Les critiques élogieuses dont ce roman fait l'objet sont amplement justifiées. Il y a des livres qui font aimer à la fois la littérature et la musique, celui ci en fait partie. Je rajouterais même qu'il fait aimer le travail manuel au travers de l'histoire de ce luthier.
Les écrivains japonais semblent particulièrement s'intéresser, à juste titre, aux facteurs d'instrumentsde musique, je viens de terminer "les tendres plaintes" de Yoko Ogawa qui tourne autour de la fabrication des clavecins, livre que je recommande également.