Une dystopie qui se tient aux côtés des plus célèbres, nous offrant un questionnement intéressant sur la place des écrans dans notre quotidien et l’absence croissante de la littérature dans le divertissement de nos jours. Le récit permet de comprendre la dangerosité de l’auto-dafé et nous ressentons une forme d’ôde à la littérature formulée par Bradbury.
Néanmoins, celle-ci me paraît quelque peu incomplète, et nombreuses sont les recherches additionnelles que j’ai dû effectuer pour véritablement comprendre l’intrigue et ses références. Les zones d’ombre font qu’il est difficile de s’accrocher à l’histoire et il nous faut prendre notre courage à deux mains pour nous concentrer pleinement et arriver au bout du récit.