Annie Ernaux raconte, à travers un récit narratif, la vision que ses parents (surtout son père) avaient de la société, ainsi que la place qu’ils y occupaient en famille. Avec une sincérité touchante et une lucidité remarquable, elle décrit les comportements de son père et les codes sociaux de l’époque, dans une langue épurée, où l’émotion affleure sans jamais s’imposer.
Créée
le 4 août 2025
Critique lue 2 fois
Avec son récit "La place", Annie Ernaux propose une nouvelle approche du genre autobiographique. Son originalité tient à une écriture volontairement qualifiée de "plate" : proche du compte rendu,...
Par
le 10 avr. 2015
27 j'aime
7
La place est de ces livres qu'on aborde avec une espèce de condescendance, un certain mépris. Une histoire simple, quelques mots et un père. Finalement ce n'est pas bien plus mais c'en est...
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le 20 avr. 2012
21 j'aime
3
Les critiques portées à ce genre de livres sur les excès d'intellectualisme, de branlage de cerveau, de nombrilisme exacerbé, j'en avais pris connaissance. Que le style allait être mauvais, c'était...
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le 20 mai 2020
20 j'aime
15
Dans « C’est comme ça que je disparais », Mirion Malle propose une immersion délicate dans un sujet lourd, traité avec sincérité mais sans pathos. Les émotions sont justes ce qui donne à la lecture...
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le 4 août 2025
Annie Ernaux raconte, à travers un récit narratif, la vision que ses parents (surtout son père) avaient de la société, ainsi que la place qu’ils y occupaient en famille. Avec une sincérité touchante...
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le 4 août 2025
C’est intéressant de voir l’autrice se livrer à travers des petits moments de son enfance, adolescence, puis début de vie adulte. Il y a une certaine douceur dans la façon dont c’est raconté mais je...
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le 25 mai 2025
