Une inspectrice norvégienne, Sarah Geringën, est appelée par un hôpital psychiatrique, un de ses patients s'est suicidé. Sur son front une cicatrice affiche un nombre mystérieux : 488.
La policière rousse va découvrir que le patient a lu le livre, envoyé du futur par Dieu lui-même. Au 488ème poncif, "exploration d'une base secrète de la CIA avec ma nouvelle copine durant le deuil de ma mère", il s'est scarifié le chiffre sur son front avant d'en finir avec une vie irrémédiablement gâchée.
Les nostalgiques des films d'action des années 90 pourront lire les deux premiers chapitres (attention, ils souffrent déjà du traitement aux hormones "ClichéMax"), puis ils jeteront le livre et imagineront la suite. Parce que même si leur histoire se déroule dans le désert australien avec des ninjas, elle ne pourra pas être pire que la soupe aux navets servi par Nicolas Beuglet.