le 12 juil. 2017
Le chant du néant
Je ne comprends pas. Le Goncourt, alors qu'en face on avait Babylone, Désorientale, Petit pays, 14 juillet... entre autres romans, tellement meilleurs. Chanson douce possède deux atouts majeurs: son...
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Je n'y crois pas. Les différents éléments, les anecdotes, ne rendent pas le personnage de Louise crédible, tout semble se contredire. Je trouve que la structure du roman est très visible et grossière : l'annonce du drame puis le déroulé des mois qui ont suivi, délayé dans une série d'anecdotes trop courtes sensées nous avertir que Louise a des problèmes et que ça pourrait tourner mal. C'est finalement plutôt la curiosité malsaine qui m'a poussée à le terminer qu'un plaisir de lire. Leila Slimani nous lance des bribes de situations, des ébauches de personnages, mais sans y entrer vraiment, tout reste très impressionniste. On aimerait entrer dans la tête d'une seule de ces personnes, et pas un peu dans toutes. La relation employé de maison / bourgeois est une thématique fascinante, mais traitée beaucoup trop superficiellement dans ce roman je trouve. Je suis déçue, j'en attendais beaucoup.
Créée
le 9 mars 2017
Critique lue 209 fois
le 12 juil. 2017
Je ne comprends pas. Le Goncourt, alors qu'en face on avait Babylone, Désorientale, Petit pays, 14 juillet... entre autres romans, tellement meilleurs. Chanson douce possède deux atouts majeurs: son...
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