...métamorphosé par son amour pour les manchots empereurs.
Depuis l’«Aire du mouton» (P.O.L., 2011), et son représentant en parfums auditeur inconditionnel de Radio Nostalgie frayant avec une héritière neurasthénique et le trader de «La salle» (P.O.L., 2015) qui triche non pour s’enrichir mais mû par une forme ambiguë d’ivresse, Joël Baqué brocarde avec beaucoup d’humour et de finesse les dérives de notre époque au travers de héros solitaires aux destinées étranges voire aberrantes qui soulignent, indirectement, combien l’horreur de la réalité moderne peut nous sembler virtuelle, convergeant ainsi naturellement vers la fiction.
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