le 16 janv. 2011
Critique de Taxi Driver par Fatpooper
La première fois que j'ai vu ce film, j'avais 17ans et je n'avais pas accroché. C'était trop lent et surtout j'étais déçu que le mowhak de Travis n'apparaisse que 10 mn avant la fin. J'avoue...
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Les dessins constituent l'intérêt premier que j'avais à me jeter dessus ; il n'y en a pas beaucoup, malheureusement, mais qu'est-ce qu'ils sont beaux ! Martin maniait assez bien son crayon (notons le contexte : il dessinait en cachette des Allemands) et délivre là un travail graphique très efficace : il y a un côté géométrique qui me fait penser à du Mattoti, le jeu d'ombres fonctionne très bien, les compositions sont bien travaillées et c'est riche en détails. On peut trouve rquelques défauts dans les visages de certains personnages mais ceux-là sont rares, l'auteur adoptant avec rigueur un style proche de ce qu'il pouvait faire en dessin technique.
L'histoire racontée est intéressante puisqu'on met l'accent sur les STO, un groupe organisé par les allemands, je n'en savais pas grand chose. Le premier texte, de Julie Maeck, n'est pas génial, mais il permet de brosser dans les grandes lignes ce qu'il se passait. L'entretien qui suit est nettement plus efficace puisqu'on laisse Martin parler de son expérience. C'est un peu court mais efficace. Reste quelques annotations de Jacques lui-même qui répètent ce qui a été dit durant l'interview ou qui apportent un contexte au dessin.
Globalement, c'est donc un bien bel ouvrage, un document historique intéressant, mais qui laisse le lecteur un peu sur sa faim : on attendait plus de dessins et plus de textes.
Créée
le 4 avr. 2018
Critique lue 112 fois
le 16 janv. 2011
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