6
Bof.
Silverberg, j'aime sa plume depuis longtemps. J'aime son choix des mots, sa narration (ici très particulière, mais toujours exemplaire) efficace, le rythme rapide et enlevé de ses phrases, leur effet...
Par
le 29 nov. 2015
6 j'aime
L'Oreille interne par engy
Un télépathe reclu, névrosé, tourmenté, dont la vie pourri est gaché par son don, qui progressivement, disparait.
Ce faux bouquin de SF, très sixties dans ses personnages et son background, est en fait le roman le plus psychologique et le plus intime de Silverberg. Une grosse claque : c'est touchant, c'est douloureux, c'est drole et c'est fataliste. O-BLI-GA-TOIRE.
Ce faux bouquin de SF, très sixties dans ses personnages et son background, est en fait le roman le plus psychologique et le plus intime de Silverberg. Une grosse claque : c'est touchant, c'est douloureux, c'est drole et c'est fataliste. O-BLI-GA-TOIRE.
9
Écrit par
Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur et l'a ajouté à ses listes et Les meilleurs livres de science-fiction
Créée
le 20 juin 2010
Critique lue 294 fois
1 j'aime
D'autres avis sur L'Oreille interne
9
Critique de L'Oreille interne par Nonivuniconnu
Avant toute chose, j'aime bien dégager le "concept béton" d'un roman SF. Celui de L'Oreille Interne, dont l'intrigue prend place dans les années 70, c'est la télépathie. Sujet bateau ? Ce serait...
le 23 juil. 2011
5 j'aime
8
Tout dans la tête
Entre les losers magnifiques chers à Monsieur Toussaint Louverture et les névrosés et obsédés à la Woody Allen, voici David Selig, un type tout à fait oubliable, qui traine lentement sa vie dans New...
Par
le 18 nov. 2015
2 j'aime
Du même critique
9
Critique de Solaris par engy
Note : je n'ai pas vu le film de Tarkovsky de 72 Note 2: je n'ai pas lu le livre de Stanislaw Lem Note 3 : je suis amoureux de Natascha McElhone (biggest eyes ever ?) Pour commencer, un rappel : le...
Par
le 29 juin 2010
22 j'aime
2
9
"Contre la stupidité...les Dieux eux-mêmes...luttent en vain."
Il s'agit d'un roman très particulier mais relativement "représentatif" d'Asimov : de sa fidélité à la science, de sa façon de jouer avec comme un enfant et, bien sûr, de son imagination infinie et...
Par
le 22 juin 2010
12 j'aime
10
Critique de A Winged Victory for the Sullen par engy
Une victoire esthétique, une victoire sonore, une victoire sur l'ennui du quotidien et la banalité, une victoire sur le temps et l'espace. Adam Wiltzie (1/2 de Stars Of The Lid) et le compositeur...
Par
le 22 janv. 2012
10 j'aime
1
