Le postulat de départ est déjà particulièrement loufoque voire complètement idiot mais contre toute attente, Dick ne s’en tire pas trop mal, au moins au niveau du rythme qui reste bon, car on ne s’ennuie pas du tout ici malgré la bizarrerie ambiante…
Ce que je lui reprocherai surtout, c’est d’avoir traité un évènement contemporain social de son époque (les droits des Noirs et les manifestations pour les droits civiques dans les années 60) et de l’avoir intégré au forceps dans son histoire alors que ça n’a rien à voir, ni rien à faire là.
Et ces évènements-là à peine maquillés qui sentent mauvais l’édéologie d’extrême-gauche, j’en ai rien à cirer dans un roman prétendu… de Science-Fiction ?!… à cet égard, on dirait donc plutôt de la politique-fiction très maladroite -avec un agenda SJW en tête bien évidemment- ce qui est décidément fort dommage et très regrettable !…