon, c'est vraiment vraiment beau. L'histoire se suit facilement avec toujours une envie d'en découvrir plus, la narration est aux petits oignons alternant entre les scènes de vie, et les chapitres faisant avancer le fil rouge de l'histoire, la quête de Kei. D'ailleurs la galerie de personnages est très sympa, ils ont tous leur caractère, leur naturel, son pile entre la frontière du réel et de la fiction, je les affectionne grandement. Bonne pioche pour Soleil Manga, l'éditeur, qui nous propose une très belle édition.

Annotation :

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969 pages

Tome 1 : 9 + ❤ (07/01/2017)
Tome 2 : 8,5 (01/02/2017)
Tome 3 : 8,5 (14/05/2017)
Tome 4 : 8 (21/09/2017)
Tome 5 : 9 (22/09/2017)
Tome 6 : 9 + ❤ (22/02/2018)
Tome 7 :
Tome 8 :

Mon tout premier Asano, j'ai kiffé, narration ultra fluide, notamment grâce à ce découpage de cases simple et diablement efficace. Il nous entraîne dans un Japon sous une menace constante mais plutôt que de suivre le combat de cette menace, on suit le combat de petites héroïnes face au quotidien, aux problèmes existentiels de nos vies, choix judicieux, apportant une sorte de slice-of-life teinté de SF charmeur. J'accroche totalement aux personnages, les deux héroïnes principales me font penser au concept de Yin et Yang, elles se complètent énormément tout en ayant des visions de la vie assez différente, de gros questionnements pour l'une et un côté déjanté voulant secouer le monde pour l'autre, mais se retrouvant quoiqu'il arrive. Le dessin toujours très détaillé proche de la photographie couplée au chara-design en décalage par rapport au coup de crayon réaliste a fait mouche, j'adore c'est super beau et envoutant parfois. Je sais que cette œuvre s'éloigne des habitudes du mangaka mais je suis content de l'avoir découvert avec DDDD, à la fois charmé et désireux de découvrir le reste de ses œuvres plus "complexes".

Annotation :

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1355 pages

Tome 1 : 7,5 (5/02/2016)
Tome 2 : 7,5 (6/02/2016)
Tome 3 : 8 + ❤ (08/11/2016)
Tome 4 : 8 (14/02/2017)
Tome 5 : 9 + ❤ (30/10/2017)
Tome 6 : 8 (21/02/2018)
Tome 7 : 8 (21/10/2018)

Atsushi Kaneko rempile pour une série noire bourrée d'action. Son trait si particulier est toujours séduisant, il est ici encore plus précis que dans Wet Moon. La protagoniste principale, Deathko, bien qu'elle ne soit pas bien bavarde et déteste tout, a ce côté mystérieux très attachant, et surtout un charisme à toute épreuve, j'en suis presque amoureux, surtout qu'elle est plutôt belle selon ses expressions. Le scénario met du temps à se mettre en place et on peine à déceler des enjeux notamment politiques qu'à partir du troisième tome bien qu'il y est des mystères dans le fond, la Guilde, la mission principale de Deathko doucement évoquée, Kaneko a décidé d'aller à contre-courant, car le scénario se met en place via la foule de personnages secondaires, on ne suit pas vraiment une quête quelconque de Deathko, et du coup c'est plutôt originale. Je me rappelle que pour Bambi le début était sympa sans être incroyable mais la fin était énorme et percutante, on suit un cheminement similaire, ça monte en puissance pour finir en beauté.