Top 10 BD selon OuaZz

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Par qu'il n'existe pas plus belle hommage, plus belle ode et lettre d'amour aux histoires, aux légendes, aux mythes, à tous ces gardiens de nos souvenirs, qui montent la garde contre l’oubli et notre impermanence.

« Et alors, luttant pour rester endormi, désirant que ça ne cesse jamais, certain qu'une fois fini, ce rêve ne reviendra pas, vous vous éveillez. »

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Parce qu'il s'agit d'une des BD les plus drôles et mignonnes que j'ai jamais lu. Parce qu'elle me donne envie d'écrire à mon tour. L'équivalent de Friends pout notre génération Nintendo, avec sa brochette de personnages tous plus magnifiques et désabusés les uns que les autres.

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Parce qu'il s'agit d'un miracle thermodynamique.

« Comme je l’ai dit, tout cela dépend de nous, de savoir si nous, individuellement, souhaitons l’apocalypse ou un nouveau monde au potentiel fabuleux, illimité. Ce n’est pas une question aussi évidente qu’il y paraît. Je crois qu’il existe des gens qui désirent vraiment, même si c’est seulement de façon subconsciente, la fin du monde. Ils veulent se voir épargner la responsabilité d’aider ce monde à vivre et à perdurer, se voir épargner l’effort d’imagination indispensable à la mise en œuvre d’un tel futur. Et bien entendu, il y a des gens qui veulent, plus que tout, vivre. Je vois la société du vingtième siècle comme une sorte de course entre l’illumination et l’extinction. »

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En dressant la fresque d'une guerre cosmique, Vaughan déploie tout son talent de conteur pour nous offrir une intrigue riche en action, sexe et rebondissements, soutenue par des dialogues délicieux. Mais tout ça serait peu de chose sans le bestiaire fascinant et touchant de personnages qui peuplent cette odyssée à la fois absurde, tragique et comique. Un Star Wars sous acide pour pervers, selon ses créateurs.

« Les idées sont des choses fragiles. Parfois, il faut plus d'une personne pour leur donner naissance. »

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Quand le fils de Stephen King s’empare de la BD, c’est pour pondre, comme son père, une histoire remarquable et poignante. Une œuvre qui fait la part belle à nos cauchemars et notre famille.


« La mort n'est pas la fin de la vie, tu sais. Ton corps est une serrure. La mort en est la clé. La clé tourne… et te voilà libre d'aller où tu veux. De te dédoubler. De te fondre dans le néant ou le murmure de l'univers. »

« À force de mettre ses démons sous clé, à force de les contenir et de les étouffer, on finit par s'enfermer avec eux ! »

« Que sont les livres, après tout, sinon des rêves couchés par écrit ? Or rien ne soulage plus une âme troublée qu'un doux rêve ou deux. »

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Un thriller qui va à cent à l’heure et nous fait bourlinguer dans toute l’Europe. Une intrigue palpitante de A à Z, gorgée de rebondissements et de personnages tous plus attachants et machiavéliques les uns que les autres. Par moments, on croirait y voir flotter l’ombre malicieuse des frères Coen.

Annotation :

« Rien n'est plus important que les histoires que nous nous racontons pour expliquer le monde »

« Quand un livre est lu, une chose irrévocable se produit... un meurtre, suivi d'une imposture. L'histoire contenue dans l'esprit tue l'histoire écrite, et prend sa place. »

« La plupart des gens, au cours de l'histoire humaine, ne différenciaient pas histoires et sortilèges. Décrire quelque chose avec des mots, c'était l'invoquer, l'entraver, en appeler à sa puissance. »

« Ce n'est qu'un jeu. Mais parfois... même quand c'est un jeu... c'est aussi vrai. Parfois, ce n'est pas à nous de choisir. »

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Parce que c'est une histoire profondément humaine et complexe qui nous permet de voir à que point la fiction est importante, mais également la manière dont celle-ci peut nous aider à remettre en question nos vies ou nous aider à devenir meilleur.

Annotation :

Pour l'entièreté de la saga.

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Si je ne devais garder qu’une seule œuvre de cet auteur de génie que j’admire.

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Parce qu'elle ressemble beaucoup à mon film préféré et que son histoire souligne l'importance d'avoir des géants à combattre.

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Parce que je m'identifie complètement avec l'incertitude et la maladresse de ce jeune couple essayant tant bien que mal de trouver leur place et un sens dans le monde après leurs études. Parce que je l'ai lu dans une période où l'histoire est rentrée en résonnance avec ce que j'étais en train de vivre. Et parce qu'Inio Asano est une icône pour la jeunesse, un auteur qui sait capturer la fragilité avec une honnêteté et une sincérité qui me touche profondément.

Annotation :

Parce qu'à l'instar de Scott Pilgrilm, cette BD d'O'Malley est une douceur dans laquelle j'apprécie m'emmitoufler. Même si l'histoire ne révolutionne pas le trope du voyage temporel, il lui apporte tout de même un écho ludique, décomplexé et un peu puéril que j'adore.

Annotation :

Un tour de force comme les anglais savent nous en pondre. Archéologie de l'histoire du comics en général. Une pépite malgré une complexité qui peut être déroutante par instant.