La cité de la peur.

La France periurbaine est multiple et c'est la toute ca beauté. Cette affirmation l'auteur entend la demontré a travers cet éssaie avec a mon sens peu de succès. Quelle singularité lit-on a travers ces notes ? La présence d'un site industriel lié a l'aérospatiale, les ingénieurs liés a l'aérospatial. Voila les seuls points qui permettent de localiser le quartier dans un territoire, l'occitane. Le reste me sembletout à fait commun a une vie periurbaine standardisé. L'affect de la peur qui jalonne toutes les notes (peur des coups de feu lors des joggigng, de la catastrophe industriel, des pavillons aux volets fermés). Le commerage (au supermarché, le rapport du voisin au décès de sa femme). Le tag "Cassandre salle pute". A titre personnelle je pense qu'il peut y avoir de la beauté dans tout ça, mais que cette beauté ne se caracterise certainement pas dans une singularité mais plus dans une approche poetique et sociologique des choses comme proposé par l'auteur. Hors l'auteur me semble faire figure d'exception dans ce décor ou les gens vivent aux rythmes des voitures dans la rue.