le 10 févr. 2014
"Le Père Goriot" pour les nuls
Paris, automne 1819. On débarque dans une pension franchement miteuse, rue Neuve-Sainte Geneviève : La pension Vauquer, du nom de la vieille qui gère ce boui-boui. Vieille baraque à la façade...
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Le Père Goriot met ses filles au rang des anges, et nécessairement au-dessus de lui, le pauvre homme ! Il aime jusqu’au mal qu’elles lui font. Eugène Rastignac, lui, veut faire partie de la haute société ! Ces deux destins vont se rejoindre dans cette vie parisienne mêlant beauté et laideur, richesse et pauvreté, joie et peine…
Honoré de Balzac commence Le Père Goriot en 1834, dont la publication est tout d’abord effectuée dans la Revue de Paris en 1935. Il y fait apparaître des scènes de la vie privée et établit les bases de ce qu’on appelle : La Comédie Humaine.
Bien que l’on pourrait penser que le Père Goriot est le personnage principal de l’histoire, par son nom éponyme , il se trouve que c’est Eugène de Rastignac qui nous intéresse réellement. Toute l’analyse sociologique qu’effectue Balzac sur la société Parisienne de son époque est possible par le parcours aventureux d’un jeune étudiant en Droit ambitieux et qui débarque à la Capitale. Cette étude du Paris de la restauration est organisée autour de deux pôles : la pension Vauquer qui est en piteux état et des beaux quartiers aristocratiques. Les vas et viens de Rastignac entre ces deux mondes qui s’ignorent permettent à Balzac de croiser de multiples personnages et intrigues parallèles avec comme toile de fond la question de la paternité et de la filiation.
Malheureusement, avant d’arriver à ces péripéties prenantes il faut passer par des pages et des pages de description qui n’en finisse plus. Que ce soit les bâtiments ou les personnages, tout y passe.
Ce drame reste néanmoins passionnant et nous fait découvrir ici l’exposition de cette obscure, mais effroyable tragédie parisienne.
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Créée
le 14 août 2015
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le 10 févr. 2014
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