Dans cette nouvelle, les estampes et le vieil homme se rejoignent, on retrouve l'idée de la passion qui transforme les êtres, le collectionneur, lorsqu'il touche ses estampes, vit une véritable extase qui d'une façon miraculeuse, le métamorphose. Lorsqu'il redessine du doigt ses précieuses estampes disparues il n'est plus aveugle, il voit à nouveau, comme lorsqu'il montre à l'antiquaire Le Grand Cheval de Dürer, il représente quelque chose qui n'existe plus que dans ses souvenir. Les estampes le conserve dans une époque passé, le vieux collectionneur de quatre-vingts ans laisse la place au jeune collectionneur d'autrefois.