"Tu m'as donné ta boue et j'en ai fait de l'or." !
Un éclair... puis la nuit !
Comment parler du recueil de poèmes français le plus célèbre de l'Histoire ?
La figure du poète maudit, Charles Baudelaire, oui Charles Baudelaire tout court pas besoin d'en ajouter, l'avalanche de critiques assassines à l'époque, les critiques positives qui peuvent se compter sur les...
Lire la critique de Les Fleurs du mal
Baudelaire éducateur.
Après avoir lu quelques-unes des critiques sur les Fleurs du Mal, je me rends compte que, soit on essaye d'en dire quelque chose de plus ou moins objectif et on se demande : où ? quand? comment? Pourquoi? Quel impact? Quelle était sa vie? (et si c'est ce que vous recherchez ne lisez pas ma critique) ; soit, on parle de notre rapport personnel à Baudelaire et alors ça donne une...
Lire l'avis à propos de Les Fleurs du mal
J'ai plus de souvenirs que si j'avais mille ans
Comment échapper à l'incontournable ? Comment ne pas être sensible à l'œuvre si grande d'un poète admirable en tous points ? Oui, comment ?
Généralement on tombe dedans au lycée à grand coups de poèmes dont certains vers nous marquent à jamais, "Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle", "Trois mille six cents fois par heure, la Seconde chuchote : Souviens-toi !", "Souviens-toi que le...
Lire l'avis à propos de Les Fleurs du mal
Le beau est toujours bizarre.
Je ne remercierai jamais assez mon grand père, aujourd'hui disparu de m'avoir foutu ce livre entre les mains à 11 ans.
Il a changé ma vie comme de rares œuvres ont pu.
Impossible d'en faire une critique construite tellement il y a de choses à en dire et des choses qui ne sont pas forcément de mon niveau d'expression.
Mauvais point, j'ai boudé la plupart des auteurs après, complètement bloquée...
Lire l'avis à propos de Les Fleurs du mal
Un Spleen parisien, idéal simplifié
Entre Charles Baudelaire et moi, ça a très mal débuté: il faut dire que commencer à découvrir l'oeuvre du monsieur par Le Spleen de Paris n'a pas facilité la tâche, aussi peu accessible l'oeuvre soit elle: cette poésie en prose au style d'écriture lourd et truffé de sous-entendus m'a...
Lire l'avis à propos de Les Fleurs du mal
Un monde tapissé de la peau morte des hommes
Le front lourd de lassitude, Charles lorgne lascivement les jambes balancées en cadence d’une jeune femme à la silhouette découpée dans une lumière jaunâtre. Elle s’éloigne, lui s’efface.
Un souffle et un craquement, voilà Charles adossé aux murs d’une vieille bâtisse délabrée dans laquelle vivent âmes et squelettes recouverts de chairs.
Charles papillonne.
Rimbaud et...
Lire la critique de Les Fleurs du mal
Une extase mortuaire sublimée par Baudelaire ...
Les Fleurs du Mal ou l'itinéraire d'un génie solitaire qui sombra dans les tréfonds des enfers tel un Don Juan romantique au creux de la pente , tel un saltimbanque idéaliste , solitaire amusant la galerie mais ignoré où qu'il aille ...
Les Fleurs du Mal ou l'itinéraire d'un poète qui contemplât le beau tout en côtoyant la laideur jusqu'à effleurer ses entrailles ...
Les...
Lire l'avis à propos de Les Fleurs du mal
Etude sur Les fleurs du mal
Lorsque Charles Baudelaire publie, en 1857, son recueil de poésies Les Fleurs du mal, il se trouve condamné en correctionnelle pour immoralité. Après avoir remplacé les six poèmes incriminés, il fait paraître la seconde édition, qui n’en reste pas moins tout aussi sulfureuse que la première.
Son approche de la femme, qu’elle soit réelle ou fantasmée, livre au cours de l’œuvre les différentes...
Lire l'avis à propos de Les Fleurs du mal
L'éternité en l'Homme
C'est quand matièr' prend ailes, se prive et s'abandonne,
Quand elle se sait maudite et si contraire au Beau,
Que percent à travers elle les plus hauts faits de l'Homme,
Dominant le granit et tous les corps triviaux.
Car il n'est d'édifice, ni d'aube ni de brune,
Pas le moindre artifice ou de plus vif chantier,
Qui, pic de son projet, sommet de sa fortune,
Envisage' entier, le grand arc de la...
Lire l'avis à propos de Les Fleurs du mal
Romance sans paroles.
La cloche fêlée.
Il est amer et doux, pendant les nuits d’hiver,
D’écouter, près du feu qui palpite et qui fume,
Les souvenirs lointains lentement s’élever
Au bruit des carillons qui chantent dans la brume,
Bienheureuse la cloche au gosier vigoureux
Qui, malgré sa vieillesse, alerte et bien portante,
Jette fidèlement son cri religieux,
Ainsi qu’un vieux soldat qui veille sous...
Lire la critique de Les Fleurs du mal