Préfaces et Postfaces : Pénibles, prétentieux ou utiles à la lecture?

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"Il faut remercier l'excellent traducteur de cette version qui a fait une préface superbe, pas très longue qui donne toutes les clefs pour lire cette œuvre sans devenir fou, même si l'on perd un peu en surprise" cf ma critique

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Préface de l'auteur : Il se compare à Kipling, et méprise ses pairs.

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Postface de traducteur : Un éloge immodéré de l'auteur, avec force éléments autobiographique. Pompeux et sans intérêt.

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Postface de l'auteur : L'arrogance suprême, il se dit le "nouveau Dickens" et passe une quinzaine de pages à dire que personne ne lui arrive à la cheville... (si je me souviens bien)

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Édition et préface de Patrick Berthier, spécialiste de Balzac : Nombreux éléments biographiques, et citations de la nouvelle, qui enlèvent toute surprise, puisqu'on connait l'histoire avant de l'entamer. Les notes, la bibliographie, la préface mises bout-à-bout sont plus longues que le livre lui même... Vraiment pénible et n'apporte rien à la lecture.

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Préface de Linda Lê (que j'ai découverte il y a peu) : Hommage discret à l'auteur, rappel biographique et mise en parallèle avec un auteur contemporain.

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Le plus belle préface du monde est celle d'Aphrodite par l'auteur, elle peut se lire absolument en dehors de l'oeuvre d'ailleurs...

Merci Torpenn

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La préface de mon édition d'Anna Karénine était de Nabokov ... Elle était super. (c'était un extrait de son cours sur la littérature russe, pour être précise)

Merci Shânin

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Ceci dit, celle des Frères Karamazov, de Freud, qu'on lira de préférence après le livre, est assez cool.

Merci Zismaphyr

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Celle de Sartre à propos de Aden Arabie est assez drôle, et prétentieuse, elle fait genre 50 pages, divisée en une poignée de chapitres, mais il y dit des choses assez chouettes sur Nizan.

Merci Zismpahyr

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☹

Pire préface du monde pour Le triomphe de la vie de Giono, un type parfaitement imbécile qui n'a pas compris que dans ce livre précisément, Giono le vomissait lui et ses pareils, tout y passe, l'anachronisme constant, le point Godwin, le prétexte écologique mal venu, les contre-sens par dizaines... je l'ai lue après le livre, comme toujours et ça m'en a presque gâché le souvenir, quelque chose de vraiment sale, presque criminel

Merci Torpenn

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Celle d'Au-dessous du volcan, écrite par l'auteur, est parfaite.

Merci Hobbes

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Préface par Bukowski, très intéressante dans mon souvenir.

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La préface de Bradburry dans ses Chroniques Martiennes donne un autre visage à son œuvre. C'est léger, bien écrit et avec pas mal d'humour, et distingue bien son œuvre d'une œuvre de science-fiction. Une bonne préface à mon sens.

Merci wildsevens

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Une préface qui m'a marqué : celle des Vies imaginaires par Schwob lui-même. J'ai bizarrement des réserves sur le bouquin mais la préface présente le projet et est tellement chouette qu'elle est en un sens presque meilleur que le livre lui-même ! Enfin c'est juste mon ressenti hein...

Merci bilouaustria

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☹

Ah oui et la préface du Jeu aux perles de verre avec des kilos de spoilers partout, merci les mecs, vous auriez pu mettre ca A LA FIN ! grrrr

Merci bilouaustria

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Je sais que c'est particulier car plus essai/philosophie, mais j'avais particulièrement apprécié celle du Prince de Machiavel dans l'édition GF. Je l'avais trouvé éclairante et surtout... étonnamment limpide. L'auteur insistait bien sur le fait que Machiavel avait remis la politique au centre du jeu et que c'est ce qui lui avait valu tant de détracteurs.

Merci Florizel

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Ne surtout pas lire la préface du livre L'homme invisible de Wells (éditions 10/18 je crois) car y est racontée le début de l'intrigue et, surtout, la fin du bouquin... hallucinant ; ça m'a carrément dissuadé de le lire.

Merci vince09lm

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Avoir des liens de parenté avec l'auteur n'empêche pas les digression, la mauvaise foi et le manque de talent malheureusement.

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Franchement, je vois pas bien l'intérêt du dossier suivant la pièce, à quelques détails près, il regroupe des morceaux de la correspondance privée de l'auteur à propos de la pièce, mais je ne suis pas sûre qu'il soit vraiment opportun d'apprendre qu'il avait des hémorroïdes...

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S'il est intéressant de savoir exactement ce que l'on entend par "fable" les 30 pages de bavardage spécialiste étaient de trop.

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☹

Un résumé détaillé de l'histoire que l'on s'apprête à lire, deux trois éléments biographiques et de nombreuses citations, inutile et pénible.

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Postface par l'auteur vraiment intéressante, il y raconte sa relation toute particulière avec son personnage et des détails assez triviaux de sa vie, des relations avortées, des soucis d'argent, quelque part ça m'a aidé à démystifier un peu le roman après la claque que je venais de me prendre. A l'aise Blaise (pardon.)