Quelques moments éparses de vrai et donc de beau...

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Cette femme qui dans le stress se fout à poil sans pudeur aucune, uniquement intéressée par le bien être de ses morveux.

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Le couple fonctionne, tout simplement et dans ce genre pour pucelles ruisselantes ça fait déjà pas mal.

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Les filles c'est bizarre, ça glousse tout le temps, c'est impulsif, ça ne réfléchit pas...

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Certes ce n'est pas le meilleur film de son auteur, mais difficile de faire plus vrai non ?

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Anaïs Demoustier en pleine discussion avec son compagnon... c'est tellement... mignon... Elle est tellement vraie cette femme.

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Je ne pouvais pas parler de Flandres car c'est un chef d'oeuvre, mais là, la scène avec Adélaïde Leroux qui boude dans les prés...

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Elles sont comme ça, futiles, naïves, manipulatrices... Et malgré tout on les aime.

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Bon là c'est plus que quelques moments éparses... Mais un film sur des glousseuses, je pouvais difficilement ne pas le mettre tant chaque scène nous rappelle pourquoi on aime et on déteste les femmes.

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Une bonne soeur, un sourire à un garçon...

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Un personnage et une actrice aussi sincères que Maggie Gyllenhaal ça ne peut que donner du vrai.

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J'ai hésité à le mettre, parce que si je le mets je peux mettre toute la filmographie de son auteur (et puis surtout parce qu'on n'est pas loin du chef d'oeuvre), mais tenir la main de celle qu'on aime pendant qu'elle dort pour lui faire du bien tout en la tuant à petit feu, c'est quelque chose (et c'est pas la seule chose).

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Le couple fonctionne, c'est bien joué, du coup on y croit, si on y croit c'est que c'est vrai et si c'est vrai c'est qu'il y a du beau là-dedans.

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Encore une fois on suit deux vraies filles, insupportables car vraies, donc belles et touchantes.

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La copine de Garrel qui réchauffe le cadre.

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Forcément j'étais obligé de mettre du Rohmer, cette scène du touché de genou, quelle grâce !

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Ne pouvant mettre conte d'été, en résulte ici la sublime Amanda Langlet, qui toute jeune faisait déjà tourner la tête aux garçons et faisait preuve de malice.

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Difficile de ne pas parler de ce film tant tout est vrai. Un des rares films où les gens jouent juste pour jouer et comme ils jouent dans la vraie vie.

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Si le film m'a un peu déçu, que de scènes d'une rare beauté car vraies et touchantes, toute la phase de flirt au début est d'une sincérité rare !

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Je considère le second opus comme un chef d'oeuvre, mais le premier contient déjà des scènes pleines d'amour.

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Bon on est pas loin du chef d'oeuvre là, mais une fille qui dit en pleurant qu'elle va s'en sortir avant autant de beauté d'Audrey Hepburn, c'est quelque chose.

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Film qui m'avait surpris et en bien parce que les filles qui sont jalouses et qui font des crasses, rien de plus vrai.

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Honnêtement je sens que je vais mettre toute la filmographie de Gondry, mais bordel ce film, c'est juste un condensé de vrai que ça soit dans les relations humaines, ou tout simplement dans le fait qu'il n'y a pas de jeu, les acteurs ne jouent pas, c'est absolument troublant.

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Lorsqu'il est temps de rentrer à la fin... ça possède un peu de vrai tout ça.

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Film qui m'avait troublé car je ne m'y attendais pas. Et qu'est ce qu'il m'a troublé en noyant les acteurs sous son propre délire Gondry arrive à les rendre plus juste que jamais et si le début est vrai dans sa phase de séduction, la fin l'est tout autant dans la tragédie.

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Encore un groupe de gonzesses... encore du vrai et le film en déborde même, les souvenirs éparses, les joies et tristesses de la vie en collectivité (de filles, pire que tout).

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Difficile de faire plus vrai que cette classe.

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Colocation de femelles ça tourne forcément au drame et c'est donc beau triste et vrai.

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Des filles qui plutôt que de réfléchir vont faire preuve de la plus grande audace possible : décider que faire de leur corps avec un beau projet, c'est forcément sublime.

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Je cite ce Pialat là car c'est sans doute un des moins bons (disons un de ceux qui se rapprochent le moins du terme chef d'oeuvre) et pourtant il transpire de vrai, de beau, ces ados perdus...

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Vincent Lindon qui débarque et qui dit que sa chemise est mal nettoyée à une femme qui va volontairement se soumettre à lui, ça c'est classe.