Fahreneit 451 est une œuvre de Ray Bradbury ; publié en 1953 ce livre fait de nombreux échos aux évènement traumatisant de l’époque. Cette oeuvre mêlant science fiction et distopie permet à l'auteur de faire passer de nombreux messages. Avec un titre déjà évocateur de l’histoire du roman qui représente la température à laquelle le papier s’emflamme, donne un avant goût des aventures du personnage principal.
Cette œuvre aux nombreux enjeux montre et dénonce indirectement les défaut de la société du XXe siècles. En écrivant son œuvre, Ray Bardbury à fait ressortir des évènement passés comme la seconde guerre mondiale et les régimes totalitaire, avec la répression du libre arbitre qui est dénoncer par la direction des pensées ; la destruction du patrimoine et de la culture juive dans le régime Nazi représenter avec la destruction des livres ; et la destruction de sa ville qui fait penser à celle de Hiroshima et Nagasaki. Il y dénonce aussi la chasse des communistes aux États-Unis et le génocides des juifs avec la traque et l’exécution des lecteurs et des propriétaires de livres. Tout au long de son roman il fait aussi pesé l’ambiance d’une guerre en approche qui peut rappeler la tension de l’entre guerres.
L’auteur à choisit de critiquer et de dénoncer par le biais sa dystopie le mode de vie des année 1950 et des années futur. En effet, dès le début du roman Bradbury fait paraître une société plus évolué technologiquement avec l’acquisition d’écrans plats, des distributeurs d’argent, des téléphones et oreillette mobiles, … il se sert de son caractère visionnaire pour prévenir des défauts de la société. Il va par le biais de ses inventions montrer la société de surconsommation et la peur de l’ennuie des gens en évoquant à de nombreuse reprise que personne ne peux et ne veux s’ennuyer. Il va grâce à ça montrer que l’envie d’occupation des gens conduit à la disparitions de classiques littéraire notamment à cause des modifications pour les écourtés et les adapté en film et émission radio pour que personnes ne cède à l’ennuie. Bradbury va également dénoncer la perte de profondeur de réflexion et de contacte humain en plaçant dans le début de son roman le personnage de Clarisse qui semble régulièrement remettre en cause les effets de la société sur les relations. En effet, la jeune femme évoque la perte de réflexions, de relations humaines et de communications en disant à Montag que «les gens ne parlent de rien ». Il dénonce également les relations superficielles notamment avec le couples de Montag le personnage principal et de sa femme, Montag laisse montrer à de nombreuse reprise qu’il est perdue dans leur relations et qu’il à l’impression de ne pas connaître sa femme malgré de nombreuses années de vie commune. En dénnoncant ces nombreux sujets Ray Bradbury met en avant une contre utopie du futur.
Malgré une très bonne lecture avec des messages très intéressant et une histoire accrochante, j’ai trouvé certains passage mal détailler et vite passer comme la guerre ou la scène dans le métro, ce qui rend des moments du livre parfois un peux confus.