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Ces gens-là
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Juste la fin du monde, ce n'est ni plus ni moins que l'histoire d'un homme, Louis, qui rends visite à sa famille après plusieurs années d'absence pour leur annoncer son décès à venir et qui repart sans avoir rien dit.
Au delà, il y a l'écriture de Lagarce, simple, fluide, éminemment concrète, d'apparence calme et paisible mais marquée par une résignation froide et sombre, comme un cri qui monte à la gorge mais qui ne s'échappe jamais;
le récit d'un homme confronté à sa propre solitude qui se demande si ses proches l'aiment encore, qui réalise en les revoyant qu'ils se sont composés autour de son absence, et qu'ils l'aiment comme ils aimeraient un fantôme;
une quête de l'existence en fin de vie, une recherche d'identité dans le regard de l'autre, le théâtre au service de l'universel.
En somme, Juste la fin du monde, ce n'est ni plus ni moins que le drame d'une vie entière dans sa quotidienneté la plus absolue.
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Créée
le 12 mars 2014
Critique lue 5.7K fois
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