Quand les profs nous montrent des films...

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Vu en grande section. Autant dire que je ne me souviens plus de rien, sinon de quelques vagues images, et que j'avais été très impressionné par la scène du pont à la fin. J'aimerais voir ce qu'il en est aujourd'hui...

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Vu en CE1 ou CE2. Peu habitué à ce genre de films à l'époque, je me souviens avoir été terrorisé. Je crois que ça me ferait bien marrer si je le revoyais aujourd'hui...

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Vu en CM1, dans le cadre de Films et culture. Pour une fois que Films et culture nous montrait un bon film, on n'allait pas dire non !

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Vu en CM1. Le grand dada de la directrice du primaire, j'ai jamais trop compris pourquoi. Le niveau pédagogique de ce film égale à peu près celui de notre Education Nationale actuelle. C'est dire qu'on est très loin au-dessous du niveau zéro... Quelques belles images de la Grèce à sauver, néanmoins.

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Vu en CM1 ou CM2. J’en garde le souvenir d’un film dur et poignant, assez profond, qui avait réussi à faire pleurer tout le monde, même les élèves les plus endurcis. Si ça ne relève pas du prodige, ça... Je me demande si le film aurait encore cet effet sur moi aujourd’hui…

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Vu en 6e, en cours de français. Mon prof étant très « vieux jeu », les élèves lui criaient de fermer les yeux à chaque fois qu’un personnage commençait à se déshabiller à l’écran (donc assez régulièrement). Ceci explique sans doute pourquoi ce professeur arrêta de montrer ce film aux 6e dès l’année suivante...

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Vu en 6e, montré par le même professeur que ci-dessus. Il était fasciné par la mythologie grecque, et nous fascinés par sa capacité à trouver tous les moyens possibles pour perdre du temps et ne pas avancer ses cours…

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Vu en 5e, le programme de français nous faisant passer par Jules Verne et Conan Doyle. C’était un de mes films préférés à l’époque, alors inutile de dire que j’étais bien content d’avoir une nouvelle occasion de voir ce film…

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Vu en 5e. Puisqu’on étudiait Sherlock Holmes en français, et que Guy Ritchie n’était pas encore passé par là, la prof avait trouvé cette version qui m’attirait uniquement par la présence de Spielberg à la production. Depuis Jumanji, je n’avais plus eu aussi peur devant un film vu à l’école. J’étais encore jeune et innocent, à l’époque…

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Vu en 5e. Je n’en garde pas un souvenir transcendant, les personnages apparaissant assez ridicules aux yeux d’élèves aussi jeunes que nous. C’est quand j’ai lu Molière après que je me suis rendu compte que c’était un peu plus qu’un simple bouffon tout juste propre à amuser la galerie…

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Vu en 4e. La nouvelle directrice du collège trouvait que c’était très important qu’on en sache plus sur Christophe Colomb, allez savoir pourquoi. Du coup, elle avait ressorti une vieille VHS enregistrée de son grenier pour nous montrer le film, en nous prévenant que la qualité n’était pas très bonne. De fait, si on arrivait à regarder entre les lignes vertes qui couvraient littéralement l’écran, on distinguait vaguement des personnages qui bougeaient. Ce jour-là, je n’ai rien appris sur Christophe Colomb, mais en revanche, sur la durée de vie d’une VHS, si.

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Vu en 4e. A la fin de l’année, pour nous faire passer le temps. Aucun rapport avec les cours, mais c’est peut-être pour ça que je l’ai apprécié ! D’autant qu’on avait commencé Sleepy Hollow (mais jamais fini) quelques semaines auparavant, et ça ne m’avait pas vraiment mis en confiance sur l’univers burtonien… Ça m’avait même dégoûté de Johnny Depp. Oui, j’en ai fait, du chemin, depuis !

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Vu en 4e, en cours d’anglais. La prof d’anglais nous avait fait faire toute une séquence sur Audrey Hepburn. Comme elle nous avait demandé si on avait des films avec Audrey Hepburn à lui proposer pour qu’elle le montre à la classe, je lui ai dit que j’avais Charade (un de mes films préférés, déjà à l’époque) et My fair lady. Elle choisit le deuxième, sans doute le plus représentatif de l’actrice, mais pas le plus apte à maintenir l’attention d’une classe de 4e… Les élèves ont vite compris qu’un film de 2h45, c’est bien pour rater des cours, mais que c’est mieux quand il s’y passe quelque chose.

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Vu en 3e, dans le cadre de Films et culture. Pas très habitué à ce genre de films à l’époque, je n’ai pas du tout aimé cette histoire de mutants. Finalement, ça s’est avéré regardable. Quant à dire que c’est un bon film… A revoir.

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Vu en 2de, en cours de français à la fin de l’année. Les terminales, dont c’était le dernier jour de cours, se sont incrustés dans la salle quand ils ont vus Gwyneth Paltrow se déshabiller… Tout de suite, la séance est devenue beaucoup plus marrante !

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Vu en 2de ou 1re, je ne sais plus. Décidément, je me rends compte qu'on nous montrait des films intéressants, dans cette école, en fait...

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Vu en 1re, en cours de latin. Vu qu’on avait étudié le texte en cours, c’était logique que le prof nous montre le film… C’est peu dire que je n’étais pas préparé à ce que j’allais découvrir ! Une de mes pires expériences cinématographiques.

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Vu en 1re, en cours d’anglais. Etant donné que je venais de subir l’atroce Tree of life du même réalisateur, j’appréhendais beaucoup ce film. Au lieu de quoi, je me suis trouvé devant un film de guerre parfois long, mais souvent captivant. En revanche, tous les élèves attendaient George Clooney, annoncé au générique, et c’est peu dire qu’ils se sont sentis floués…

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Vu en 1re et Terminale, en cours d’allemand, par deux profs différents. Un des rares gros coups de cœur que j’ai ressenti devant un film vu à l’école… même s’il m’a fallu attendre la fin pour m’en rendre compte la première fois.

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Vu en Terminale, en cours de philosophie. En Terminale S, il est assez difficile de passionner les élèves pour la philosophie, et la prof s’en est vite rendu compte. Le film n’en était pas moins intéressant. Il aurait mieux fait de s’intéresser à un personnage lui aussi intéressant…

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Vu en Terminale, en cours de… philosophie ! Puisque les élèves ne s’étaient apparemment pas passionnés pour la vie de Freud (qui est au moins autant dénuée d’intérêt que les écrits du monsieur lui-même), il fallait tenter de les accrocher avec quelque chose de plus divertissant. Alors, pour illustrer la séquence sur le travail, quoi de mieux que le bijou de Charlie Chaplin ?

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Vu en prépa littéraire, en cours d’allemand, pour illustrer le mythe de Faust. Un film français en cours d’allemand, on ne dit jamais non… Pas folle, la prof a profité d’une de ses absences pour nous le faire montrer par la surveillante.

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Vu en prépa littéraire, en cours d’allemand. Quand la prof d’allemand nous propose d’aller au cinéma sur une heure de cours, comment dire non ?

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Vu en prépa littéraire, toujours en cours d'allemand. Premier (et seul) contact avec Wim Wenders, je crois que toute la classe s'est royalement fait chier pendant le film... On l'a pas trop trop dit à la prof, parce qu'on l'aimait tellement qu'on voulait pas la décevoir, mais heureusement qu'elle n'a pas réitéré l'expérience !