Une vie entière, même centenaire, ne saurait suffire à lire tous les classiques de la littérature mondiale. Alors nous devons faire des choix et écarter certains ouvrages pour en privilégier d’autres – un choix bien souvent cornélien. Mais il s’avère que ce sont parfois les romans qui s’imposent à nous, sans que nous les ayons choisis, et ce même si nous en avions entendu parler et que, dans l’absolu, ils nous faisaient envie. C’est de cette manière, fortuitement, que Vingt-quatre heures de la vie d’une femme, la célèbre nouvelle de Stefan Sweig, se retrouve chroniquée dans les pages de Littérature & Culture. Grâce à une rencontre.
Critique complète : http://www.litteratureetculture.com/stefan-zweig-vingt-quatre-heures-de-la-vie-dune-femme-critique.html